Carnage

devient officier dans le camp des anti-esclavagistes. Il est promu lieutenant en 1863. Blessé à la tête à la bataille de Kennesaw Mountain le 23 juin 1864, il est démobilisé en 1865 à la fin de la guerre. Son expérience des combats et les images de carnages marqueront profondément tous ses futurs écrits. Il émigre alors vers l'Ouest et travaille au News-Letter & California Advertiser de San Francisco où il tient une rubrique satirique. Il acquiert une solide réputation de plume acerbe et devient

445-46. III. 4. v. 921-23 II. 2. v. 440-41. III. 4. v. 903-04. Stegmann, op. cit., p.121. 20 21 22 23 24 194 HELGA ZSÁK : La Médée de Corneille, première furie vindicative la vengeance ne prend que quelques vers25, alors que la scène de carnage est étirée par le plaidoyer de Jason après le premier infanticide, qui accentue d’autant l’horreur du second. Corneille atténue l’odieux de l’acte : il n’y consacre que huit vers et met en avant le dilemme. C’est en effet chez Médée qu’apparaît l’idée

la mémoire de la bataille : Une prise de conscience Européenne ? Titre : Verdun durant la première guerre mondiale Problématique : En quoi la bataille de Verdun fut la plus meurtrière ? (doc1) L'enfer de Verdun « Ce fut l'un des pires carnages de la grande guerre : - 750 000 morts et blessés des deux côtés . Français et Allemands . Du 21 février au 18 décembre 1916 , la bataille de Verdun , poussa des Centaines d'hommes bien au-delà des limites généralement admises de la souffrance

engagée l’emmène à écrire le poème `` Le mal ``, écrit en 1891 titrée du livre Poésie. Dans cette analyse, il sera montré que le poète écrit les horreurs de la guerre. Se texte sera question des malheureux victimes de la guerre et un dieu qui abuse du carnage. (95 mots) Dans ce temps de guerre, de malheureuses victimes périssent. C’est deux troupeaux d’hommes sont différencié par les couleurs vert et en écarlate. C’est deux couleurs représentent les troupes françaises qui sont en écarlate et les troupes

tremblaient  Songeaient aux lointaines batailles. Leur esprit voyageait là-bas :  Point de lettre qui les rassure !  Quand les enfants sont au combat !  Pour les mères tout est blessure Et j'entendais, au même instant,  Sur un affreux champ de carnage,  Contre la souffrance luttant,  Gémir deux enfants du même âge  Les deux soldats se ressemblaient,  Mourant quand il fait bon vivre ;  Et leurs pauvres membres tremblaient,  Bleuis par la bise et le givre.  Ils s'éteignaient dans un ravin

pointue comme un couteau. * La lumière : La lampe fait penser a un œil divin et a un soleil. * L’apparition : L’apparition surgie de l’extérieur, c’est une femme au visage et au regard bienveillant, qui fait irruption dans la scène de carnage et de mort tenant une lampe qui n’irradie aucune lumière .Elle est messagère d’espoir d’une victoire pour la suite du combat engagé. Elle nous fait penser à la Statue de la liberté de Manhattan. Les femmes portant des lampes et incarnat l’avenir,

s'offre à nous dans le portrait d'une femme furieuse. Médée se trouve donc dans une grande colère. Le ton violent de ces répliques témoigne de cette colère comme le suggère les champs lexicaux de la mort: "membres dispercés" (v.8); "sanglant; meurtres; carnage"(v.17); "Déchirer par morceaux"(v.21); "crimes"(v.23) et de la vengeance: "Ma rage"(v.11); "haine"(v.15); "colère"(v.22). La colère de Médée repose aussi sur le fait qu'elle a été trompé par son mari: elle a trahi son père et tuer son frère pour lui

sont devenues un putain de poison. Parce que tu te souviens du feu qui coulait dans mes veines ? Celui que tu m'offrais quand tu m'embrassais comme si nos vies en dépendaient ? Bah ce feu-là, maintenant, il s'est mis à tout brûler dans moi. Un vrai carnage. Et la drogue si douce et si innocente à laquelle j'étais accro, c'est devenu un manque horrible qui me pousse à chercher de nouvelles addictions bien moins saines et qui m'arrache la gorge, le cœur, et le peu de neurones qu'il me reste. Tes lèvres

nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Tellement vous aimez le carnage et la mort, Ô lutteurs éternels, ô frères implacables ! Charles Baudelaire

guerre. Puis c’est l’engrenage des alliances. Les souffrances humaines La guerre de tranchées Avec la Révolution technologique (Industrielle) les armes sont d’une puissance inédite => l’artillerie (=canons) et les mitrailleuses provoquent des carnages. Pour se protéger, les tranchées sont creusées *+ de 2 mètres de profondeur. Elles sont reliées entre elles par des boyaux *Du côté de l’ennemie, elles sont surmontées d’un talus formé de sac à terre. Des lucarnes sont pratiquées dans ce parapet