Cass Com 21 Novembre 2000

vantées par des documents publicitaires, doivent-elles considérées comme intégrés dans l’offre ? Autrement dit les documents publicitaires peuvent-ils se voir conférer valeur contractuelle ? La Cour de cassation a répondu récemment à cette question (Cass. 1re civ., 6 mai 2010) en affirmant que « les documents publicitaires peuvent avoir une valeur contractuelle dès lors que, suffisamment précis et détaillés, ils ont eu une influence sur le consentement du cocontractant » (Il s’agissait ici d’une mère

* BIMCO Baltic and international maritime Council * BTL Bulletin des transports et de la logistique. * CA Cour d'Appel. * CAMP Chambre Arbitrale Maritime de Paris. * Cass Cour de cassation. * C.civ Code civil. * C.com Code de commerce. * Civ. Chambre civile. * Com. Chambre commerciale. * CMI Comité Maritime International. * CNUDCI Commission des Nations-Unies pour le Droit du Commerce international. * DMF Droit maritime français.

Droit Maritime. Ass. plén. Assemblée plénière. BIMCO Baltic and international maritime Council BTL Bulletin des transports et de la logistique. CA Cour d'Appel. CAMP Chambre Arbitrale Maritime de Paris. Cass Cour de cassation. C.civ Code civil. C.com Code de commerce. Civ. Chambre civile. Com. Chambre commerciale. CMI Comité Maritime International. CNUDCI Commission des Nations-Unies pour le Droit du Commerce international. DMF Droit maritime français. JCP Juris-classeur périodique. NVOCC

d'interrompre les pourparlers est le corollaire de la liberté contractuelle (qui implique le droit de ne pas contracter) et de la liberté de la concurrence (qui implique le droit de prospecter). Du point de vue des précontractants, selon la jurisprudence (Cass. 2e civ., 4 mars 2004) cette liberté se traduit par l'existence d'un droit subjectif, le droit de rupture unilatérale des pourparlers, dont l'usage n'est pas fautif en principe. Mais si le fait d'interrompre les pourparlers n'est pas fautif, les modalités

le contrat permet d’engager une action en responsabilité notamment lorsqu’il comporte une obligation de sécurité. Illustration – action contractuelle en cas d’accident au passage en caisse d’une cafétéria. Cass. civ. 1ère, 1er juillet 2003, Resp. civ. ass. 2003, com. n°252 Dans la cafétéria d’un grand magasin, une enfant a été brûlée par le renversement d’une théière. La Cour d’appel a constaté que le fait dommageable était survenu lors du passage de la cliente à la caisse et alors

Bull. Joly : Bulletin Joly Sociétés BRDA : Bulletin rapide de droit des affaires C/ : Contre CA. : Cour d'Appel Cass. : Cour de Cassation Cass. civ. : Cour de Cassation, chambre civile Cass. com. : Cour de Cassation, chambre commerciale. Cass. crim. : Cour de Cassation, chambre criminelle. Cass. Soc. : Cour de Cassation, chambre sociale. C. civ. : Code civil C. com. : Code de commerce CE : Conseil d'État CEDH : Cour européenne des droits de l’homme Cf. : Confère Ch. : Chambre

légitime de précarité, il n’y a donc pas eu en l’espèce de volonté de fraude (6). Par ailleurs, la seule volonté des parties ne constitue pas un motif légitime suffisant de précarité. Ainsi la 3e Chambre civile de la Cour de cassation, dans un arrêt du 9 novembre 2004, a estimé qu’une cour d’appel ne peut retenir l’existence d’une convention d’occupation précaire sans caractériser l’existence de circonstances particulières autres que la volonté des parties constituant un motif légitime de précarité (7).

Droit spécial des sociétés TDModalités d’évaluation  : 1 interro écrite  : 30% de la moyenne (20 -30 min séance 6, après l’étude de la cession des parts en SARL soit, le 21 mars) (révision de la séance une à la séance 5 incluse. SNC, SCIV Sarl nomination, gérance, révocation, cumul et cession des parts) · Questions de cours ou mini cas pratique (application de la règle)1 devoir sur table/ Galop d’essai  : 70% de la moyenne (1h30 au Séance 8 soit

du fait de l’unicité du patrimoine, l’entrepreneur peut être mis en cessation de paiement par un créancier en dehors de sa vie économique. 1 Cass., crim, 12 janvier 1981, n° 7993-455, Bull n° 10. Cass., com., 12 novembre 1997, n° 94-15829, Bull 1997 IV, n° 290, p. 251. 3 Cass., com., 14 mars 1989, n° 87-16620, Bull. 1989 IV n° 405. 4 Cass., com., 8 juillet 2003, Bull., 2003 IV, n° 1148. 5 Bernard Grelon, Prévention et cessation des paiements, Paris : DallozLitec, 2011. Procédures collectives

par les statuts. Par exemple, on peut convenir que la libération n’interviendra qu’au fur et à mesure de la réalisation de bénéfices. Dans les sociétés à risques limités, la libération est encadrée par la loi, mais avec de plus en plus de souplesse[21]. Pour les SA et les SAS, on exige seulement la libération de la moitié du capital au moment de la souscription et du reliquat sur cinq ans maximum à compter de l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés. Pour les SARL, un cinquième des