Cass Civ 3eme Du 9 Juillet 2003

rémunérer les DG et DGD pour leurs fonctions. La loi NRE a maintenu la possibilité de rémunérer le Président du CA pour sa fonction de dirigeant. Dans la SARL le cumul de fonctions n’est pas règlementé par le législateur, mais dans la SA oui : Loi du 24 juillet 1966. L 225-22 CCom : -un administrateur en fonction ne peut jamais prétendre à la conclusion d’un contrat de travail avec la SA. Mais l’inverse est possible : un salarié peut être nommé administrateur. Il faut juste que le contrat de travail soit

législateur. Ainsi dans un arrêt EKY du 28 Octobre 1760 le CE a examiné un moyen tiré de la violation de l’article 8 DDHC selon lequel nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulgué antérieurement au délit. De même dans un arrêt du 16 Juillet 1971, le CC a affirmé que les règles relatives à la liberté d’association étaient au nombre des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République ; énoncé dans le préambule de la Constitution de 1958, et s’imposant au législateur.

nationalité et le domicile (car la résidence est bien plus proche de la notion de domicile). Dans la définition du domicile entre un élément intentionnel, alors que dans la résidence habituelle on ne tient pas compte de l’intention.   Donc est apparu ce 3ème rattachement (la résidence habituelle) ce qui accentue l’émiettement du statut personnel. En droit Français le statut personnel est régit par la loi nationale mais cela reste un principe très très général qui connaît beaucoup d’exceptions.    

DES CONSOMMATEURS EN LINEAIRE 3. UNE RECHERCHE IDENTITAIRE 4. L’APPARTENANCE A UN GROUPE 5. L’ENVELOPPE IDENTITAIRE 6. L’EMOTION DANS L’ACTE D’ACHAT 7. UNE QUESTION DE SENS 8. LE PROCESSUS DECISIONNEL 9. LES CRITERES D ACHAT EN GRANDE SURFACE A. LES EVOLUTIONS MAJEURES DU COMPORTEMENT D’ACHAT DU CONSOMMATEUR EN GRANDE SURFACE B. COMMENT FAIRE PREDOMINER UN PRODUIT EN GRANDE SURFACE GRACE AU PACKAGING 10.COMMENT EVALUER

contrat malgré tout. Mais c’est la seule chose qu’il puisse faire, c ‘est à dire conclure le contrat aux conditions déjà prévues. La JP très ferme, lui interdit de prendre prétexte la défaillance de la condition pour essayer de renégocier le contrat. Civ 3ème 31 mars 2005. Vente d’une parcelle de terre subordonnée à l’inexistence de servitude et constructible, or il s’est avéré que la parcelle était inconstructible et que la condition ne pouvait se réaliser car avant que le contrat soit conclu, le vendeur

en matière de preuve il a besoin que d'un original car pas d'O qui pèse sur le débiteur. *Dans le Cc, aucun article dit clairement que le prêt est un contrat réel et ce sont les tribunaux qui l'affirme depuis le 19e siècle. Arrêt du 20 juillet 1981 1er ch, civ : cet arrêt rappel que le prêt n'est pas formé car :« faute de remise de la chose a l'emprunteur, il y a pas remise donc pas de contrat.» c'est un contrat de restitution (prêt, dépôt et ajouté par la JP le don manuel, DONC le bail a pas de

conséquence au niveau de la preuve, c’est l’article 1326 du code civil qui s’applique, alors qu’en matière commerciale c’est le principe de liberté de la preuve. 2ème conséquence : si le cautionnement est commercial il est présumé solidaire. 3ème conséquence : le délai de prescription passe de 30 ans pour le civil à 10 ans en cas de cautionnement commercial. 4ème conséquence : compétence des tribunaux, cela est très important en pratique car la cour de cassation connaît des solutions

gain financier est imposé en deux fois : - Imposition lors de la levée de l’option Lors de l’exercice de l’option, le bénéficiaire n’est imposable que sur le rabais excédentaire, supérieur à 5% pour les options attribuées depuis le 1er juillet 1993. Cette tranche doit figurer dans la déclaration annuelle de revenus établie au titre de l’année de la levée de l’option pour être soumise au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Elle est également soumise à la CSG et à la CRDS en tant

a adapté car ya eu aucune loi après la loi Lakanal. Cette loi a été modernisée en 1985. Cette loi de 1957, est codifiée a droit constant (sans aucune modification du moins depuis 85) dans le code de la propriété intellectuelle par une loi du 2 juillet 2002. Actuellement on applique toujours la distinction entre le droit de représentation et le droit de reproduction. Cette distinction devient cependant de plus en plus gênante: avec les moyens modernes de communication des œuvre, il faut analyser

opérateurs économiques doit les conduire à utiliser au mieux les facteurs de production et de la manière la moins onéreuse pour la collectivité. • 2ème : La concurrence tend à abaisser les prix jusqu’au coût minimal de production. • 3ème : La concurrence tend à ajuster l’offre de produits ou services à la demande. • 4ème : La concurrence sert les intérêts du consommateur. Première représentation : La concurrence est un état de marché. Deuxième représentation : La concurrence