Cass Civ 3eme Du 9 Juillet 2003

n'est pas seulement faire des bénéfices mais c'est aussi pour investir contrairement à l'intérêt personnel qui serait d'avoir des dividendes. Dans les années 1980, on s'est demandé si le thèse institutionnelle avait été renforcer : loi de juillet 1985 a modifié art 1832 du CC = «  la société est institué par deux ou plusieurs personnes » terme institué renvoie à une institution. Cette même loi a crée la possibilité de créer des société unipersonnel UERL. Donc Sot est bien une institution.

de technique d'organisation à l'entrepreneur. Ex: La loi du 1er mars 1984 sur la prévention et le règlement amiable des difficultés de l’entreprise, remplacée par la loi du 26 juillet 2005 sur la sauvegarde et redressement judiciaire (portait sur la prévention des difficultés des entreprises). La loi du 11 juillet 1985: le législateur se sert de la SARL pour donner une fomre juridique à l'entreprise individuelle: introduit la notion d’EURL . Loi 12 juin 99: permet création de la SAS unipersonnelle

opérations se déroulent sur une période limitée. | |Changement de critère avec BONIFACE (cassation obligatoire car redressement seulement après vérification de comptabilité et non d’un ESFP). Reprise de ce | |nouveau critère en 2003 dans les arrêts ROCHE (cassation car CAA appliquant le critère de l’habitude) et RISET comme la « détention, la maîtrise et l’usage| |d’informations et de techniques spécialisées ».

font figures de précurseurs en la matière (exemple : Claude Bébéar en 1993 et Jean Peyrelevade en 1999), les dirigeants français ont longtemps cherché à se soustraire à la divulgation de leurs rémunérations. Le premier rapport Viénot I publié en juillet 1995 n’aborde pas la question de la transparence sur la rémunération des dirigeants. Le second rapport Viénot (1999), quant à lui, a recommandé aux sociétés cotées de rendre l’information sur les rémunérations perçues par les dirigeants aisément accessible

Ecole doctorale n° 74 LA PROTECTION DE L’ENFANT EN DROIT INTERNATIONAL PENAL : ETAT DES LIEUX Mémoire de Master recherche Mention Droit international présenté par Aurélie LA ROSA Sous la direction de Monsieur le Professeur LAVENUE Année universitaire 2003-2004 Mémoire publié après autorisation du jury sur http://edoctorale74.univ-lille2.fr « L’humanité se doit de donner à l’enfant le meilleur d’elle-même… » Déclaration de 1924 sur les droits de l’enfant. 2 SOMMAIRE SOMMAIRE……………………………………………………………………………………

MATIERES ___________________________________________________________________________ Lettre de mission……………………………………………………………………… 4 Composition du Groupe de travail…………………………………………………… 6 Le mandat du Groupe de travail et la méthode retenue……………………………. 9 Préambule……………………………………………………………………………… 11 Questionnements………………………………………………………………………. 14 1) Des éléments d'interrogations prospectives………………………………………… 14 2) Des enjeux de politique publique en faveur des famille……………………………. 15 - Enrichir l'acquis de

ne contractera pas, engage aussi sa responsabilité délictuelle. Celui qui rompt brutalement les négociations l’engage également = ce sont les conditions de la rupture qui peuvent être fautifs. Arrêt rendu par la chambre commercial du 26 novembre 2003 : arrêt Manoukian. La cour de cassation va refuse d’indemniser autre chose que les frais de négociation. La cour de cassation dit que la rupture brutale des pour parlers n’est pas la cause du préjudice résultant en la perte de chance de réaliser les

telle que développée par Anzilotti (prof de DIP et public italien) à l'Académie de DI de la Haye (se trouve dans les locaux de la CIJ où chq année des cours sont professés par professeurs du monde entier à étudiants du monde entier, l'été. Session en juillet de DIP et en aout de DI privé – tous ces cours sont à la BU: RCADI - Académie confère des bourses soit dit en passant) en 1929 peut se résumer comme ça: dans le dualisme il faut partir de l'idée qu'il y a une étanchéité des deux ordres juridiques

vente. Eriger initialement en infraction pénale, le refus de vente a été dépénaliser dans les rapports entre professionnels par l’ordonnance du 1er décembre 1986 relatif à la liberté des prix et de la concurrence. 10 ans plus tard, la loi du 1er juillet 1996 sur la loyauté et l’équilibre des relations commerciales abroge l’article 36-2 de l’ordonnance de 86 qui sanctionnait par la responsabilité civile un tel refus. Désormais lorsqu’on parle du refus de vente il faut distinguer la situation du consommateur

n’inclut pas les dépenses nécessaires à l’éducation des enfants. Il se borne à pourvoir au strict minimum à la subsistance de l’époux. 214 : visée plus large. Il dépasse le devoir de secours puisqu’il se base sur le train de vie des époux. Cc° 11 juillet 1979 : brouille les pistes en disant que le devoir de secours dépend du niveau social des époux. - Différentes finalités : Ce qui est certain c’est qu’en période normale quand ils cohabitent la contribution aux charges prend le pas sur le devoir