Catharsis Spéctateur Dom Juan

personnes, notamment le dramaturge et les spectateurs. […] Toutefois, même si nous ne pouvons nier la place importante qu’occupe le metteur en scène, il ne faut pas oublier la dimension qu’octroie la présence du public et le rôle important qu’il détient, et la contribution primordiale du dramaturge. Tout d’abord, outre le fait de posséder un véritable rôle, le public est la cible même du théâtre, ce dernier ayant pour but de purger les passions (catharsis), de tisser une satire afin de remettre

pitié au spectateurs pour les purifier de leurs passions  catharsis zIII. LES Caractéristiques DE LA TRAGéDIE CLASSIQUE Époque:Auteurs: Personnages:Thème:Dénouement: XVIIe siècle Jean Racine, Pierre CorneilleDe la mythologie, nobles, héroïques. Passions, démesure, fatalité…Le personnage ne peut rien face à la fatalité tragique. Le dénouement est malheureux. (souvent une mort)+ respect des regles classiques (3 unités, vraisemblance, bienséance)zIV. LES FONCTIONS DE LA Tragédie Le spectateur ressent

thèmes diverses et variés selon l'évolution du genre théâtrale. Les dramaturges de la renaissance, au contraire, utilisent des évènements de la vie de tous les jours et détournent certains aspects de manière grotesque pour faire rire le lecteur ou le spectateur. La comédie de l'antiquité a influencé la plupart des dramaturges de la renaissance, comme La marmite de Plaute dont Molière s'inspirera quelques siècles plus tard pour écrire L'Avare. Ces deux pièces mettent en scène une image récurrente de la

retrouve dans la réalité. Le décor d’abord. Comme le montre la didascalie de l’extrait de On ne badine pas avec l’amour : « Devant le château », il s’agit de faire comme si l’on était devant un château. De même avec les nombreux décors du Dom Juan de Molière, le spectateur est convié à un déplacement imaginaire d’espaces en espaces : palais, bord de mer, forêt, etc. La plupart du temps, les décors du théâtre sont donc là pour créer une illusion. Les costumes aussi. Ainsi le personnage de Dubois-Dupont

SEQUENCE 1 DOM JUAN (1665) de MOLIERE : Une pièce ambiguë qui défie les metteurs en scène Objet d’étude: Le théâtre - texte ET représentation Extraits étudiés (p.2-7) Points étudiés (p.8-15) Lectures cursives (p.15-17) Sortie théâtrale (p.17) Extrait n°1 - Scène d'exposition : Gusman, Sganarelle En quoi cette scène d'exposition est-elle ambiguë ? I) Le mélange de comique et de gravité 1. Le comique tourne autour de Sganarelle .Le comique de caractère : - pleutrerie (peureux) : (l.72)" la crainte

lecteurs, mais aussi qu'elle les corrigent et les fait s'interroger. Axe 1 : Le théâtre est un spectacle, donc c'est un divertissement ! I ) Il donne à voir : -une décor -des costumes -des comédiens -de la musiques. Ce qui donne au spectateur un plaisir visuel et auditif. Lors de l'adaptation théâtrale du conte Candide, les comédiens chantaient sur scène, se qui animait le pièce. II ) Il nous fais rire : -pièce comique. Molière est l'auteur comique le plus connu. Il utilise les

LECTURE ANALYTIQUE DOM JUAN, MOLIÈRE, ACTE V SC.5 ET 6 INTRODUCTION La première scène de la pièce nous a présenté un DJ odieux: avant même qu'il n'arrive sur scène, Sga en a dressé un portrait des plus noirs , c'est « le plus grd scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brut, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes

musée ou d’assister à un concert. On vient y apprécier la beauté d’un spectacle : les décors somptueux des drames romantiques de Hugo, avec leur reconstitution historique, costumes, jeux d’éclairage, musique… tout y flatte l’œil et l’oreille. Les spectateurs viennent y voir, mais aussi y « entendre (…) de belles choses » (Cournot) : les vers lyriques et poétiques de Bérénice de Racine, les monologues romantiques de Ruy Blas, la fantaisie des pièces de Giraudoux – © Hatier 2007 éécritures Sujets

crée par la dramaturge.Le texte théâtrale doit être en cohérence avec la mise en scène .C’est en s’appuyant sur le texte que le metteur en scène construit la cohérence des personnages Aristote affirme, dans Poétique, que le théâtre est pour les spectateurs, « l'imitation d'une action [...] faite par des personnages en action et non par le moyen de la narration » .L’imitation au théatre est appelée « Mimesis ». En outre ,les didascalies sont les indications de mis en scène en italique pour prévenir

scène que ce qui ne choquera pas le public. On écarte la violence physique mais aussi l'intimité physique. Les scènes violentes doivent ainsi être racontées par un personnage. Quelques exceptions sont restées célèbres comme les morts de Phèdre et de Dom Juan dans les pièces éponymes de Racine et de Molière ainsi que la folie du personnage d'Oreste dans Andromaque. Tragédie La tragédie n'existe pas pendant le Moyen Âge français. Elle renaît au cours du XVIe siècle suite à la relecture des tragiques