Catherine de Vivonne, marquise de Rambouillet

: on s’occupe de bonnes manières, de littérature, de vers. • L’HOTEL DE LA MARQUISE DE RAMBOUILLET. - Cultivée, spirituelle, parlant l’espagnol et l’italien, C. de Vivonne, dite l’incomparable Arthénice (anagramme de Catherine), reçoit dans la célèbre chambre bleue, à partir de 1606. Son salon s’ouvrira peu à peu aux écrivains bourgeois (Voiture). • LE SALON DE Melle DE SCUDÉRY. - Dès la Fronde, l’Hôtel de Rambouillet décline. D’autres salons attirent l’élite : ceux de Mme de Sablé, de Melle de

goût du beau style et où l'on veut éviter tout ce qui est commun (vêtements, parler...). L'Hôtel de Rambouillet De ces cercles, l'Hôtel de Rambouillet est l'un des plus marquants. Il n'est certes pas le premier, ni à ses débuts le plus important ; mais c'est celui qui a duré le plus longtemps, et attiré la société la plus brillante de son temps. Sur la maîtresse des lieux, Catherine de Vivonne, voir la page "Précieux et Précieuses".Elle reçoit dans sa "chambre bleue" ; ses intimes forment un cercle

par Ravaillac, ce qui a pour effet de ralentir la vie mondaine. C’est seulement après que Richelieu eût rétabli l’ordre, que les salons reprirent leurs activités.L’hôtel de Rambouillet est probablement l’hôtel qui a le plus marqué la préciosité par son activité et sa renommée. La marquise de Rambouillet, Catherine de Vivonne, surnommée « l’incomparable Arthénice » y recevait ses invités. Il s’agissait principalement d’hôtes de marque tels que de grands seigneurs et écrivains. De santé fragile, et

Fiche BAC 1 : La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1662 Mme de Lafayette est une femme du monde, une littéraire et une mondaine qui fréquente très tôt les salons et en particulier l’Hôtel de Rambouillet. Son chef-d’œuvre intitulé La Princesse de Clèves en 1662 est à la fois : un roman précieux (ouvrage court mais intrigue centrale simple et nombreux épisodes secondaires viennent s'y greffé afin d'illustrer la thèse centrale de l’œuvre : les désordres amoureux), un roman historique surtout

L’Hôtel de Rambouillet tenu par Catherine de Vivonne devint rapidement le centre du bon goût. A cause de sa santé précaire, et des mœurs de la Cour, elle avait décidé d'attirer chez elle le grand monde. Elle s'intéressait aux arts, aux lettres ; elle aimait l'histoire et parlait plusieurs langues. Elle tint un salon très brillant, avec l'aide de sa fille Julie, jusqu'au mariage de celle-ci (1645) avec le duc de Montausier, et la mort de Voiture en 1648. La marquise de Rambouillet mourut à Paris

certains gestes. Dans cette anthologie, nous allons étudier des poèmes touchant au thème érotique, à partir du XVIème siècle, jusqu’au XXème. Comme ; Blason du beau tétin. De Clément Marot, (XVI). Le poème de Pierre Ronsard (XVI). Le luth de Catherine de Vivonne (XVII). Ma belle un jour dessus son lit j’approche de Jean Auvray (XVII). Le cabinet de toilette de Evarite de Pany (XVIII). La jeune tarentine de André Chénier (XVIII). Invitation à la minette , de Glatigny (XIX). Julie ou la rose de Guillaume

épouse. »6 Enfin,il existe aussi des historiens comme Livet ou ;Larroumet qui croient quand même que l’ordre social ou la frontière de l’époque différente...par exemple ,Salonnierère de l’Hôtel de Rambouillet, Catherine de Vivonne, était une « varie » précieuse qui était non seulement marquise de Rambouillet et qui correspondait à la première préciosité de bonne et pure, car « elle donna le signalé de ce qui est entré dans l’histoire sous le nome de culture de salon »7 La Précieuse est à la valeur

cette question qui lui parût insignifiante, et exhorta vivement le jeune homme, pour mesurer ses aptitudes intellectuelles, à entretenir un débat, comme il s’en posait régulièrement dans les salons des précieuses, à l’instar de Catherine de Vivonne, Marquise de Rambouillet. L’amour est-il compatible avec le mariage ? demanda-t-elle sur un ton presque autoritaire, qui rappelle la rigueur des scolastiques. Le jeune homme répondit avec hésitation : « euh bah, je pense que c’est mieux de vivre l’amour

littéraire, même si on regarde les dates de la mort des auteurs qui ont fait la gloire de la littérature française au XVII-e siècle: Corneille: 1606-1684; La Rochefoucauld: 1613-1680; La Fontaine: 1621-1695; Molière: 1623-1673; Pascal: 1623-1662; la marquise de Sévigné: 1626-1696; Bossuet: 1627-1704; Boileau: 1636-1711; Racine: 1639-1699; La Bruyère: 1645-1696; Fénelon: 1651-1715; Saint-Simon: 1675-1755. Certes, les datations en matière de littérature restent assez approximatives: si pour J. Rousset

leurs discours et leurs sentiments une délicatesse excessive. Il n'y eut pourtant pas que du ridicule dans cette mode, qui donna lieu à une vie intellectuelle et littéraire intense. Les plus célèbres et les plus influentes des précieuses, Mme de Rambouillet, Mme de Sévigné et Mlle de Scudéry, avaient coutume de recevoir dans leurs salons une société choisie, pour disserter sur des sujets comme la littérature ou l'amour. À cause de son affectation, la préciosité fit l'objet de critiques et de moqueries