Caricature Politique

sont libres, c’est pourquoi toute personne peut fonder un journal. Maintenant, il existe même une presse politique qui été interdite sous l’empire : certains journaux prennent partis pour un mouvement politique ou simplement pour un parti politique. De même, des journaux locaux (qui défend les intérêts locaux ou la politique local), une presse satirique (qui critique les candidats, les caricatures et dénonce leurs compromissions), une presse dialectale (le Nissart pour Nice), une presse mondaine et

il est le seul intellectuel occidental à dénoncer l'usage de la bombe atomique deux jours après les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki dans un éditorial resté célèbre, dans Combat.[] [pic] Kessel fonde en 1928, un hebdomadaire politique et littéraire Le Gringoire ; [pic] Il a fait partie de Paris-Soir et il devient reporter à La Libération. [pic] [pic] Balzac, journaliste brillant et  redouté pour ses critiques féroces et éblouissantes, a tenté de fonder des

sarcastique, dévoile sans pitié leur mesquinerie, leur corruption ou leur débauche. - Il s’adonne également à la gravure caricaturiste : Ainsi paraît en 1799 la série des Caprices, dans lequel Goya critique la classe politique, sociale et religieuse et adopte le genre de la caricature, caustique mais moralisatrice. En effet, dans ces compositions gravées, l’artiste s’en prend à la royauté, à l’aristocratie, aux ministres, aux institutions et porte des attaques, particulièrement audacieuses pour l’époque

cette époque il fréquente la brasserie Andler, 28 rue Hautefeuille, où s'élaboraient les grandes théories et que Champfleury appelait le temple du réalisme. Il y rencontre la bohème parisienne. Courbet est au cœur de l’effervescence artistique et politique. Il se lie avec des artistes qui veulent proposer une alternative à l’antagonisme romantisme-académique (tels que Charles Baudelaire, Hector Berlioz… dont il a fait les portraits). Sous l’impulsion de Jules Champfleury, Courbet jette les bases de

réalité telle qu'elle est. Il utilise aussi la caricature pour représenter les différent types de société et de caractère humain. Enfin, le thème principal de l' écriture de Balzac est l'argent: spéculations, faillites, héritages, autant de thèmes crapuleux par lesquels Balzac exprime sa conception pessimiste de la Comédie Humaine. Cette dernière est composée de six thèmes: Scènes de la vie privée, Scènes de la vie de province, Scènes de la vie politique, Scènes de la vie parisienne, Scènes de la

Poète français du XIX° siècle, il est lui-même issu de la petite bourgeoisie, pourtant il ne s’identifie pas au portrait caricatural qu’il fait du bourgeois mais à celui du poète. Le portrait du bourgeois est dépeint dans un sonnet où l’ironie et la caricature le tourne en dérision. Il est donc intéressant de se rendre compte que le poète nous y brosse le portrait caricatural du représentant typique d’une certaine classe sociale (I) en même temps qu’il suggère et critique son idéologie sur le mariage

que s’impose le traitement « sensationnaliste » du fait divers. Il propose un nouveau rapport à la vie intellectuelle : la politique, la vie sociale, les philosophies, les sciences et les savoirs, les arts et les spectacles connaissent une profonde métamorphose dont cet ouvrage propose un large aperçu. En France, la presse écrite a été l'origine de conflits politiques et de réactions nationales. Au XIXe siècle c'est le cas, lors de l'affaire Dreyfus, l'article «J’Accuse…!» d'Émile Zola publié

la star. Les artistes planétaires, héros ou stars ? Miguel Bosé, Ricky Martin, Shakira, artistes engagés dans la défense de la paix en Colombie, le cinéaste P. Almodóvar, l’actrice Penélope Cruz, Plácido Domingo… Les personnalités et figures politiques : le Roi Don Juan Carlos après le coup d’état de Tejero, le Che… Les sportifs: portés au pinacle par les médias et le public, les sportifs de haut niveau transformés en héros nationaux occupent toutefois une position fragile qui peut s’écrouler

-Thomas Theodor Heine, Caricature de presse, Simplicissimus, Allemagne, 3 juin 1919. Introduction : Ce document est un dessin de presse caricatural politique paru pour la première fois le 3 juin 1919 dans la revue allemande Simplicissimus. Il traite de la vision de son auteur, Thomas Theodor Heine, célèbre journaliste, peintre et dessinateur allemand du début du XXème siècle, du sort réservé à l’Allemagne par le traité de Versailles. Sa signature formée de ses initiales (TTH) est reconnaissable

puissant, qui aime se gaver des privilèges et autres plaisirs qu'offrait le pouvoir politique. Ces caractéristiques sont accentuées par les traits massifs de la sculpture et du personnage : un gros nez, un gros menton ; tout est extrêmement volumineux. Cette œuvre est donc une satire, une caricature politique, nous pouvons également la caractériser d'oeuvre engagée, puisqu'elle va à l'encontre d'une idée, d'un régime politique. GUSTAVE COURBET L'homme blessé,entre 1844 et 1854, huile sur toile