Caricature D Hitler

un premier paragraphe à l’Ingénu, puis un second aux textes de Diderot et Césaire. Paragraphe 1 : Dans cet extrait, l’auteur défend la cause du Huron en dessinant le bailli de manière satirique. En effet, le procédé dominant dans ce texte est la caricature : tous ces défauts, aussi bien physiques que moraux sont exagérés. Il est caractérisé de « plus grand questionneur de la province », sous entendant qu’il est très curieux quand il s’agit d’interroger des individus lambda. Ces traits aussi sont décrits

celui qui rit est davantage à l’écoute des opinions de l’autre, il est mieux disposé à entendre des critiques qu’il réfuterait dans un débat d’idées. En effet, selon le précepte antique, la comédie joue le rôle d’un miroir grossissant, et tend à caricaturer les défauts de la société pour les corriger par le rire : « castigat ridendo mores ». Par exemple, dans La Colonie, Marivaux amplifie par le comique de caractère la mauvaise foi des interlocuteurs masculins : Hermocrate refuse l’idée même de femmes

comme un ennemmi, il dit en autre que toutes les personnes des races dites "infèrieures" doivent mourrir, ainsi que celle des races "supérieures" car elles constituraient un danger pour la race Aryen.. Ici le lecteur est poussé a voir la nazisme comme Hitler le voyait et le lecteur peut, aprés lecture, peut cussiter l'empathie ou l'admiration de cette idéologie. •La Littérature admet aussi l'idée de reflexion par rapport aux problemes sociaux, comme dans l'article "J'accuse" d'Emile Zola lors de L'affaire

avant JC, L'assemblé des femmes où Aristophane critique le sexisme dans l'Agora grecque, assemblée réservé au hommes. Au 17ème siècle, c'est au tour du célèbre fabuliste Jean de la Fontaine de critiquer la société grâce à ses écrits. Il s'amuse à caricaturer les nobles et autres courtisans ainsi que le roi Louis XIV dans ces fables, souvent en utilisant la personnification. Nous pouvons citer par exemple la fable Les obsèques de la Lionne où le roi est représenté par le Lion, qui est dans le cas présent

tard, devenant ainsi mondiale et provoquant ainsi un chômage de masse. En Allemagne, cette crise permettra, en partie, la victoire de NSDAP, le partie d'Adolf Hitler, aux élections législatives. Ce dernier est nommé chancelier par Hindenburg, le président de la république de Wermar, le 30 janvier 1933. A près l'incendie du Reichstag, Hitler met en place la dictature, se fait voter les pleins pouvoirs et met en place une politique antisémite qui abouti aux lois de Nuremberg en 1935 puis 3 plus tard

l’anthologie Flammarion « Le sport, miroir de notre société ? ») Le sport peut se mettre au service du pouvoir quel qu’il soit. Il devient alors un instrument destiné à détourner le peuple. 4 références : - Cette idée est croquée par Cabu (cf Caricature) - Selon Paul Veyne (Le Pain et le Cirque, Sociologie historique d’un pluralisme politique, 1976), le pouvoir n’exploite pas intentionnellement le sport pour éloigner le peuple, il ne fait que conforter voire illustrer un mouvement de désengagement

jamais bon ménage, et il est très vite qualifié de cocktail explosif et dangereux. De même il y a peu d’études consacrées à ce thème et elles subissent souvent une forte controverse, telle la conférence de Stéphane Courtois consacré à ce sujet, la caricature de Plantu reliant communisme et front national… Comme si un tabou devait à tout prix séparer ces deux notions. Pourtant il faut le reconnaitre ces deux idéologies sont implicitement liés, surtout dans le monde actuel et son regain de nationalisme

mon exemple que je vais expliquer) Charlie Chaplin est passé par ce procédé dans son œuvre satirique Le Dictateur, sortie en 1940, dans laquelle il dénonce le système nazi. Dans la deuxième partie du film, à travers le personnage d’Hynkel, une caricature d’Hitler, il parodie les discours du dictateur par la théâtralité́ des gestes, le ton vindicatif, les vociférations, une violence exagérée comme l’indiquent les micros qui se plient de terreur lorsqu’Hynkel s’emporte contre les Juifs ; le personnage

toujours de la même manière : en poussant la logique jusqu’à son terme, en imaginant l’utopie enfin achevée, close, parfaite, et en soulignant quelles seraient les conséquences, grotesques ou terribles, de cette "perfection". Par le biais de la caricature, elle démasque donc le double jeu de l’utopie, les cauchemars dissimulés sous les merveilles promises. La contre-utopie apparaît d’abord au début du 18ème siècle, par opposition à un discours utopique qui tend à se répandre et à se banaliser. On

Leçon), tous les personnages sont de telles marionnettes sans individualité. Dans Rhinocéros, cet aspect des personnages va disparaître progressivement ; alors qu’un Papillon est encore la marionnette du parfait chef de bureau, que Botard est la caricature de l’intellectuel de gauche, les personnages s’individualisent progressivement (Daisy, Dudard et surtout Bérenger) Unité 3. Acte 1. Bérenger et Jean. Le Logicien. Le langage et le comique Bérenger et Jean : Dès leur première apparition, Jean et