Cass 2ème Civil 26 Avril 2007

traduites en actes sont conformes aux bonnes mœurs. Les bonnes mœurs sont des habitudes de bonne vie, des usages ou des règles morales dont la société ne permet pas qu’il puisse être dérogé par la volonté des parties. Si un certain nombre de lois civiles et pénales françaises ont transposés des bonnes mœurs et sanctionnées certaines pratiques, telle la révocation des donations pour cause d’ingratitude et l’indignité successorale, la loi reste incapable de définir les bonnes mœurs dans la mesure où

commutations ne sont pas nécessairement des échanges volontaires. Les échanges volontaires, ce sont les contrats mais ce n’est pas tout : il y a aussi des commutations involontaires comme l’avait déjà relevé Aristote. C’est l’objet de la responsabilité civile que de permettre la réparation des préjudices résultant des fautes humaines. En matière de justice commutative, l’égalité est beaucoup plus stricte qu’en matière de justice distributive : elle n’est plus proportionnelle, elle est arithmétique. Ceci

 DROIT CIVIL Sous titre 2 : L’effet relatif du contrat Le principe de l’effet relatif du contrat est énoncé à l’article 1165 du Code civil: Les conventions n’ont d’effet qu’entre les parties contractantes. Et le texte précise que ces conventions ne nuisent ni ne profitent au tiers. Chapitre 1 : La distinction des parties des tiers La détermination des parties au contrat ne pose pas de difficultés particulières. Les parties au contrat sont les personnes qui ont conclu le contrat, qui

fondement du droit de punir dès 1832 Recul se manifeste par le système des habilitations= le leg va déléguer une partie de ses attributions à un autre pvr (exé et judiciaire). Habilitations sont de deux ordres : * habilitations permanentes : loi du 28 avril 1832 ajoute un 15ème al à l’art 471 du CP, cet al prévoyait que « sont puni d’une amande de police de 1ère classe ceux qui auront contrevenu aux décrets et arrêtés légalement fait par l’autorité admi et ceux qui ne se seront pas conformé au règlements

statut particulier (Guyane, Martinique), sous réserve d’adaptations découlant de leur spécificité. L’indivisibilité conciliée avec les transferts de compétences. UE : union politique ; union économique et monétaire Traité de Lisbonne (13 décembre 2007) : clarification de la répartition des compétences entre l’UE et les Etats, distinction entre les compétences exclusives de l’UE, les compétences partagées et les compétences d’appui, de coordination ou de complément. Mécanisme de protection du principe

trouve à s’inscrire dans le contrat, renferme une situation propre, une individualité créatrice d’effets de droit (M. Mekki, Le nouvel essor du concept de clause contractuelle (1,2), 1ère partie, Revue des contrats 2006, p. 1051 et s. ; 2ème partie, Revue des contrats 2007, p. 239 et s.). Proposer une typologie de ces clauses contractuelles – car c’est à elles, du moins à certaines d’entre elles, on l’aura deviné, que sera consacré ce séminaire - relève apparemment de la gageure. Parce que les clauses

intérêt à consacrer une intention particulière. A côté de la théorie générale des contrats, il y a des règles et des pratiques particulières auxquelles nous allons nous intéresser. § 1 - L'évolution des contrats spéciaux A. De Rome au Code Civil 1) Le Droit romain en lui-même Principes fondamentaux du Droit romain > Le Droit romain est un droit fondé sur la procédure : Historiquement, ce qui importait à l'époque romaine c'était (non pas d'avoir un droit) d'avoir accès au Juge, d'avoir

2EME PARTIE : LA RESPONSABILITE DELICTUELLE CHAPITRE 1 : La responsabilité du fait personnel Le 1er texte qui ouvre la responsabilité délictuelle est l’article 1382 du C.civ. Ce texte pose une règle de responsabilité du fait personnel, une responsabilité qui est subjective, càd fondée sur la faute, et en substance il dit la chose suivante : « la personne qui commet une faute doit indemniser la victime du préjudice causé du fait de cette faute ». Ce texte est ensuite complété par l’article 1383

une loi du 26 juillet 2005 « sur l’audience d’homologation de la comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité », une loi du 12 décembre 2005 relative au traitement de la récidive des infractions pénales, une autre du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme, la sécurité et les contrôles frontaliers. Une loi du 4 avril 2006, relative à la prévention de la violence dans le couple ou contre les mineurs, 5 mars 2007 sur l’équilibre de la procédure pénale, 10 aout 2007 sur la récidive

25 Section II le régime du concubinage 26 Chapitre II le pacte de solidarité civil 28 Section I la formation du PACS 29 Section II les effets du pacs 31 Livre II la dissolution du couple 34 Titre I : la dissolution du couple non marié 34 Chapitre I la rupture du pacs 34 Section I les conditions de la rupture 34 Section II les effets de la rupture 35 Chapitre II la rupture du concubinage 36 Section I la question de la responsabilité civile 36 Section II le recours en quasi contrat