Cass Civ 2ème 20 Novembre 2003

L’ADMINISTRATEUR INDEPENDANT Présenté et soutenu par Mélanie MAENHAUT Mémoire en vue de l’obtention du DEA de droit des contrats, option droit des affaires Directeur de recherche : Madame M.- C. MONSALLIER-SAINT MLEUX Année universitaire 2002/2003 1 SOMMAIRE INTRODUCTION.......................................................................................................................5 1ère partie : les sources du statut............................................................

affecte des biens pour la mise en œuvre d’un intérêt général. * 2ème exception dans la notion de fiducie : nouvelle technique créée par une loi de 2007 ; permet la création d’un patrimoine spécifique distinct de son patrimoine personnel et affecté à une personne (fiduciaire) chargée d’administrer et gérer ces biens. (art. 2011 et suivants du Cc) Projet de réforme en cours du droit des biens. Avant projet remis au ministère en novembre 2008. Dans l’ensemble : clarification et simplification et remis

posées par la loi de 1881 celle ci pour entériner sa pleine efficacité a dû être complétée par divers textes parmi lesquels on peut citer entre autres la loi du 29 mars 1935 sur la profession de journaliste, ou encore les lois du 1er août et du 27 novembre 1986 réformant le régime juridique de la presse. De son côté, l’intervention du conseil constitutionnel en la matière a été décisive, notamment avec l’interprétation que ce dernier a fait de l’article 11 de la Déclaration de 1789. C’est en 1984 en

Commentaire d’arrêt Cass. 3ème civ., 19 novembre 2008 D’après le doyen Carbonnier, la notion de « personnes de la maison » désigne « l’ensemble des personnes groupées autour du même foyer, sous la même autorité domestique », et c’est cette « autorité qui créée la responsabilité ». Le 19 novembre 2008, la 3ème Chambre civile de la Cour de cassation, réunie en formation plénière, a rendu une décision de rejet surprenante au regard de l’évolution de la notion susmentionnée de « personnes de la

de cette somme, la SIVN - créancier tiers à la délégation imparfaite - a fait effectuer une saisie-attribution entre les mains du délégué. Appel étant interjeté du jugement de première instance, la Cour d’appel, dans un arrêt en date du 28 mai 2003, a donné mainlevée de la saisie-attribution et rejeté les demandes de la SIVN qui s’est alors pourvue en cassation. La SIVN reprochait à la Cour d’appel d’avoir violé l’article 1275 du Code civil et soutenait à l’appui de son pourvoi que la délégation

long de l’année universitaire qui s’est écoulée. 3 Abréviations et acronymes: Aff. : Affaire Art. : Article B : Arrêt mentionné au Bulletin d’information de la Cour de cassation Bull. Civ. : Bulletin Civil C/ : Contre CA : Cour d’appel Cass. : Cour de cassation CEE : Communauté Economique Européenne Civ. : Chambre Civile CJCE : Cour de Justice des communautés européennes CJUE : Cour de Justice de l’Union Européenne Cons. : Conseil CPC : Code de Procédure Civile CPI : Code de la Propriété Intellectuelle

L’exemple type est le logement de l’entrepreneur individuel. Le législateur contemporain a voulu protéger l’entrepreneur individuel par la loi de 2003 : la loi prévoit la DNI (déclaration notariée d’insaisissabilité), c'est-à-dire que l’entrepreneur indépendant peut déclarer sont logement insaisissable par ses créanciers professionnels. Dans la loi de 2003, il fallait une volonté de l’entrepreneur individuel. Mais la loi Macron de 2015 a rendu insaisissable de plein droit le logement de l’entrepreneur

(construire une piscine, livrer un objet, réparer un véhicule). - L’obligation de ne pas faire suppose de s’abstenir d’accomplir certains actes (par ex. : un kinésithérapeute s’engage auprès de ses associés à ne pas s’installer dans un rayon de 20 km, dans l’hypothèse où l’association serait rompue, un propriétaire s’engage à ne pas construire devant la terrasse de ses voisins, etc.). La distinction présente surtout un intérêt pour la sanction de l’inexécution (article 1142 du Code civil)

photocopies du document en question - peuvent être (1) Loi n°82-1126 du 29 décembre 1982, JORF 30/12/82, p.3995 et ss, DF 83 n°43 (2) Loi n°78-17 du 6 janvier 1978, JORF 07/01/78 p.227 et ss (3) BODGI 13 K-2-85 du 26 novembre 1985, DF 51/85-II 8590 (4) BODGI 13 K-2-85 du 26 novembre 1985, DF 51/85-II 8590 (5) BOI 13 K-2-88 n° 6 du 18 mars 1988; Doc. adm. 13 K-118 n° 1 à 4, 1er juin 2001 6 remboursés des frais exposés sur la base forfaitaire de 3 F, soit 0,46 € (TTC) le feuillet. Il est précisé

l’exploitation économique des enfants par le travail. En effet, le cacao ivoirien a fait l’objet d’une menace d’interdiction sur le marché américain. La Côte d’Ivoire, dont le cacao représente avec le café 40% des recettes d’exportations du pays et environ 20% de son PIB, avait été accusée ces dernières années par des ONG d’utiliser "abusivement les enfants" dans ses plantations[2]. Ce qui a valu un battage médiatique sans précédent. C’est dire que face à la recrudescence du travail des mineurs la société