Cas Unilever Brésil

 Cas L ‘OReal Introduction Dans un monde où la mode est devenue un moyen de distinction, de recherche d’appartenance et de statut social privilégié, les entreprises combattent pour offrir le meilleur aux consommateurs d’aujourd’hui. En cosmétique, les cheveux sont devenus également un grand moyen de séduction et de différentiation, et la course vers de nouveaux produits plus performants et répondant à de nouveaux besoins ne cesse de s’arrêter. Au contraire les entreprises, en l’occurrence l’Oréal

Les années 1980 sont marquées par un renforcement de la concurrence, notamment sur le marché des verres progressifs, et le développement de groupements d’opticiens. Afin d’accroître sa compétitivité, Essilor implante d’autres sites de production de série au Brésil et en Thaïlande. Le Groupe structure et élargit également ses réseaux de distributions locaux en rachetant des distributeurs en Europe et en intensifiant sa présence en Asie. En 1986, les filiales américaines sont regroupées au sein d’Essilor of America

l'intérêt que représente le groupe aux yeux d'un éventuel prédateur. En effet, l'activité eaux pourrait intéresser Coca-Cola ou Pepsi et certaines marques Nestlé, les produits laitiers seraient très intéressants pour des sociétés comme Kraft, Nestlé ou Unilever. Danone figure parmi les 1ers groupes agroalimentaires mondiaux. Le CA par famille de produits se répartit comme suit : • produits laitiers frais (50,5% ; n° 1 mondial) : yaourts et desserts (marques Danone, Activia, Actimel, Danette, Gervais

Sociétés Contrôle ou actionnariat Chiffre d’affaires non consolidé (M d’euros) 2 158,0 605,0 578,6 Date de clôture NESTLE FRANCE DAVIGEL CHARAL Nestlé Suisse (100%) Nestlé France (100%) Groupe Alliance via Compagnie Financière Charal (99%) Unilever France (99%) Uniq (Grande-Bretagne) Nestlé France (100%) Union Fermière Morbihannaise (32%) Conserverie Morbihannaise (17%) BNP Paribas via PAI Partners (50%) Bolton Group (Italie) Comptoir Commercial Alimentaire (100%) Familles Gonnord & Chartier

16 695,1 97,8 % 3 Unilever R.U./Pays-Bas 11 302,0 28,1 % 4 Estée Lauder Etats-Unis 5 389,8 100 % 5 Avon Etats-Unis 5058,4 69,8 % 6 Beiersdorf Allemagne 4 661 84,6 % 7 Shiseido Japon 4 478,2 97,2 % 8 Kao Japon 3 886,5 47,6 % 9 Henkel Allemagne 2 972 22,7 % 10 LVMH France 2 731 16,6 % 11 Coty Etats-Unis 2 527,4 100 % 12 Colgate Palmolive Etats-Unis 2 314,2 23 % 13 Johnson & Johnson Etats-Unis 2 226,2 5% 14 Natura Brésil 1 617 100 % 15 Revlon

citées dans le produit, IUT Sceaux LES SUCETTES CHUPA CHUPS Etude de cas de Corinne CHEVALIER IUT Sceaux Techniques de Commercialisation, Département Marketing - Novembre 2002 - « Ce cas ne peut être utilisé sans l’autorisation de la Centrale de Cas et de Médias Pédagogiques (CCMP) ou de son auteur Corinne Chevalier. Toute utilisation en violation des droits d’auteur fera l’objet de poursuites légales ». ©2002– Cas ‘ Les sucettes Chupa Chups’ - Corinne Chevalier – IUT SCEAUX - 2 SOMMAIRE

concerne l’environnement économique, les acteurs du marché du coffret cadeaux sont peu touchés par cette dernière. En effet, malgré cette période de récession économique, on remarque que certaines entreprises affichent une belle réussite. C’est le cas par exemple de Smartbox qui publie des gros chiffres, et de fortes croissances pour son activité sur l’année 2008. Ce dernier, leader du marché des coffrets cadeaux, affiche une croissance de + 61% entre 2007 et 2008. Il en est de même pour Weekendtour

|Etats-Unis |17 600,5 | |2 |L‟Oréal |France |16 695,1 | |3 |Unilever |Royaume-Uni Pays-Bas |11 302,1 | |4 |Estée Lauder |Etats-Unis |5 389,8 | |5

10 % services : 20 % | Taux de chômage | 4,9% (2007) | Principales industries | | Commerce extérieur | Exportations | 45,43 milliards $ (2009) | Biens exportés | Pétrole, Cacao, Caoutchouc, Bois | Principaux clients | États-Unis 42%, Brésil 9,5%, Inde 9%, Espagne 7,3%, France 5.1%, (2008) | Importations | 42,1 milliards $ (2009) | Biens importés | | Principaux fournisseurs | Chine 16,1%, Pays-Bas 11,3%, États-Unis 9,8%, Royaume-Uni 6,2%, France 5,1%, Allemagne 4,4%, | Finances

La création des empires coloniaux espagnols et portugais aux XV et XVIème siècles favorise l’émerge d’une conception centralisée des échanges internationaux. Si la dynamique portugaise laisse une certaine autonomie aux entrepreneurs privés, le cas espagnol s’inscrit en revanche dans une approche résolument tournée sur le seul intérêt national. Il contribuera à l’émergence des doctrines « mercantilistes ». La phase correspondante au mercantilisme espagnol se caractérise par l’obsession