Cas Pratique Droit Civil Curatelle

Le droit des obligations. Obligation : - sens courant, tout comportement ordonné par l’ordre juridique sans que corresponde en contre partie un droit au profit d’une autre personne.(obligation de rouler à droite…) - Sens juridique, c’est un droit par lequel une personne appelé créancier, peut exiger d’une autre appelé débiteur, une prestation (donner ou faire) ou une abstention (ne pas faire). Le droit des obligations confère un droit personnel au profit de son titulaire. - Sens technique

Partie 1 : Le Couple Pendant très longtemps, le couple était considéré par le droit comme une cellule composée par un homme et une femme unis par les liens du mariage. Progressivement, on a admis que le couple pouvait être composé toujours d’une cellule composée d’un homme et d’une femme mais simplement unis par des relations affectives stables et continues. Ainsi, les concubins pouvaient être assimiler à un couple et pouvait en tirer quelques conséquences. Cette notion du couple a été battue

missions du foyer ..……………….………………………………………………….4 3. Le financement…………………………………………………………………………….5 4. Les partenaires et réseaux du foyer ……………………………….………………….6 5. La place du tuteur ou curateur……………….…………………………………………..7 6. La mise en oeuvre des droits des usagers……………………………………………..8 IV. L’accueil de jour ou j’ai effectué mon stage………………………………………..8 1. Le public accueilli, un public très hétérogène…………………………………………..8 2. Le Conseil de Vie Social (CVS), un rôle primordial ………………………………..…9 3. La place

contrat unilatéral : Il y a deux volontés mais un seul engagement. Exemple : promesse unilatéral de vente Les avants contrats immobilier : Contrat au sens juridique du terme mais pas légalement. Ce n'est pas une obligation légalement parlant. En pratique, ils sont indispensable. Ils permettent de prendre conscience de l'engagement et de réunir toutes les pièces. Depuis la loi Solidarité Renouvellement Urbain ( 1 juin 2001 ) à imposé un délai de rétraction de 7 jours pour les particuliers à partir

Chapitre 1 : la notion de droit de la famille DROIT DE LA FAMILLE La famille ne se passe pas du droit, aucun des faits naturels qui l’intéressent n’échappe à la règle juridique, et particulièrement au droit civil. La notion de famille recouvre tant celle qui est fondée sur le mariage que celle qui est fondée hors mariage soit selon un contrat, le pacs, soit en union de fait comme le concubinage. La famille entraîne la notion de filiation. C’est ainsi que nous

217 du Code civil, par Gilles RAOUL-CORMEIL  Gazette du Palais, 22 mai 2010 n° 142, P. 8 - Logement et famille, par Elodie Mulon  Gazette du Palais, 11 septembre 2010 n° 254, P. 7 Liquidation et pouvoirs du JAF : une circulaire discrète mais ferme ! À propos de la circulaire du 18 juin 2010, par Jerôme Casey  Gazette du Palais, 02 septembre 2010 n° 245, P. 16 Les dissonances juridiques sur l'homoparentalité, par Gérard Pitti  Gazette du Palais, 09 juin 2009 n° 160, P. 13 Quel droit commun de la

SEANCE 6 – LES INCAPACITES Cas pratique Le cas met en avant deux questions : Le droit des parents non mariés sur la gestion du patrimoine de leurs enfants mineurs Les droits des mineurs sur la gestion de leurs biens I- L’administration des biens des enfants par leur père A) La reconnaissance volontaire de ces enfants confèrent-elles à Mr DUVERDIER des pouvoirs d’administration sur leurs biens ? Les enfants du couple DUJADIN-DUVERDIER ont hérités de leur grand-père paternel de biens

apports ». Le consentement des associés Le consentement des associés doit être non vicié et réel. Cependant, contrairement au droit commun des contrats, le vice du consentement n’entraine pas la nullité de la société sauf si l’atteint tous les associés. La capacité Pour être associé d’une SARL, il n’est pas nécessaire d’avoir la capacité commerciale. La capacité civile suffit puisque peuvent être associés : le mineur émanciper ou non, un majeur protégé (c’est un majeur pour une raison physique

Elles ont fait évoluer les conditions de vie des personnes accueillies dans l’établissement. Notamment la loi du 2 janvier 2002 qui vise à offrir à la personne un accompagnement le plus individualisé possible. Ces lois nous emmènent à modifier nos pratiques, à personnaliser nos prises en charge et accompagnements. Elles modifient nos perceptions et nous conduisent à travailler de plus en plus avec les familles, les organismes de tutelles et tous les autres partenaires (sécurité sociale, MDPH, commerçants

société Section I – Les conditions générales Selon l'article 1108 du code civil, plusieurs conditions doivent être réunies relatives au consentement, à la capacité, à l'objet et enfin à la cause. I – Le consentement Le consentement doit être intègre et sincère ensuite. A – L'intégrité du consentement L'intégrité du consentement suppose que le consentement soit exempt de vices. La jurisprudence en droit des sociétés est assez rare. Le consentement ne doit pas avoir été donné