Cassation Chambre Commerciale 14 Octobre 2008

douleur. Employé aussi pour désigner les « gens de bras». Depuis cette époque le travail a connu une constante évolution de son sens. Aujourd’hui de nombreuses activités sont dénommées travail, sa définition reste donc difficile. La cour de Cassation dans un arrêt du 3 juin 2009 a admis que l’activité des participants à l’émission de l’ile de la tentation pouvait être considérée comme un travail. § 2 – Qu’est-ce que la subordination ? Quand on parle de Droit du travail, il faudrait se

Il a été aussi jugé que : les salariés ayant des fonctions différentes n’ont pas un travail égal, peu important qu’ils aient le même niveau hiérarchique, la même classification et la même qualité de membre du comité de direction (cass.soc., 26 juin 2008, n°06-46..204). Au total, la notion de travail égal ou de valeur égale n’a pas une assertion figée. Les situations sont donc traitées au cas par cas. Qu’en est-il alors de la rémunération égale ? Notion de rémunération égale L’égalité

public donc aucune clause exonératoire ou limitative n’aura d’effet: réaffirmé dans un arrêt du 30 mai 1995, chambre civile de la cour de cassation. -Le principe du non cumul n’empêche pas des situations intermédiaires: les tiers au contrats peuvent-ils se prévaloir de l’inexécution du contrat? Décision du 6 octobre 2006 de l’assemblée plénière, boot shop : un immeuble à usage commercial avait été donné à bail à un locataire(A) qui avait donné la gérance de son fond de commerce à une autre société(B)

droit syndical 1ère étape Loi Chapelier 14 et 17 juin 1791 : elle punit le délit de coalition, interdiction de se rassembler « association, syndicat, peine pénal » 2émé étape : loi du 25 mai 1864, elle abroge, le délit de coalition, désormais la grève n’est plus un délit 3ème étape : loi Waldeck-Rousseau du 21 mars 1884, elle fournit une reconnaissance au syndicat « les syndicats ont pour objet la défense des intérêts industriel, économique, commerciaux et agricole (reconnaissance su syndicat) »

............... 101 Chapitre 13 La loi contractuelle ................................................................................................................ 106 322. Les relations contractuelles avec la personne publique Chapitre 14 Contracter avec une personne publique ......................................................................... 112 Chapitre 15 Les marchés publics ...........................................................................................

ce qui est une approche classique puisque Portalis (un des pères du Code Civil) écrivait que « les lois sont souvent l’unique morale des peuples », c’est-à-dire que le droit est le minimum qu’on impose à tout le monde. Par exemple, en décembre 2008, une loi (16-1) a modifié le Code Civil : elle précise que le respect dû au corps humain ne cesse pas avec la mort et que les restes des personnes décédées doivent être traités avec respect, dignité et décence. Parfois, le droit reste même l’unique

procédure pénale mais ne peut pas créer de nouvelles dispositions. Longtemps on a considéré qu’en cas de lacune du CPP on pouvait se référer au code de procédure civile mais pb car ce code est lui d’origine règlementaire en grande partie. La cour de cassation admet dans un arrêt du 13 décembre 2005 d’appliquer certains textes règlementaires dans la PP seulement si la règle énoncée est générale et si il n’y a pas d’équivalent. B) les sources non écrites On admet une source essentielle qui est les principes

.). Dans la mesure ou l’employeur n’édicterai pas la mesure et l’échelle des sanctions il ne pourrait plus les invoquer pour sanctionner un salarié : paralysie du pouvoir disciplinaire. Par exemple sur une durée de mise à pied : arrêt 26 octobre 2010 la chambre sociale rappelle la règle que lorsque la mise à pied n’est pas prévu par le règlement intérieur ou si la mise à pied est prévu mais sans précision de durée cette mise à pied n’est pas licite. Le législateur a voulu cerner le pouvoir disciplinaire

Licence en droit 2ème année Droit pénal général Leçon 4 Le délinquant 15 mai 2008 Corine Vandenbussche Maître de conférences – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Centre Audiovisuel d'Etudes Juridiques (CAVEJ) des Universités de Paris Conception réalisation : Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne – service TICe Droit pénal général > Leçon 4 – Le délinquant Sommaire Objectifs pédagogiques........................................................................ 3 Remarques préliminaires

2 : paiement de l’indu 11 Chapitre 3 : L’enrichissement sans cause 12 I.Théorie de l’enrichissement sans cause 12 II.Conditions de l’existence de l’enrichissement sans cause 12 Partie 2 : Les Contrats 14 Introduction 14 I.Diversité de contrats 14 1)Le type de contrat 14 2)Objet du contrat 14 3)Qualité des parties  15 4)La durée du contrat 15 5)Mode de formation du contrat 15 6)Contrat d’adhésion et contrat négocié 16 II.Notion de contrat 16 III.Fondement de contrat 16 Chapitre 1 : La