Cass 1ère Civ 12 Novembre 2009

famille | | | | | |1ère année Licence Droit. Série 2 | | |2010-2011 |

les biens immeubles La maxime ne détermine plus la classification même si elle conserve une valeur ethnologique B_ Le contenu de la qualification C’est la loi et non pas la volonté des parties qui détermine ce qui est meuble ou immeuble Civ 3, 26 juin 1991 [B.N°197 JCP 92II21825] « la nature immobilier ou mobilière d’un bien est définie par la loi et la convention des parties ne peut avoir d’incidence à cet égard », la volonté des parties peut avoir un rôle mais déterminer indirectement

exemple lorsque le refus n’est pas justifié par des impératifs d’ordre public ; mise en œuvre de la responsabilité sans faute de l'État pour rupture de l’égalité devant les charges publiques). Le principe de l’indemnisation résulte d’un arrêt CE Novembre 1923, Couitéas. Pour la responsabilité sans faute il faut faire la preuve d’un préjudice spécial et anormal. Au niveau européen, une fois les voies de recours interne épuisées, la responsabilité de l'État peut être recherchée devant la CEDH. L’octroi

"abusive" (brutale, vexatoire ou discriminatoire). Le préjudice ne tient pas dans le fait de ne pas avoir conclu le contrat mais dans les frais qu'on a exposé les négociations, mais je ne peux pas obtenir les bénéfices du contrat Ch. commerciale 26 novembre 2003 Arrêt société Alain MANOUKIAN CCass censure la demande des remboursements des bénéfices or on peut demander que le remboursement des FRAIS de la négociation. Lord DENNING qui dans l'arrêt Courtney 1975 dit qu'il n'est pas possible de négocier

contrat entre le vendeur des matériaux et l’entrepreneur). Le cas des chaînes de contrats non-translatives de propriété : contrats d’entreprise successives : le tiers ne peut agir qu’en responsabilité délictuelle contre le contractant (arrêt Besse 12 juillet 1991) (Les non translatifs de propriété, les sous traitant, premier contrat entre maitre d’ouvrage et entrepreneur et celui-ci fait appel a un sous traitant, mais pas de contrat entre maitre d’ouvrage et sous traitant, donc pas de responsabilité

unilatérales, ou arrangements bilatéraux… = Quel que soit le type de convention, elles ont en France une valeur supérieure à la loi, sous réserve qu’il y ait réciprocité dans cette application. Deux arrêts ont affirmé ce principe : Cass, Café Jacques Vabres, 1995 – Cass, Nicolo, 1989. Lorsqu’il y a un conflit entre les 2, c’est le texte international qui prend le dessus. 1. Les sources non étatiques – la lex mercatoria Lex mercatoria. La doctrine, au 1e rang desquels on trouve le professeur

originaire Patrimoine originaire de Laurent Actif brut Bien = 52 000 Passif Dette = 25 000 Actif net = 27 000 euros Patrimoine final Actif Bien = 52 000 Acquets net = 52 000 – 27 000 = 25 000 euros Pour Constance = 25 000 / 2 = 12 500 F) Xavier et Claire se sont mariés en 1990 sous le régime de la participation aux acquêts. Au cours du mariage, Claire a recueilli dans la succession de son père un studio de 30 000 €. En 1992, elle le vend 45 000 € et avec le prix retiré de

Droit international privé Lexique d’introduction A Accord procédural : l’accord procédural est une institution ou mécanisme prévu par l’article 12 alinéa 3 du C.P.C : c’est la possibilité reconnue aux parties de lier le juge « par les qualifications et points de droits auxquelles elles entendent limiter les délais ». Il existe en droit privé 2 catégories de matière : celle dans le commerce juridique où maîtrise des parties et celle en dehors. Quand on passe un contrat, on est dans le commerce

Paragraphe 3 : les sources européennes. On constate la coexistence entre les déclarations générales et les conventions spécifiques ciblées. La source essentielle de la PP reste la convention européenne des droits de l’homme signée à ROME le 4 novembre 1950. Elle a une valeur exceptionnelle car offre une protection effective des droits de l’homme, recours étatique et aussi individuel et déroge au principe de non ingérence permettant à un état d’agir contre un de ses pairs. La CEDH n’a pas un

juridique prend fin, la dépouille mortelle n’est donc pas une personne, elle est une chose mais une chose particulière qui ne doit pas être traitée comme n’importe quelle chose. Les modes de sépultures autorisés. En vertu de la loi du 15 novembre 1887 est que « Tout majeur ou mineur émancipé en état de testé pour régler les conditions de ses funérailles notamment en ce qui concerne le caractère civil ou religieux à leur donner et le mode de sépulture. » Cette disposition pose clairement le