Carnage

Parthes. J.M de Heredia va énoncer dans ce poème la rude bataille des Parthes. Dans le premier quatrain, Heredia va appuyer le faite que la bataille a été très violente par le superlatif « très », et par le lexique de la violence : « rude », « carnage », « choc ». Il fait référence aussi de la violence grâce aux allitérations comme le « c » ; le « r » (exemples : dur, âcres) ; le « t » (exemples : cohortes, tribuns). Ensuite, il va enchainer pour montrer que sont poèmes est vivant par les sens

nul n'a sondé le fond de tes ; O , nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remords, Tellement vous aimez le carnage et la mort, 0 lutteurs éternels, ô frères implacables ! IV- UNE PHILOSOPHIE PESSIMISTE : ETUDE D'UNE PROSOPOPEE LA BEAUTE Reconstituez l'ordre de ce sonnet, en vous rappelant que : - Les rimes sont alternées : a(féminine),b(masc.),a,b

comme angle de vue de niveau, on est mis au même niveau que les personnages du tableau, on pourrait donc s’identifier à ces soldats. De part ce plan moyen, le spectateur plante le déroulement de la scène. Le deuxième tableau décrit une scène de carnage, un moment d’après affrontement. Il s’agit d’un plan général qui plante le décor, il a une valeur descriptive. Sur ce tableau, on observe en arrière plan des maisons écroulées ou brûlées où aucune trace de présence humaine ne subsiste. Ceci évoque

recueil Poésies (1870) est court mais très riche. Effectivement c’est un sonnet, mais Rimbaud dénonce tout d’abord le carnage de la guerre (« cent milliers d’hommes », « croule les bataillons en masse »…), il déshumanise les soldats en comparant les soldats à un « tas fumant », il en fait une « masse » anonyme sacrifié pendant la guerre, et nous évoque une nature sereine face à ce carnage ; de plus Rimbaud ajoute à cela une satire de Dieu et de la religion. Ce qui m’a plu dans ce poème, ce sont les différentes

sombre des nuits ! » Il s'embusqua2, brigand des bois, dans les épines ; Il entassa l'horreur, le meurtre, les rapines3, Égorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. Il vivait dans un antre4, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements : « Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ; Devant moi tout recule et frémit, tout émigre, Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! »

“volonté permanente” L23: Hyperbole : “les passions aveugles” L28-29:Argument d'autorité : “L'histoire ne nous fournit que des exemple de...” L19 – fin du paragraphe: CL mort et désolation “cendre” ; “sang” ; “carnage” ; “victime”; “funeste”. Dernière phrase: oppositions. “carnage inutile” (réel) / “édifice chimérique” (irréel) “citoyen” / “ennemi” Conclusion Ouverture: Guerre et Paix est un roman historique, paru entre1865 et1869, écrit par Léon Tolstoï (auteur russe), qui raconte

omniprésente « vaste », « étalant », « alignées » « quarante mille cadavres » - précision du nombre d'hommes participe au réalisme  « boucheries », « carcasse » - portait des soldats déshumanisés, comme des animaux Champs de bataille présentée comme un carnage Champs lexical de la mort-putréfaction(« consommés »,« carcasses », « squelettes », « boucheries ») Champs lexical de la mort des hommes + destruction (accumulation : « armes rompues, tambours défoncés, lambeaux de cuirasses et d'uniformes, étendards

distinguent à peine des entrelacs de fil, leurs membres ressemblent aux poteaux de bois, leurs corps s'effacent déjà. Au-dessus d'eux, non point le ciel insolemment bleu d'Orpen, mais une admirable nuit étoilée - la nature demeure indifférente au carnage. Drei sanger de Emil nolde Presentation Emil Nolde, né Hans Emil Hansen le 7 août 1867 à Nolde (de) (Schleswig-Holstein) et mort le 13 avril 1956 à Seebüll.Crée drei sanger de 1938 à 1945. Le contexte il adhère au parti nazi dans l'espoir

heures, et approximativement trois millions en quelques jours. Cela suffità lui faire se poser une question pertinente et humaine : " Comment des êtres vivants arrivent à se maintenir et à combattre dans un pareil enfer. " Cette question témoigne du carnage et de lamonstruosité des évènements. Selon lui, cela est impossible de mener tel combat, la bataille de Verdun est d'ores et déjà comparée à un lieu de souffrances. Verdun est alors considérée comme étant legrand tournant de la guerre, la bataille

venger. Nous pouvons identifier sa haine grâce au champ lexical de la colère, Médée emploie les mots : « haine », « Mégère », « rage »,  « courroux ». Ou encore le champ lexical du crime avec comme mots utilisé : « sanglant », « meurtre » ou encore « carnage ». Nous pouvons constater qu'au vers 33, Corneille mets le mot Jason entre parenthèse : « Tu t'abuses, Jason, je suis encore moi-même. » pour bien mettre en valeur le prénom de la personne sur laquelle Médée est en colère. Nous retrouvons plusieurs