Cas Pratique Droit Des Sociétés

I- LE CHAMP D’APPLICATION DE LA REEVALUATION LEGALE A- Les personnes soumises de plein droit à la réévaluation (articles 2,3 et 5) Sont soumises de plein droit à la réévaluation légale des immobilisations corporelles et incorporelles, les personnes physiques ou morales remplissant les critères cumulatifs ci-après : - relever du régime du réel d’imposition et avoir réalisé au 31 décembre 2010 ou au cours des deux exercices précédents, un chiffre d’affaires supérieur ou égal à cent millions

Cas pratique de droit des obligations I La rupture des pourparlers Deux sociétés sont en négociation contractuelle. L’une d’elle souhaite rompre les pourparlers et répondre à l’offre d’un concurrent. Dans quelle mesure la rupture des pourparlers engage-t-elle la responsabilité de son auteur ? La jurisprudence a consacré le principe de liberté des parties en situation précontractuelle, qui se manifeste notamment par la possibilité de rompre les pourparlers. Dans un arrêt

Rapport de stage Une société civile immobilière pour détenir et gérer les actifs immobiliers professionnels SOMMAIRE INTRODUCTION 4 PARTIE 1 : POURQUOI ISOLER LES IMMEUBLES PROFESSIONNELS DANS UNE SOCIETE IMMOLIERES ? 6 Section 1. Les avantages et les inconvénients de l'inscription des immeubles à l'actif du bilan 6 1-Les avantages 6 2-Les inconvénients 6 Section 2. La SCI : un outil de gestion patrimoniale pour le chef d'entreprise 7 1-Les

Semestre 6 – TD Droit Commercial – Séance n°3 – Année 2012. | « Contrat de société : les apports ». * Cas pratique : En matière commerciale, le droit commun des sociétés permet pour la création de celles-ci des exigences propres à la formation du contrat de société notamment par le biais d’apports qui sont aux nombre de trois ; l’apport en nature, en numéraire et en industrie. Sans ces apports, il n’y aurait pas de société car c’est une condition indispensable à la reconnaissance du contrat

portage d’actions, L.G.D.J. 1996, préf. B. OPPETIT ; D. SCHMIDT : « Les opérations de portage de titres de sociétés », in Les opérations fiduciaires ; Colloque de Luxembourg des 20 et 21 septembre 1984, Ed. Feduci L.G.D.J. 1985, préf. B. OPPETIT, p. 30. J.-P. BERTREL et M. JEANTIN : « Le portage d’actions», R.J.D.A. 1991 p. 683. V. aussi : J.-P. BERTREL et M. JEANTIN : Acquisition et fusion des sociétés commerciales. Ed. Litec n. 619. Sur l’aspect comptable du portage, voir: J.-L. MEDUS : « Conventions

IAE Lyon ANNEE UNIVERSITAIRE 2009/2010 LICENCE ECO-GESTION/AES/LEA PREMIERE ANNEE - DEUXIEME SEMESTRE DROIT CIVIL TOME 1 Mme DURRLEMAN – Mme SERRAS M. RAVIT 1 PLANNING DES TRAVAUX DIRIGES Séance 1 Du 25/1 au 30/1 p. 5 La classification des contrats et la capacité des contractants Séance 2 Du 1/2 au 6/2 p. 11 Séance 3 Du 8/2 au 13/2 p. 27 Séance 4 Du 22/2 au 27/2 p. 43 Séance 5 Du 1/3 au 6/3 p. 61 L’existence du consentement Les vices du consentement L’objet

Résoudre un cas pratique consiste à soumettre une situation de fait à un traitement juridique. Il faut identifier le ou les problèmes en cause et leur donner une réponse juridique. Avant toute chose, il est conseiller de lire plusieurs fois le cas pratique dans son intégralité afin d’identifier les différents problèmes juridiques traités et de déterminer les faits pertinents. La méthodologie de cet exercice se décompose en quatre étapes de résolution. PREMIÈRE ÉTAPE : INTRODUCTION L’ACCROCHE

DES STOCK-OPTIONS…………….…. Section 1 : Diagnostic juridique…………………………………………………..………. I- Généralités………………………………………………….…………………..…….…. II- Mise en place d’un plan d’options……………………………………………………... II.1- Champ d’application …………………………………………………..………. 1- Sociétés pouvant consentir des options …...……………………………………... 9 9 9 10 11 11 I II IV V 1 2- Bénéficiaires des options…………………………………………………..……… 11 II.2- Conditions d’octroi des options ……………………………………………….. 1- Procédure d’autorisation ………………………………………………….

encadrent les pratiques relatives au corps humain et à l'utilisation de ses composantes. En effet, l'essor des biotechnologies et le progrès dans le domaine des pratiques médicales font de la question de la propriété du corps humain un lieu de débat politique, juridique et éthique. C'est toute la question du statut du corps dans nos sociétés qui est posée. Nul doute en effet que le corps n'est pas un objet et encore moins une marchandise comme une autre. Et pourtant nous revendiquons le droit de disposer

le temps. La principale interrogation portant sur le caractère imprévisible des sanctions ainsi prononcées. La notion de prévisibilité traduit l’évènement auquel le sujet aurait dû ou pu songer ; et qu’il l’ait envisagé, en droit, traduit la possibilité pour le sujet de droit d’anticiper sur les effets juridiques de ses actes. (L’anticipation de ce qui est prévisible n’est possible qu’à travers plusieurs hypothèses. De fait l’éventualité de la sanction est prévisible, mais, la nature de cette sanction