Cas Esprit

1 Introduction Voici la présentation de l’étude du cas de la Société Adams. Cette analyse de cas à pour but d’exposer et mettre en valeur le principe de direction, d’encadrement et de supervision dans cette entreprise. Cet à dire : l’acte de diriger, sa nature er ses sources, le leadership, l’importance de la communication dans le rôle du dirigeant et redéfinir le cadre de gestion fayolien. La procédure suivie pour l’étude du cas est celle-ci : le diagnostic, la problématique, l’analyse et

l’expérience. De même nous pouvons avoir conscience de nos sentiments de plaisir ou de peine, et plus généralement de tout ce qui se passe dans notre esprit. Ce genre d’expérience est la source de toute notre connaissance des phénomènes mentaux : on peut parler ici de conscience de soi. Il est évident que seuls les processus à l’œuvre dans notre propre esprit peuvent être ainsi immédiatement connus. Les processus dont le siège est l’esprit d’autrui ne nous sont accessibles qu’à travers la perception du

C O R R I G É Les titres en couleurs servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer sur la copie. © Hatier 2007 ts d’oral Celui qui agit de manière inconsciente, et qui est incapable de savoir ce qu’il fait, peut facilement être conduit à des actions dangereuses, pour lui ou pour les autres. Il dépend de forces impulsives qui peuvent le mener n’importe où, et qui suppriment ses choix volontaires possibles. Au contraire, la prise de conscience de soi-même, et de ses actions

exposant les limites du plaisir et du bonheur dans l’imaginaire. L’imagination est une source d’évasion pour notre âme, notre esprit. On imagine sans réelles limites, on est libre de nos envies. Nos choix ne sont pas jugés, ni contraint de se soumettre à une autre pensée, une autre réflexion qui nous obligerez à faire quelque chose. Lorsque l’on dort notre esprit n’est retenu par aucune force extérieure, il rêve à ce que notre subconscient pense, imagine, que cela soit logique ou non. Nos pensées

Descartes,premier ayant osé concevoir l'animal en tant que « machine » ne partage pas pour autant son point de vue quant à la place de l'homme.En effet si Descartes mettais l'homme à part il semble que Nietzsche trouve logique que ça ne soit plus le cas. En effet l'homme est comparé lui aussi à une machine qui fonctionne donc selon des pulsions, des désirs qui dictent ses comportements et dont il ignore les causes.Prenons par exemple les besoins indispensables à la survie tels que boire, manger

nous-mêmes ? En ne nous souciant pas de la pensée des autres c’est-à-dire en nous rendant sourds à ce qu’ils pensent ? Penser par soi-même consisterait dans ce cas à s’enfermer orgueilleusement en soi-même. "Penser par soi-même", l'expression signifie-t-elle penser tout seul, penser "sans" ou "contre" les autres, ou bien exercer son esprit critique, son jugement personnel, faire preuve d'indépendance et d'originalité ? Ainsi nous allons disserter sur le problème suivant, est-il juste de dire que

même manière qu´un menuisier ne sait pas de manière innée mouvoir ses mains de manière précise, l´être humain en général ne sait pas structurer, aménager, organiser sa pensée de manière précise (certaines prédispositions sont possibles dans les deux cas). Penser nécessite ceci dit un langage, le langage est enfant de la pensée, tout comme la pensée est enfant du langage. Je m´explique. A ses balbutiements, l´être humain ne savait pas parler, tout au plus quelques cris lancés à tort et à travers

limite formellement au sujet, puisque la connaissance des faits de conscience est elle-même limitée aux phénomènes se déroulant dans notre propre corps et pensée : Toute autre connaissance semble devoir être médiatisée. Pour ce qui est des âmes et esprits des autres hommes, nous ne pouvons guère les comprendre dans leur essence profonde et puisqu’elles sont différentes de nous, il n’est pas possible de les connaitre par conscience. Celle-ci établie telle qu’elle risque d’aboutir au concept de solipsisme

à se purifier . Lui même, avant de servir Dieu vivait dans le péché : « Mon cœur bouillant s’agitait, se répandait, se dissolvait en débauches… » . Dans ce cas, comment peut il dire aux hommes qu’il ne faut pas vivre dans le péché ? Saint Augustin prétend que l’âme peut être guidée par le désir charnel ou bien par l’esprit et que dans le cas du désir de la chair on ne peut trouver le bonheur . Mais, comment pourrait on passer d’une vie basée sur les sens à une croyance en un être immatériel que représente

Sibérien et Mongol Chez les Esquimaux, le chaman qui pratique est quasiment nu. Les fonctions de celui-ci sont assurées par d'autres objets, comme le bonnet, la ceinture, le tambourin, etc..... C’est pourtant une exception car dans la plupart des cas, les chamans pratiquent en habit. Un costume qui n’est généralement pas leur tenue de tous les jours (c’est-à-dire leur costume profane), mais un costume particulier. Le costume constitue, alors, à lui tout seul un système symbolique complet et