Caricature Contre Pouvoir

décider c) Parties prenantes, contre- pouvoirs et gouvernance Compétences attendues - Apprécier l’influence des parties prenantes sur le processus de décision - Evaluer les enjeux liés aux intérêts des parties prenantes - Analyser le mode de gouvernance de l’entreprise 1) Les parties prenantes : pouvoir et contre –pouvoir a) Définitions Qu’est-ce que le POUVOIR ? Définition (source Le Petit Larousse) Pouvoir n.m (pl. pouvoirs) 1. Capacité, possibilité de faire

de pouvoirs et de contre-pouvoirs s'exprime dans des négociations et se traduit par un ensemble de contraintes et d'opportunités pour l'entreprise qui pèsent sur le processus de décision. Le terme de partie prenante fait référence à la volonté de chacun des acteurs de bénéficier d'une fraction de la valeur ajoutée produite par l'entreprise. La gouvernance arbitre les intérêt contradictoire entre les parties prenantes internes et externes à l'entreprise, sources éventuelles de contre-pouvoirs. Le

tout peuple : l'état indépendant, la société juste et moderne, l'homme libre élevé à la pleine mesure de la dignité. La marche de notre peuple vers ces buts, s'est accélérée tout le long de ce siècle. Mais ses ambitions ont buté et butent toujours contre un système politique qui n'a pas su répondre à ses aspirations, en dépit du rôle positif qu'il a joué dans la fondation de l'Etat et la modernisation de la société. Le régime a continué à imposer la tutelle de l'Etat sur une société soumise, où il

LES LIMITES DU POUVOIR MANAGERIAL En management, il faut savoir confronter l’exercice du pouvoir aux contre-pouvoirs (les forces d’opposition). Le pouvoir détenu par l’autorité légitime est limité par des groupes d’acteurs, par la loi. Nous verrons le pouvoir de décisions du dirigeant est limité. 1/ Les parties prenantes Définition : une partie prenante est tout acteur interne ou externe à une entreprise et concerné par son bon fonctionnement sur le plan de la responsabilité sociétale

Synthèse Suite à la réflexion du groupe, nous avons choisi le thème des médias, hésitant beaucoup sur le sous thème. A partir des documents disponibles, on a choisi le sujet des contre-pouvoirs. En effet, on va se demander en quoi les médias sont un outil de contre-pouvoir en France aujourd’hui encore. Au sein du groupe, nous avons rencontré quelques problèmes. Dans un premier temps, nous n’étions pas d’accord sur la problématique abordée, puis dans un second temps dans la

LIKERT : Styles de direction qui sont au nombre de 4 : paternaliste, autoritaire, participatif, consultatif. SIMON : Processus décisionnel. Il a créé un modèle IMC (Intelligence, Modélisation, Choix). CYERT & MARCH : Parties prenantes + contre-pouvoirs : L’entreprise est un ensemble d’acteurs qui ont des intérêts divergeant et contradictoires dans l’entreprise. (ex : salarié/actionnaire vis-à-vis du partage des bénéfices. MINTZBERG : Stratégies délibérées (ou anticipées) ; stratégie émergeante

leur travail. Les méfaits du capitalisme et plus particulièrement du néolibéralisme sur la société se ressentent de plus en plus : paupérisation, inégalités, détériorations environnementales, mépris de la culture… Cela montre la nécessité d’un contre pouvoir, d’une critique face aux dangers de cette pensée unique présentée comme naturelle et divine. Malheureusement, cet ouvrage nous montre que le capitalisme tire une partie de sa force dans sa capacité à intégrer dans ses fondamentaux les critiques

Vénalité_des_charges La vénalité des charges ou vénalité des offices désigne le système qui a longtemps eu cours sous l'Ancien Régime, dans lequel les fonctions et charges sont attribuées contre payement. En d'autres termes, la personne désirant occuper une charge doit s'acquitter pour cela d'une certaine somme d'argent. Ce système s'oppose à d'autres systèmes d'attribution des charges, notamment au mérite, à l'ancienneté, etc. Sommaire • 1 Historique • 2 Jugements sur la vénalité des offices

en animant, orientant et coordonnant les ressources du groupes (humaines, financière et matérielles). Ceux-là ont pour but d’atteindre les objectifs fixés par la direction générale. 5) Evaluation de la performance du groupe Lafarge : Pour pouvoir évaluer les performances d’un groupe comme Lafarge, la meilleure facon est d’utilisé le tableau de bord de Norton et Kaplan. 2006 résultat en hausse de 25% = 1372 millions d’euros. De plus, leur chiffre d’affaire, montre bien que le groupe reste

* Partie I : Les médias exercent un pouvoir sur la justice et la décrédibilise. * La médiatisation de la justice un contre-pouvoir qui préserve la démocratie. * Les médias un acteur de plus en plus présent dans les procédures judicaires * Partie II : Les médias sont l’assurance d’une justice transparente * L’omniprésence médiatique dans la vie judiciaire. * La remise en cause de l’efficacité judiciaire par le pouvoir médiatique. * Conclusion *