Catharsis Phedre

théâtre rejoint celui de l’histoire de Dom Juan, et la mort de Dom Juan est ainsi annoncée en directe... Le spectateur est d’autant plus touché qu’il vit les derniers instants de Dom Juan et qu’on le prépare à assister à sa mise à mort. - Mais une catharsis en demi-teintes : Ce dénouement est fortement ambig, Dom Juan est puni, mais il ne se repend pas. La dernière réplique de Sganarelle clôt la pièce sur l’humour et la dérision, enfin, la dimension spectaculaire de la mise en scène finale atténue sa

antichambre d'un palais dans la tragédie et maison bourgeoise dans la comédie. Action ; intrigues secondaires indispensables à l'action principale mais ces dernières doivent trouver leur résolution au plus tard en même temps que l'action principale * La catharsis : purgation des passions par l’exemple d’une grande douleur.le spectateur doit être touché et doit pouvoir se sentir concerné par ce qui se déroule sur la scène. Elle est décrite par Boileau ainsi: « Que dans tous vos discours la passion émue Aille

synapses). FREUD va très vite acquérir que la névrose est un trouble psychique causé par des chocs affectifs oubliés, et qu’ils s’agissaient de les faire revenir en quelque sorte à la conscience. Il renonce très vite, vers les années 1888-1890, à la catharsis sous hypnose, pour créer une nouvelle méthode. FREUD va insister sur l’empreinte du psychisme enfantin, il va montrer que ce psychisme enfantin (il l’appelle d’ailleurs l’infantile) est une marque indélébile enfuie dans l’inconscient et qui va influencer

tourner une dernière fois vers lui et ne remarque qu’en se retournant qu’elle peut aussi diriger l’arme contre lui - et de victime, devenir ainsi « actante ». C’est ici que réside le moment émancipatoire de cette image féminine. 1. cathartique →catharsis = « purification » ou « purgation » notion présente chez Aristote. Le spectacle de passions dévastatrices, en inspirant la terreur et la pitié, guérirait le spectateur de « toutes les passions du même genre. » Extrait de « "Maison de poupée" : Un

contraires qui le fait fusionner pour montrer que l’une vas pas sans l’autre : l’amour est fait à la foie de plaisir. III – Des contraintes poétique et amoureuse, naît la poésie lyrique : A-La souffrance amoureuse, source d’inspiration : 1 : Catharsis de l’écriture. a. Nommé ce qu’elle ressent : De même que le théâtre antique, codifié par Aristote au IVème siècle avant J.C., visait à purger le spectateur de ses passions en lui faisant éprouver terreur et pitié, de même la poésie peut revêtir

de temps ( Aristote, « s'efforcer le plus possible de se renfermer dans une révolution de soleil ») La bienséance : correspond à ce qui est permis de montrer au public sans le choquer La vraisemblance : effet de mimesis, effet de réel. Catharsis : phénomène qui vise à purger les émotions du spectateur. Pour purger le spectateur, selon Aristote, la pièce doit faire naître deux sentiments puissants : la terreur et la pitié. N.B : face à ce procédé de l'identification et de la purgation

avoir ainsi fait parler sa patiente son état s’améliorait mais provisoirement : les troubles revenaient ensuite. La malade baptise cette méthode le “ talking-cure ”. Freud parle d’un “ nettoyage de l’âme ” et de “ méthode cathartique ” (du grec “catharsis” : purification). - La découverte essentielle consiste à comprendre que les symptômes sont causés par des chocs émotionnels oubliés et refoulés. Aussi en retrouvant le souvenir de ces traumatismes, on pourra libérer le malade par la parole et

Dissertation : Au-delà même de la dispute, peut-on considérer que le conflit est l’essence du théâtre ? Le conflit est l’essence du théâtre Les scènes de dispute sont fréquentes dans la comédie. La dispute permet de souligner les contrastes entre les personnages. La dispute est l’un des ressorts du comique ; elle est prétexte à des jeux de scène, à jeux de mots, à des changements de ton. La dispute permet de capter l’attention des spectateurs dans les scènes d’expositions : expositions

Anna O. (Bertha Pappenheim) Féministe autrichienne, première patiente de Freud (Vienne, Autriche, 1859- ? 1936). Bertha Pappenheim a été rendue célèbre sous le pseudonyme de Anna O. par Sigmund Freud et Joseph Breuer (Études sur l'hystérie) : elle est, en effet, considérée comme la première « patiente » de l'histoire de la psychanalyse. Âgée de 21 ans à l'époque de sa maladie, elle s'était jusqu'alors fort bien portée, sans présenter de symptômes névrotiques particuliers et fut décrite

compagnon de Dionysos, mi-homme mi-bouc, ou bien à la plainte de l’animal mené à l’autel du sacrifice avant les Dionysies.   Aristote (384-322 av. J-C) est l’auteur de la Poétique, ouvrage dans lequel il théorise la tragédie et met le principe de la catharsis : le spectateur, en regardant une tragédie, le spectateur se libère de ses pulsions, fantasmes ou angoisses en les vivant à travers les héros ou les situations représentées sous ses yeux.   « La tragédie (...) est une imitation faite par des personnages