Cass Crim 10 Février 2009

catégories : Les lois constitutionnelles : elles mettent en place une constitution ou elle modifie la constitution en vigueur. Elles sont élaborées par un référendum ou par la réunion du Congrès. Ces lois ont valeurs constitutionnelles (ex: 23 février 2007 : art 66-1 au sujet de l'interdiction de la peine de mort même en temps de guerre ou de circonstances exceptionnelles. 23 juillet 2008 : modernisation des institutions (la ½ de la constitution modifiée) afin d'encadrer le pouvoir exécutif, renforcer

notion a été utilisée à propos des plans d'aménagement rural. Elle a été reprise en matière de chasse maritime (pas de chasse car objectif de conservation de l'équilibre). Elle a été reprise dans la loi « relative à la protection de la nature » loi du 10 juillet 1976. dans cette loi, il y a deux autres termes: les notions d'habitat et de biotope. Le biotope est le lieu où habite une espèce. Il comprend des éléments biotiques et abiotiques (terre eau). Ces éléments forment une niche écologique pour les

France) Convention : Convention européenne des droits de l’Homme Cour : Cour européenne des droits de l’Homme (dans le texte) Cour EDH : Cour européenne des droits de l’Homme (en note de bas de page J.C.P: Semaine juridique, Edition générale Rev. sc. Crim.: revue sciences criminelles et de droit pénal Rev. trim. dr. Hom : revue trimestrielle des droits de l’Homme RDPD : revue de droit pénitentiaire et droit pénal SOMMAIRE Introduction Partie 1 : L'affirmation de la conception matérielle de la légalité

rediscutées. La première loi bioéthique a été adoptée en 1994, révisée en 1999, puis en 2004. Un projet de loi de révision de la loi bioéthique de 2004 sera déposé avant fin 2009 pour une application au premier trimestre 2010. C’est le but des Etats généraux de la bioéthique qui se sont déroulés durant le premier semestre 2009. – Le 4e et dernier critère qui caractérise la règle de droit est le fait de pouvoir invoquer cette règle devant les institutions chargées de rendre la justice. C’est

Liste des abréviations AJDA : actualité juridique du droit administratif. CASS : cour de cassation. CE : conseil d'État. CC : conseil constitutionnel. C.J.C.E : cour de justice des communautés européennes. C.J.U.E : cours de justice de l’union européennes. RFDA : revue française de droit administratif. QPC : questions prioritaires de constitutionnalité. PFRLR : principes fondamentaux reconnus par la loi de la république. RDC : Revue du droit constitutionnel. RDP :

établira alors définitivement la réalité de la dette. Dans le cas du recouvrement du montant d'un prêt, notamment d'un prêt à la consommation, le professionnel devra apporter la preuve de l’exécution préalable de son obligation de remise des fonds (Cass. Civ. 1re, 14 janv. 2010 (pourvoi n° 08-13.160 PB), rejet)16. Le créancier devra aussi tenir compte des paiements partiels réalisés par le débiteur17. On voit donc que la réalité de la dette doit s'établir et s'anticiper bien en amont du litige,

irrecevabilit é de l’act ion m ais pour incom pét ence de la j uridict ion appelée à en connaît re. Le m oyen de l’inconst it ut ionnalit é ne saurait ainsi êt re ut ilem ent soulevé devant le j uge ordinaire, qu’il s’agisse du j uge j udiciaire ( Cass. 11 m ai 1833, Paulin, gérant du Nat ional) ou du j uge adm inist rat if ( CE 23 m ai 1901, Delarue, et CE Sect . 6 novem bre 1936, Arrighi et Dam e Coudert : «Considérant qu’en l’ét at act uel du droit public français, ce m oyen n’est pas de nat ure

coupable ». Mais cette référence est encore trop abstraite, trop générale pour la CEDH, qui doit trancher des situations de fait. La jurisprudence des Cours Suprêmes de Common Law vient appuyer certaines de ses décisions. Ce fut le cas dans l’affaire Allan[10], qui soulevait un problème de fond relatif à la mise en ?uvre du droit de ne pas s’auto-accuser, et ceci dans des termes semblables à une affaire sur laquelle la Cour Suprême du Canada s'était déjà prononcée. La solution adoptée par la juridiction

Idée de soumettre de plus en plus l’administration au droit, on retrouve les 2 acteurs, le juge et la doctrine. Pour le juge il va y avoir des arrêts fondateurs, la jurisprudence. La belle époque du DA (se termine en 1921), l’arrêt Blanco (TC, 8 février 1873). La belle époque car il y a eu la création du CE par la loi du 24 mai 1872, créée aussi le tribunal des conflits, avant même les lois constitutionnelles de la IIIème il y a un appareil juridictionnel pour limité l’administration, la soumettre

contractuelle sont réunies, il n'est plus possible de faire jouer la responsabilité délictuelle. La jurisprudence requalifie souvent l'action engagée sur le terrain délictuel par un demandeur liée contractuellement à la victime ( civile 2, 9 juin 1993, doc 10 fiche 1 ). Cette règle est approuvée par la majorité de la doctrine. L'argument le plus souvent invoqué est qu'il s'agit de respecter l'autonomie de la volonté des parties. Le principe du non cumul est appliqué avec une certaine intransigeance par la