Cass Civ 1ère 16 Juin Juin 1998

ANCEL pour son précieux soutien scientifique. iv TABLE DES ABREVIATIONS Publications Banque Banque et droit Bibl. Dr. privé Bull. civ. Bull. joly CCC D. Defrénois DP Dr. et patrimoine Gaz. pal. J.-Cl. JCP JCP E JCP N JDI JO LPA Procédures Rép. civ. Dalloz Rép. com. Dalloz Rev. arb. Rev. conc. Consom. Rev. crit. de DIP RD imm. RDAI RDBF RDC RTD civ. RTD com. S. Revue banque Revue banque et droit Bibliothèque de droit privé Bulletin des arrêts de la Cour de cassation Bulletin mensuel Joly

que fournir des informations exactes au transitaire pour l’exécution du mandat. 9 Cour de cassation commerciale du 02/02/1999 : bulletin civil, n°39 10 -Le transit de marchandisesb) A l’égard des tiers A l’égard des tiers, en vertu de l’article 1998 du Code Civil, le mandant doit exécuter les engagements conclus par le mandataire en son nom. Tout se passe, en effet, comme s’il les avait conclus lui- même. Le mandant n’est pas, en principe, tenu par les actes excédant le mandat, à moins qu’il ne

fournir des informations exactes au transitaire pour l’exécution du mandat. 9 Cour de cassation commerciale du 02/02/1999 : bulletin civil, n°39 10 -Le transit de marchandisesb) A l’égard des tiers A l’égard des tiers, en vertu de l’article 1998 du Code Civil, le mandant doit exécuter les engagements conclus par le mandataire en son nom. Tout se passe, en effet, comme s’il les avait conclus lui- même. Le mandant n’est pas, en principe, tenu par les actes excédant le mandat, à moins qu’il ne

interprétatives. Le caractère déclaratif de la jurisprudence c’est selon Battifol «  la curieuse revanche de la subordination du pouvoir judiciaire au pouvoir législatif : en interprétant la loi, il dit un droit qui vaut pour le passé comme pour l’avenir »16. Ces variations de qualification ne changent rien à la façon dont le phénomène est ressenti par les intéressés. L'impact du revirement de jurisprudence, est toujours d'une violence inattendue : celui qui a agi croyait le faire conformément au droit

Document n° 3. Cass. crim., 24 janv. 2012, n° 11-84045, Bull. crim., n° 20 ; LPA, 6 août 2012, n° 156, chron., p. 6, obs. M. Boursier......................................................................................... 3 Document n° 4. Article 2 du code civil ................................................................................................ 6 Document n° 5. Cass. ass. plén., 23 janv. 2004, n° 03-13617, D., 2004, p. 1108, note P.-Y. GAUTIER ; Bull AP, n° 2 ; RTD civ., 2004, p. 598

domicile qui est en cause mais le local où la famille vit effectivement. Le logement de la famille ne s'identifie pas nécessairement avec le domicile conjugal et les juges du fond décident souverainement du lieu où se trouve le logement. ( arret 1 ere civ 22 mars 1972);le logement familial doit être le lieu qui abrite la famille et les enfants, mais ne signifie pas pour autant qu'ils doivent résider ensemble. Ainsi le logement dans lequel l'épouse à été installé par son mari, celui ci désirant recouvrer

et le crédité peut revêtir plusieurs formes et porter sur divers objets. En effet la doctrine se réfère à plusieurs critères : d’abord le critère de la durée : on distingue les crédits à court terme, crédits à moyen terme et les crédits à long terme[16]. Ensuite, une classification selon les garanties accordées par l’emprunteur, ainsi on distingue le crédit hypothécaire et le crédit sur gage. Enfin une distinction s’est faite compte tenu de la date de la réalisation du crédit : avance et ouverture

(au moment du « jugement dernier » sur les résultats sociaux, selon le manuel de Mme Cozian et Viandier et Mme Deboissy) que s’opère la contribution de chaque associé aux pertes, s’il en existe. Ce principe a été posé à plusieurs reprises en JP : V. Cass. Com 3/03/1975. Ce principe vient d’être rappelé par la chambre commerciale dans un arrêt du 5 mai 2009 (n°08-14.044, inédit) : rien n'interdit de prévoir une participation aux pertes anticipée, en cours de vie sociale, mais celle-ci ne peut résulter

le législateur les a introduit dans le Code civil. A cette date, apparaît la définition du concubinage et l’institution du pacte civil de solidarité (PACS). 3. C’est par une loi1 en date du 15 novembre 1999 et publiée au journal officiel, le 16 novembre 1999, que le législateur définit le concubinage. Le concubinage a désormais un statut légal. La loi reconnaît explicitement la vie à deux sans mariage. Son apport principal est d’admettre dans notre législation l’existence d’un concubinage

1980, p. 621, note Droz G.-A.L., JDI (Clunet) 1980, p. 442, obs. Huet A. 3 CJCE, 27 févr. 1997, aff. C-220/95, Van den Boogaard, Rec. CJCE, I, p. 1147, Rev. crit. DIP 1998, p. 466, note Droz G.-A.-L., JDI (Clunet) 1998, p. 568, obs. Huet A., Cah. dr. eur. 1999, p. 183, note Tagaras H. 4 Civ. 1ère, 8 juin 2004, n° 02-13.632, Bull. civ. I, n° 162. 5 En ce sens, Gaudemet-Tallon H., Compétence et exécution des jugements en Europe. Règlement du Conseil no 44/2001/CE, Conventions de Bruxelles et de Lugano