Cass Crim 8 Janvier 2003

matières (terrorisme, trafic de stupéfiants), une disposition qui supprimait tout entretien avec l’avocat au cours de la garde-à-vue. Le principe de publicité des débats, et donc de la décision est un principe constitutionnel. b. La CEDH Art 8 : Respect du droit à la vie privée. On peut restreindre le droit à la vie privée à condition que cette restriction soit absolument nécessaire et proportionnée au but à atteindre (écoutes, sonorisations). La France est souvent condamnée devant la CEDH

dispositions transitoires il existe l’article 2 du code civil qui dispose « la loi ne dispose que pour l’avenir ; elle n’a point d’effet rétro active ». ( si on considère l’article simplement : une loi de la date du 1er janvier ne peut s’appliquer qu’aux situations  nées après le 1er janvier 2011. → il existait une ancienne théorie qui distinguait entre le droit acquis et simple expectative. Lorsqu’un droit acquis est rentrer définitivement dans le patrimoine une loi nouvelles ne peut plus le modifier

inquisitoire pendant la phase d’instruction, sans qu’il y’est la torture et une procédure de type accusatoire pendant la phase de jugement. Pour le jugement le code d’instruction criminel reprend l’institution de jury populaire mais uniquement pour les crimes avec la création des cours d’assise, pour les autres forme d’infraction moins grave il y’a une juridiction composé de juridiction prof, le code pénal de 1810 conserve le principe de légalité, mais renoue avec une tradition avec une tradition de sévérité

français est négative, la victime ne peut pas choisir librement le type de responsabilité. C'est ça le principe de non-option. La plus part des pays étrangers ne connaissent pas le principe de non-option. C'est un principe qui a été posé par la CASS le 11 janvier 1922 En l'espèce : un conflit entre deux voisins au sujet de l'établissement d'une fosse d'aisance. Ils ont rédigé un accord avec des experts sous condition de ne pas porter atteinte à leur propriété. Ce principe a été repris dans plusieurs

blanchiment SECTION II- Les autres obstacles à la conduite de lutte contre le blanchiment CONCLUSION Abréviations Al. : Alinéa Art. : Article BCEAO : Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest Bull. Crim : Bulletin Criminel CENTIF : Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières D : Dalloz FMI : Fonds Monétaire International GAFI : Groupe d’Action Financière GIABA : Groupe d’Action Intergouvernemental contre le Blanchiment en Afrique

arrêts de la Cour de cassation (chambres civiles) BC Bunker Convention ( International Convention on Civil Liability for Bunker Oil Pollution Damage) C.A Cour d'appel Cass. Cour de cassation Cass. Civ. Cour de cassation, chambre civile Cass. Com Cour de cassation, chambre commerciale Cass. Soc Cour de cassation, chambre sociale CJCE Cour de Justice des Communautés Européennes CLC Civil Liability Convention CMNI Convention relative au contrat de

l’actualité aujourd'hui. - Le défaut d’élaboration des comptes annuels : Il s’agit de réprimer le défaut d’élaboration des comptes car en soi c’est un délit. L 241-4 du code de commerce pour les sociétés à responsabilité limitée L 242-8 du code de commerce pour les sociétés par action Ces deux textes répriment d’une simple amende (9000€) pour les dirigeants le fait de ne pas dresser pour chaque exercice l’inventaire, ainsi que les comptes et le rapport annuel de gestion. C’est

INTERNATIONALES Février 2003 Les attentats du 11 septembre ont profondément et durablement modifié la situation politique dans le monde ainsi que les relations internationales. Cette bibliographie fait le point sur la situation 18 mois après les événements (pour la période qui précède, voir la bibliographie "Les attentats du 11 septembre" réalisée en mai 2002).  La question irakienne n’est pas traitée ici, mais dans la bibliographie "Washington/Bagdad : la marche à la guerre"réalisée en avril 2003. | | 1

des entreprises de France (MEDEF)2, ou l’Association française des investisseurs en capital (AFIC)3 par exemple. L’ordonnance vise également à simplifier le droit des valeurs mobilières, conformément à l’habilitation reçue par la loi n° 2003-591 du 2 juillet 2003 ; les actions de préférence remplacent donc les « actions de priorité », les actions à dividende prioritaire sans droit de vote, et les certificats d’investissement, et offrent maintenant aux émetteurs la liberté de déterminer les droits

Montchrestien, Paris 2001. GUYON (Y.), droit des affaires, t.2, Entreprises en difficulté, redressement judiciaire, 8e éd., Economica, 2001. GUYON (Y.), Droit des affaires, Tome 1 : Droit commercial et sociétés commerciales, 12e éd., Economica, Paris, 2003. LINOTTE (D.) et ROMI (R.), services publics et droit public économique, Litec, 5e éd., Paris 2004. POUGOUE (P-G.) et FOKO (A.), Le statut du commerçant dans l’espace OHADA, Coll. Vade-Mecum, PUA, Yaoundé-Cameroun, 2006. POUGOUE (P-G.) et KALIEU ELONGO