Carnage

Schatzberg Texte documentaire : La Propagande Nazie sous le III ème Reich Illustration des manuels scolaires par Elvira Bauer, artiste de l’époque.( Document iconographique). Poèmes écrits à Auschwitz par Tadeusz Borowcki et Tadeusz Rosewicz (1948) « Carnage d’enfants » « Nuit sur Birkenau » « Der Kamin » ( La cheminée). Documents photographiques provenant du Mémorial de la SHOAH

sont le support de la peinture même. On peut penser que Otto Dix a composé les différents panneaux comme ceci : -à gauche, des soldats montant au front et encore vivants ; cela illustre le début de l'assaut -au centre, un soldat au milieu du carnage où on peut constater de nos propres yeux l'atrocité et l'étendue des dégâts de la guerre et l'enfer vécu par les soldats lors de chaque assaut. -à droite, on peut voir des soldats blessés qui reviennent du front ; cela illustre le retour après l'assaut

Spleen et Idéal » publié en revue en octobre 1852. Dans ce poème, la mer « est [le] miroir » de l’Homme, « ils sont tous deux ténébreux et discrets » ; ils sont bien plus proches qu’ils ne le pensent. Ils sont tous les deux dangereux et aiment « le carnage et la mort ». Un paradoxe est présent car la mer et l’homme s’aiment mais pourtant ils se détruisent, ici la mer peut faire écho à une femme, soit une fleur pour Baudelaire. Ce poème est donc en lien avec Les Fleurs du Mal car la mer et l’Homme sont

cette eau noire Qu'on appelle succès n'osant l'appeler gloire. C'est pourquoi tous, martyrs et bourreaux, je les plains. Hélas ! malheur à ceux qui font des orphelins ! Malheur ! malheur ! malheur à ceux qui font des veuves ! Malheur quand le carnage affreux rougit les fleuves, Et quand, souillant leur lit d'un flot torrentiel, Le sang de l'homme coule où coule l'eau du ciel ! Devant un homme mort un double effroi me navre. J'ai pitié du tueur autant que du cadavre. Le mort tient le vivant

Rimbaud dénonce t'il différentes sortes de " Mal " ? Plan: I - Dénonciation de la guerre II - Dénonciation de la religion III - Dénonciation de la Nature I - Le vers 1 est un vers important par rapport a la représentation du carnage . C'est une métaphore violente et péjorative . On trouv l'iddée de rouge pour le sang et le feu de la mitrailliette . C'est donc ici une atmosphère réaliste qui mèle sang et feu . Il y a présence omniprésente du sifflement des balles ( vers 2 ) et

Car si les Loups mangeaient mainte bête égarée, 5 Les Bergers de leur peau se faisaient maints habits. Jamais de liberté, ni pour les pâturages, Ni d’autre part pour les carnages : Ils ne pouvaient jouir qu’en tremblant de leurs biens. La paix se conclut donc ; on donne des otages : 10 Les Loups leurs Louveteaux, et les Brebis leurs Chiens. L’échange

genou. Le Mal Dans un contexte de guerre entre la France et la Prusse, Arthur Rimbaud écrit Le Mal en 1870, poème à travers lequel il exprime une profonde révolte et dénonce l’horreur de la guerre et l’indifférence de Dieu face au carnage (il remet en cause la religion chrétienne). 2) Analyse interne Les principes philosophiques symbolistes : Les symbolistes ont une conception

(« ils ne se saisiraient point »), l’allusion à la folie sanguinaire (« fureur de la guerre ») accentue la représentation de l’état de violence qui transforme les êtres humains en êtres inhumains, l’image du sang est très violente et choquante (« carnages », « conquêtes payées du sang »). Damilaville fait allusion aux bienfaits de la paix par l’utilisation d’un champs lexical de la tranquillité (« tranquillité », « bonheur », « satisfait »). On voit là encore se mettre en place un jeu d’opposition

sondé le fond de tes abîmes ; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié, ni remords, Tellement vous aimez le carnage et la mort, O lutteurs éternels, ô frères implacables ! (Les fleurs du mal) 1857 A Ulric G. Ulric, nul oeil des mers n’a mesuré l’abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots. Le soleil vient briser ses rayons sur leur cime, Comme

de nous entretuer. Oui, nous pouvons vivre en communauté. Oui, nous sommes capables de vivre dans une paix des plus paisibles. Mais tout cela ne dépend que d'un facteur: notre volonté. C'est par cette volonté qu'on arrivera à éviter les futurs carnages. Auparavant, il aurait fallu le courage d'un seul homme pour que le peuple allemand s'érige contre le nazisme et le pouvoir d'Hitler. Aujourd'hui, nous avons le droit de dire ce que nous pensons alors il ne manque plus que cette volonté de changer