Carnage

flamboyant, rouge comme une forge ; Gouffre où les régiments, comme des pans de murs, Tombaient, où se couchaient, comme des épis mûrs, Les hauts tambours-majors aux panaches énormes 30 Et l'on entrevoyait des blessures difformes ! Carnage affreux ! moment fatal ! l'homme inquiet Sentit que la bataille entre ses mains pliait. Derrière un mamelon la garde était massée. La garde, espoir suprême et suprême pensée ! 35 - Allons ! faites donner la garde, cria-t-il. Et lanciers

Sekhmet, déesse au corps de femme et à tête de lionne. Sekhmet se jette sur les hommes et sème la terreur dans leurs Rangs. Elle en massacra un grand nombre, mêlant innocents et coupables, sans jamais se lasser de jouer des griffes et des dents. Ce carnage déplaît à Râ, certes, il veut "mater" la révolte, mais il ne souhaite pas la disparition de l’humanité. Il s’adresse donc à Sekhmet et lui ordonne de suspendre son action. Celle-ci refuse et continue à traquer les hommes. Râ attend la nuit et le moment

démoniaque ici. Le clown de Mac Donald a l’air fou, saluant de la main la foule comme lors d’une parade. On se demande où les deux personnagess entrainent la fillette. Veulent-ils la sauver ou, comme l’indique leur sourire macabre, la mener vers un autre carnage ? Les trois personnages sont seuls et aucun indice ne nous éclaire sur leur provenance ou leur destination. Opposition enfin entre ces deux personnages masculins adultes tenant (de force ?) une petite fille nue. La bouche de Kim a été modifiée

sauvagement abattus. Quoiqu'il se soit passé, c'était quelque chose de grave. Ce sentiment se confirma lorsque nous mîmes les pieds dehors. Le monde avait changé. Dehors, c'était un paysage des plus étranges qui s'offrait à nos yeux. C'était loin du carnage de notre goulag. Le ciel était bleu, parsemé d'arc-en-ciel, l'herbe était verte, des licornes blanches se baladaient tranquillement dans les rues ; des ours s'amusaient joyeusement avec les petites filles...Des petites filles très étranges, elles

jeunes garons et 7 jeunes filles chaque anne. Ege accepta en pensant que ces 14 jeunes travailleraient dans les champs. Or Minos les envoyait dans le labyrinthe afin quils soient sacrifis. Thse, fils dEge, dcida quil tait de son devoir de cesser ce carnage. Il partit donc vers la Crte avec les 14 Athniens destins tre sacrifis. Il rencontra ainsi Ariane, une des filles de Minos, qui fut immdiatement sduite. Elle lui donna une pelote de fil afin quil puisse la drouler dans le labyrinthe. Ainsi il pourrait

L’enfer de Verdun 1. Le déroulement de la bataille Le lundi 21 février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. Ces obus ravage la zone, les allemands profitent de ce carnage pour passer à l’assaut sur les lignes françaises. Certain soldat possèdent un lance flamme. Les poilus résistent à la première attaque, la riposte est organisé par Philippe Pétain (Qui sera plus tard Maréchal).Les allemands vont continuer leurs attaques pendant plusieurs mois

injustices dans la justice de la haute noblesse :<< C’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public.>>4 Comme le souligne cet extrait, cela ne laisse aucun doute que les populations civiles devaient accepter le carnage et toutes les injustices provoquées par les guerres. À l’époque des Lumières, les philosophes déblatéraient leur vision entre le bien et le mal, de la justice et de l’injustice et cela de façon optimiste. En somme, l’hyperréalisme pour décrire les

agonisait le corps tordu pour montrer la souffrance du peuple. Un soldat mort repose à terre une épée cassée dans la main. A gauche un taureau regarde la scène indemne il représente la brutalité comme si il représentait l’ennemi qui hauteur de ce carnage n’avait aucune compassion et le faisait sans remords. A ses pieds une mère tient son enfant mort dans les bras et hurle de douleur. A droite une personne essaye de s’enfuir en tendant ses bars en geste de supplication vers une fenêtre trop petite

arrivés occupèrent Ensisheim, placèrent une garnison dans le château d’Andlau à Wittenheim et se mirent à menacer Mulhouse. 2) Une violence démesurée. Le texte nous montre que les écorcheurs allaient de villes en villes en faisant un vrai carnage. Même Ensisheim pour avoir eu l’honneur de servir de résidence au dauphin n’en fut pas mieux traité par les Armagnacs. Ces routiers étranger à tout sentiment humain délogèrent de leur demeure ce qu’ils considéraient comme des manants (ligne 10) et

funeste ce divorce De l’Harmonie immense et bleue et de la Force. La Force qu’autrefois le Poète tenait En bride, blanc cheval ailé qui rayonnait, La force, maintenant, la Force, c’est la Bête Féroce bondissante et folle et toujours prête À tout carnage, à tout dévastement, à tout Égorgement d’un bout du monde à l’autre bout ! L’Action qu’autrefois réglait le chant des lyres, Trouble, enivrée, en proie aux cent mille délires Fuligineux d’un siècle en ébullition, L’Action à présent, — ô pitié