Cass Civ 2ème 12 Mai 1966

selon les époques, les mœurs de la société, ses buts et ses besoins[11]. L’infraction ne renvoie pas seulement au texte, à la norme écrite. Certes, on définit de façon traditionnelle l’infraction comme étant la somme de l’incrimination et de la sanction[12]. Néanmoins bien souvent ce n’est pas ainsi que les auteurs définissent cette notion. En effet au-delà de l’incrimination et de la sanction, ce sont les composantes de l’infraction qui sont débattues. Différentes conceptions de l’infraction s’opposent

acteurs, le juge et la doctrine. Pour le juge il va y avoir des arrêts fondateurs, la jurisprudence. La belle époque du DA (se termine en 1921), l’arrêt Blanco (TC, 8 février 1873). La belle époque car il y a eu la création du CE par la loi du 24 mai 1872, créée aussi le tribunal des conflits, avant même les lois constitutionnelles de la IIIème il y a un appareil juridictionnel pour limité l’administration, la soumettre au droit. 9 mois après avoir été crée le TC va rendre l’arrêt qui pose les jalons

directe des opérations internationales de banque dans les instruments internationaux. Il en résulte un extraordinaire enchevêtrement des règles de droit applicables aux opérations internationales de banque créant des problèmes juridiques inédits (2ème problématique). Ces différentes opérations sont soumises aux principes généraux qui régissent les contrats en droit international. Notre étude rappelle ces principes généraux, examine les crédits internationaux et en tire les conséquences. II

apport en industrie (travail). Le but lucratif depuis 1978 a deux versants : réaliser bénéfice, profiter économie (Loi a été prise suite à une JP de la CC° qui nous dit que le bénéfice et l’économie ne sont pas la même chose depuis l’arrêt 2e civ, « MANIGO » de 1914 et que faire des économies n’étaient pas un but lucratif). - Affectio societatis : en filigranes dans 1832 mais plus clair dans 1833 : intérêt commun des associés : volonté d’avoir une activité commune et ceci sur un certain

développent une pétition de principe. unilatéral ne servirait donc à rien (il y aurait vice du raisonnement). L’engagement unilatéral doit donc être irrévocable. Rédaction : Jean-Christophe Wérenne – 2001/2002 11 Théorie Générale des Obligations 12 10.2 DANS LA JURISPRUDENCE Le débat n’est pas terminé en France. En Belgique, la Cour de Cassation en a fait une source générale d’obligations. Dans les années 70, la Cour de Cassation a pris une position de principe en matière de contrats de travail

assisté à une multiplication et à une complexification des CS. En 1er lieu, pour un même contrat on a vu apparaître de nouvelle subdivision. Ex : à côté du bail de droit commun on retrouve le bail commercial, le bail d’habitation, le bail rural … en 2ème lieu, participant du mouvement de développement de l’ordre public le droit de la consommation comme le droit de la concurrence ont ajouté de nouvelles règles pour tenir compte de la qualité des parties. Le droit de la consommation cherche à protéger

est alors exonéré des pertes. La jurisprudence commerciale considère que la promesse de cession d’action est exceptionnellement valable afin de favoriser les opérations de cession, de rachat d’actions. La chambre commerciale depuis un arrêt du 20 mai 1986 dit que ces promesses sont valables alors que la chambre civile depuis un arrêt du 7 avril 1987 ne les admet pas. • La 3ème source est la coutume ou les usages. Il s’agit d’une règle issue d’une pratique, appuyée sur la conviction dans le

sont, pour 82% d' entre eux, propriétaires de leur résidence principale. Ce taux tombe à 55% si l' considère les on 10% de titulaires du revenu déclaré médian (compris entre 16 600 € et 20 000 €) et à 38% pour les personnes déclarant entre 9 000 € et 12 500 € de revenus annuels3. La part des propriétaires de leur résidence principale, et des propriétaires immobiliers plus généralement, est aussi croissante avec le patrimoine détenu. Les 50% de ménages qui détiennent un patrimoine supérieur à 105 000

ministère de la justice, 10 mai 2005 ; - S. Antoine, « Le droit de l’animal, évolution et perspectives », D. 1996, chron. 126 ; - A. Bertrand-Mirkovic, La notion de personne, PUAM, 2003, préf. F. Terré ; - X. Bioy, Le concept de personne humaine en droit public, Dalloz, 2003, préf. H. Roussillon ; - X. Labbée, « Esquisse d’une définition civiliste de l'espèce humaine », D. 1999, chron., p. 437 à 442 ; - R. Libchaber, « Perspectives sur la situation juridique de l’animal », RTD civ. 2001, p. 239 ; - J.-P

patrimoniale).   En principe, c’est la loi qui fixe la protection. Mais quelques difficultés demeurent.   Un arrêt de la Cour Internationale de Justice a conduit à une Convention de la Haye le 5 oct 1961 sur la protection des mineurs. Le 19 oct 1996, une 2ème convention de La Haye a été signée pour résoudre les problèmes de la 1ère (mais elle n’est pas en vigueur), également a été adopté une convention à Lahaye toujours, sur les incapables majeurs.   En Nov 2003, un règlement européen est appelé à interférer