Cass Com 26 Juin 2007

: Loi n° 2006-728 du 23 juin 2006 portant réforme des successions et des libéralités, JORF 24 juin 2006, Texte 1 (extraits). Travail : Vous répondrez aux questions posées. B- La jurisprudence Document 2 : Cass. civ. 1re, 9 oct. 2001, Bull. civ. I, n° 249. Travail : - Faire la fiche d’arrêt du document 2. Cette solution vous paraît-elle équitable ? - Dissertation : la jurisprudence est-elle source de droit ? 1 C- La coutume, les usages Document 3 : Cass. civ. 3e, 26 mars 2013, n° 11-24311. Travail

condition cependant : d’une part, il fallait que l’enfant soit viable (ou du moins que rien ne vienne renverser la présomption de viabilité) ; d’autre part, il fallait que les blessures ou la mort de l’enfant soit imputable aux faits du tiers (CA Douai, 2 juin 1987, GP. 1989.1, p. 145, accident de la circulation de la mort ; décès d’un enfant pratiquement à terme). La question a été reposée plus récemment en jurisprudence. Par deux décisions, la Cour de cassation a refusé de reconnaître l’application de

98 IR. 10 ; Gaz. Pal., 1998.1, panor. cass. p. 116, Journal n° 134 p. 116) admis que la relaxe du chef de blessures involontaires et de divagation d’animal dangereux exclut la responsabilité en tant que gardien de l’animal. On notera toutefois que la Cour de cassation a refusé plus récemment de faire jouer la règle en cas d’infraction matérielle (Civ 1ère, 7 octobre 1998 - Bull. civ. I n°286 ; D. 1999 somm. 7 obs. P. Jourdain ; Gaz. Pal., 1999.1, panor. cass. p. 18). Plus généralement, deux objections

d’exécution forcée.» Des faits de l’espèce, il ressort que suite à divers contentieux les ayant opposés depuis 1987, la SIB a été condamnée par la Cour d’Appel de Bouaké à payer au CIENA la somme de 22.783.000 francs CFA. Suivant requête en date du 26 mars 1997, la SIB a saisi la Cour Suprême de Côte d’Ivoire aux fins d’entendre ordonner le sursis à l’exécution de la décision de la Cour d’Appel. Par arrêt n°184/97 du 23 juillet 1997, la Cour Suprême a rejeté la demande de sursis à l’exécution de

civil, écarter le bénéfice de la clause limitative de responsabilité insérée au contrat, statuer comme il a fait ; que le moyen n’est fondé en aucune de ses branches ; PAR CES MOTIFS : REJETTE le pourvoi. 17 Cour de cassation, Civ. 1ère, 19 juin 2008 N° de pourvoi: 06-19753 Attendu que la Caisse d’épargne et de prévoyance des Alpes (la Caisse d’épargne) a consenti deux prêts, le premier d’un montant de 3 400 000 francs, le second d’un montant de 2 400 000 francs, à Claude X... et à son épouse

établie par le doyen P.Roubier en 1952.cet auteur distinguait quatre types: Patrick REY « Concurrence déloyale et pratiques anticoncurrentielles » Cycle droit 11 et économie de la concurrence Cour de Cassation13 septembre 2007 http://www.courdecassation.fr/IMG/File/pdf_2007/13-09-2007/13-092007_rey_ppt.p .df 8 - les moyens de confusion avec une maison rivale concurrente - les moyens de dénigrement et de critique excessive d'une maison - les moyens de désorganisation interne d'une entreprise

en indiquant la nature du vice de motivation retenu, tel que “sans rechercher... sans caractériser...”, afin que la cour d’appel de renvoi sache exactement ce qu’elle doit faire et qu’avait omis la première cour d’appel. Document n° 2 : Cass. com., 23 janvier 2007, 05-13189, Bull. civ. IV, n° 12 Donne acte aux sociétés Camaieu SA et Camaieu International de ce qu'elles se sont désistées de leur pourvoi en tant qu'il était formé contre la société Montrico ; Attendu, selon l'arrêt attaqué (Paris, 12

d'application de l'article 6, (CE 2 juin 1989, de Saint Pern) a par la suite accepté par l'avis de Section SARL Auto-industrie Méric de juger que les majorations d'imposition prévue à l'article 1729, 1 du CGI en cas de manoeuvres frauduleuses constituaint des «accusations en matière pénale » au sens de l'article 6 § 1 de la Convention. Dans le même temps, la Cour de cassation jugeait, sans nuances, que l'article 6 de la Convention était applicable en matière fiscale (Cass. com. 20 novembre 1990). Si les deux

Doc. 1 : Cass, ass. Plén., 14 avril 2006, n°02-11.268 : BICC. 1er juillet 2006 ; rapp. Petit, concl. De Gouttes ; D.2006.1577, note Jourdain (2e esp.); JCP. 2006. II. 10087, note Grosser (2e esp.) ; RDC 2006, 1083, obs. Laithier et 1207, obs. Viney. Doc. 2 : Civ 1re, 25 novembre 2020, n°19-21.060 P: D.2021, note Tisseyre; RTD civ. 2021. 126, obs. Barbier ; JCP 2020, n°1409, note Mekki Doc. 3 : Cass., Com. 29 juin 2010, pourvoi n°09-67.369, arrêt Soffimat. Doc. 4 : Cass., Com. 12 juillet

plus appropriés pour fixer la valeur des droits, parmi lesquels peuvent figurer ceux prévus par les statuts. » Dans le cadre de cet arrêt, la Cour ne dit pas grand-chose de plus que ce qu’elle avait pu affirmer dans ses arrêts précédents (Com., 4 décembre 2007) ; et dans ce sens l’arrêt du 5 mai 2009 n’est pas fondamentalement novateur. Il s’agit plutôt ici de s’affranchir des divergences d’interprétation de ses décision passées, afin d’affirmer clairement et sans équivoque sa position quant aux