Cass Civ 8 Avril 2004

d’une simple obligation de faire, le bénéficiaire de la promesse ne pourra se prévaloir que de dommages et intérêts sur le fondement de l’article 1142 du Code civil. C’est d’ailleurs ce qui a été retenu dans l’arrêt de la Chambre commerciale du 28 avril 1987(5). Un second arrêt de la Cour d’appel de Paris du 13 novembre 1998(6) précise que le bénéficiaire de la promesse ne peut se prévaloir des dommages et intérêts qu’au titre d’un préjudice matériel et non d’un préjudice moral. Au stade de

la fin du XIXème siècle voit se renverser totalement la logique antérieure, avec l'affirmation progressive de la responsabilité de l'employeur au regard de la sécurité dans l'entreprise, assortie d'obligations5. La reconnaissance par la loi du 9 avril 1898 de la responsabilité de l'employeur, en cas (intervention Comte Albert de Mun, débat à la Chambre, juillet 1890). 4 Ainsi, Paul Leroy-Beaulieu, dans son essai sur la répartition des richesses (1883) écrit : "Il ne peut y avoir aucun doute sur

déc. 2005-524/525 DC du 13 octobre ▫ Doc. n°2 2005, Engagements internationaux relatifs à la peine de mort Cons. Constit., 19 novembre 2004, déc. n° 2004-505 ▫ Doc. n°3 DC, Traité établissant une Constitution pour l’Europe II/ Traité international, loi et règlement ▫ Doc. n°4 ▫ Doc. n°5 Cons. Const., 15 janvier 1975, déc. n° 74-54 DC (extraits), Loi sur l’IVG Cass. Mixte, 24 mai 1975, Cafés Jacques Vabre, p. B. Mixte n° 4 (extraits) Non reproduits (pour aller plus loin) Conseil d’État, 15 mars

Document n° 5 : Cass. 1re civ., 25 févr. 2016, n° 15-12.403:Localisation:L’article 9 du Code civil dispose que “chacun a droit au respect de sa vie privée”. La décision rendue par la Première chambre civile de la Cour de cassation en date du 25 février 2016 traite du conflit entre le droit au respect de la vie privée et les exigences de la preuve.Faits: Le 23 septembre 2001, un artisan est victime d’un accident corporel alors qu’il réparait la charpente d’un puits d’une cliente. À la suite de cet

obligations d'informations ont été imposée par la JP ou par la loi. Néanmoins, on continue à les qualifier d'obligation contractuelle sauf en matière notariale et médicale depuis un revirement de JP opéré le 3 juin 2010 civ 09-13591 cet arrêt a été confirmé par un arrêt du 19 juin 2013 civ (doc3) . 2° condition : il faut l'existence d'un contrat or dans certaines hypothèses la question de l'existence du contrat se pose. Lorsque le manquement reproché à l'autre se situe au moment pré-contractuel ou

civile en matière criminelle, t. I et II, Paris, 3e éd., 1876, Larose. – R. MERLE et A. VITU, Traité de droit criminel, t. II, Procédure pénale, 5e éd., 2001, Cujas. – J. PRADEL, Droit pénal comparé, 2e éd., 2002, Dalloz ; Procédure pénale, 12e éd., 2004, Cujas ; Histoire des doctrines pénales, Que sais-je ?, 2e éd., 1991, PUF ; Procédure pénale comparée dans les systèmes modernes, Rapport de synthèse des colloques de l’ISISC, 1998, AIDP. – J. PRADEL et A. VARINARD, Les grands arrêts de la procédure

supplémentaire. La question a été portée devant la Cass (Cass. Com. 20 mai 1987) : tout créancier doit déclarer aux organes de la procédure, en cas de procédure collective contre le débiteur, la créance dont il est titulaire mais aussi les privilèges et suretés dont il dispose. Or, le créancier n’avait pas mentionné l’existence du droit de rétention. Les organes de la procédure considèrent que le créancier ne pouvait plus utiliser ce droit. La Cass considère que le texte du Code de commerce ne prévoit

Travaux dirigés: Droit des obligations Séance n°4: La sanction des conditions de formation: la nullité I)Les faits En avril 1978, à la demande de M. Jean-Marc X..., un agent de la société Mutuelle des provinces de France a fait parvenir une proposition d'assurance ne comportant pas la signature de M.X...., celui-ci paya néanmoins la prime qui lui fût ultérieurement réclamée.En janvier 1979, un accident causé par le véhicule assuré révéla que son conducteur habituel était M. Hubert X... qui était

Il a déjà été observé comment sa présence était indispensable à la qualification et à la validité du contrat de vente. D'ailleurs la vente consentie sans prix sérieux est affectée d'une nullité fondée sur l'absence d'un élément essentiel du contrat (Cass. com, 23 octobre 2007). A. Les qualités exigées de la chose vendue Nous verrons successivement les critères de la chose, objet du contrat de vente. Tout d'abord il est nécessaire que la chose soit déterminée. En effet pour que le consentement

contrôle de ces compétences § 1 : Critiques sur le recrutement des experts § 2 : Loi 2004 et amélioration de la sélection Chapitre 2 : Missions de l’expert dit « judiciaire » Section 1 : Le rôle de l’expert § 1 : Eclairer le juge § 2 : Rédiger un rapport Section 2 : Le déroulement de la mission § 1 : La décision ordonnant expertise § 2 : Exécution de la mission Conclusion Annexe note de synthèse Bibliographie Index p2 p 8 à 38 p8 p8 p8 p 12 p 17 p 17 p 20 p 23 p 23 p 23 p 28 p 32 p 32 p 35 p 39 à 69 p