Cass Crim 8 Janvier 2003

Constitution (92 articles + préambule)  4 octobre 1958 : promulgation de la Constitution de la Vème République par le président Coty  21 décembre 1958 : Charles de Gaulle élu président par un collège de notables (78,5%), entre en fonction le 8 janvier 1959 Les principaux « Pères fondateurs » de la Constitution.  Le Général de Gaulle : reprise de thèmes du discours de Bayeux (16 juin 1946) ; élection du Président de la République par un collège le plus large possible ; nomination discrétionnaire

limitations sous réserve qu’elles soient proportionnelles au but d’intérêt public qu’elles cherchent à atteindre. Dans une décision du 16 janvier 1982, le Conseil Constitutionnel a admis la nationalisation de l’entreprise, sous réserve de l’indemnisation juste et préalable. Il a également admis que les libertés de communication audiovisuelles dans une décision du 27 janvier 1982 ne sont ni générales, ni absolues et ne peuvent exister que dans un cadre de réglementation instituée par la loi. 2 Les libertés

déclarée favorable à la création d’un Code Européen des contrats. Certains prédisaient même la mort des droits nationaux des contrats… Et les états membres n’étaient pas vraiment favorables à abandonner leur souveraineté sur ce sujet… Conséquence en 2003, la commission fait marche arrière, et elle renonce à l’idée de ce Code Européen, elle renonce à l’idée d’une unification de ce droit pour parler d’une Harmonisation Un mouvement de rapprochement des législations. Mouvement qui se traduit par la création

chargé d’enseignement 2. Réaliser pour chaque arrêt restant une fiche d’arrêt Civ.1e, 22 janv.2009 P.n°07-16449 Sur le moyen unique, pris en ses deux branches : Attendu que Mme X..., épouse Y..., qui avait reçu, les 6 septembre et 8 novembre 1996 et 23 mai 1997, trois injections successives du vaccin Engerix B, fabriqué et mis en circulation en 1989 par la société Laboratoire Glaxosmithkline, a ressenti, après la troisième injection, une perte de sensibilité des membres inférieurs

spécialisées étaient portés devant le Conseil d’Etat. Leur création a permis désengorgement du Conseil, et de rétablir principe du double degré de juridiction / d’aligner organisations juridictionnelles et administratives. Composition Actuellement, 8 C.A.A. (- nombreuses que cour d’appel de l’ordre judiciaire), ressort territorial plus élargi. Membres composant C.A.A. sont des conseillers. Chaque cour est placée sous l’autorité d’un président, qui a rang de conseiller d’Etat en service ordinaire

des magistrats et indépendance de la magistrature - Art 66 : respect liberté individuelle et sûreté (interdiction des détentions arbitraires) - Art 72 : libre administration des CT par des conseils élus Loi constitutionnelle 28 mars 2003 : les CT peuvent déroger aux dispositions législatives ou réglementaires qui régissent l’exercice de leurs compétences, si la loi ou le règlement les y autorise ( pas de grandes nouveautés : la majeure partie des droits constitutionnellement garantis

social seront fait dans les années 1830-1840 car les ouvriers de 40ans sont des vieillards infirmes. Les premières lois sociales visent à protéger la santé des salariés. La loi du 22 mars 1841 : fixe l’âge d’entrée minimum dans les manufactures à 8 ans interdit les travaux de nuit ou dangereux aux enfants permet tout de même de faire travailler les enfants de 12 à 16 ans jusque 72heure par semaine. § 4 – La IIIè république ou la formation d’un droit social. Il est largement admis que le

pénal à l’art 122-8 qui dispose que « les mineurs capables de discernement sont pénalement responsables des crimes, délits ou contraventions dont ils ont été reconnus coupables... ». L’ennui c’est qu’il n’existe pas de définition du discernement des enfants et il n’existe pas de seuil. Un projet actuellement en discussion vise à fixer l’âge de la responsabilité pénale à 12 ans. Actuellement il n’y a rien donc actuellement un enfant peut être responsable pénalement à partir de 7/8 ans après expertise

liberté. Art 1er, art 4, art 11 : le mot libre apparaît. Ce serait assez limité. Art 5 tt c e qui n’est pas interdit par la loi ne peut être empêché. Art 7 : il y a aussi un droit. Nul homme ne peut être accusé ou détenu (la sureté). Art 8 : nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi (droit). Etc. Ce sont aussi des libertés, donc ne pas se limiter à l’approche sémantique. §2/ Le caractère public des libertés. Cela suppose qu’il y a aussi des libertés privées. En réalité

Ve République, Coll. Forum, Flammarion, 1996, p.114 et s. Doc. 3 : Cass. Soc., 19 mars 2013, Pourvoi n° 11-28845, note E. Dockès, Droit Social 2013, p. 388.  Le droit et les notions voisines Doc. 4: H. Mazeaud, « Les notions de droit, de justice et d’équité », Aequitas und Bona fides, Basel 1955, p.229 et s. Doc. 5: Amiens, 22 avril 1898 (affaire Ménard), S. 1899.II.1, note Roux, DP 1899.2.329 note Josserand. Doc. 6: Cass. Crim.,19 novembre 2002, pourvoi n°: 02-80788, inédit. 3 II. Les exercices