Caton d'Utique

INTRODUCTION Vie de Caton est un extrait de l’œuvre «Les Vies Parallèles des hommes Illustre» . Publier entre 100 et 110 par Plutarque cet écrivain est né à Chéronée en Béotie vers 46 après J-C et mort en 125. Il est avant tout un historien , un auteur réputé en matière de traité morale philosophie, théologie et politique et un très bon penseur majeur de la Rome Antique. Cet extrait relate la vie, la magistrature, ainsi de que la responsabilité de Caton concernant l'origine de la troisième

l’élevage sur une large échelle par le biais de l’emploi d’une main d’œuvre servile. Ce type d’exploitation se serait développé à la faveur de réflexions économiques comme celle du carthaginois Magon dont l’ouvrage fut traduit en latin ou comme celle de Caton le Censeur, auteur d’un traité sur l’agriculture. Cet aspect du problème agraire à Rome et en Italie posait directement un autre problème, celui de la diminution du nombre des assidui, c’est-à-dire des citoyens et alliés mobilisables parce que capables

ceci sonne la fin de la guerre et la défaite de Carthage face aux romains. Carthage perd l'Espagne et sa flotte, sur laquelle reposait sa puissance, est détruite. La troisième guerre punique se passe de 149 à 146 avant J-C. Mais bien avant, Caton l'Ancien qui craignait que Carthage retrouve sa puissance terminait tous ses discours au Sénat par la phrase : «Delenda est Carthago»(c'est à dire «Il faut détruire Carthage»). Contrairement au traité passé avec Rome, Carthage avait du s'armer pour

Hispaniques, détruisant sa flotte et lui interdisant toute remilitarisation. Pourtant, malgré la victoire finale, cette guerre ne satisfait pas les Romains, poussés par la crainte d’avoir encore à affronter Carthage, ils décident selon le fameux mot de Caton L’Ancien (DELENDA CARTHAGO EST) : « Carthage est à détruire », que la destruction totale de la cité ennemie est le seul moyen d’assurer la sécurité de la république Romaine. En conséquence, la 3éme guerre punique en l’an 149 sera déclenché par une

nato habetur quoties de commodis ejus agitur : l'enfant simplement conçu est considéré comme né chaque fois qu'il en va de son intérêt. -Jus est ars boni et aequi : le droit est l'art du bon et de l'équitable. -Mos maoirum : coutume des ancêtres (Caton l'Ancien) -Jus consuetudinarium : droit coutumier -"le sage ne punit pas parce qu'une faute a été commise, mais pour qu'il ne soit plus commis de faute" -Lex est quod populus jubet : la loi est ce que le peuple veut. -Imperium : puissance absolue

Les sacrifices agraires : Caton, De Agri cultura Pour l’exposé d’aujourd’hui je vais étudier les sacrifices selon le rite romain. Le sacrifice est un rite central de la religion romaine. Cependant, il n’y a pas à Rome, un livre des sacrifices ou un code sacrificiel. Une religion orale, donc tout comme il n’y a pas de code de droit romain. Dans le cadre privé, comme nous allons le voir, les obligations liturgiques étaient fixées par le chef de famille, et transmises de générations en générations

par Florence Dupont). C'est seulement beaucoup plus tard, sous l'influence du stoïcisme, que le mariage devint, pour certains, une longue amitié. Il ne viendrait pas à l'idée d'un Romain d'avoir un geste tendre envers sa femme---voir l'épisode où Caton le Censeur raye un homme de l'album des sénateurs pour avoir embrasser sa femme en public-- B- Le statut de la femme change La femme mariée est respectée car considérée comme gardienne du foyer. La femme, considérée comme mineure, reste toute

chapitre XLII qui raconte la troisième guerre de Macédoine. Le livre premier de cette histoire apparaissant en 29 av JC, il n'est pas contemporain de l'action qui se déroule en 171av, il s'appuie donc sur un ou des auteurs plus anciens comme peut être Caton l'Ancien dont il est fait mention dans le texte et dont ses écrits ne nous sont pas parvenues. Tite live cherche à peindre une fresque rappellent la grandeur de Rome d'avant les guerres civiles. il a une conception cyclique de l'histoire, il dépeint

centimètres, qu'on rangeait sans doute dans une poche de cuir. Dans les premiers siècles de Rome, le savoir, essentiellement sacerdotal, était fixé sur des livres en toile de lin (lintei) ou sur des tablettes de bois (tabulae). C'est encore le cas pour Caton le Censeur (234-149) qui rédige ses discours sur des tablettes de bois avant de les prononcer. En Grèce ou à Rome, même à l'époque des rouleaux, on écrivait les missives privées sur des tablettes de cire réutilisables. La grande rupture dans l'Antiquité

gestarum gloria tum etiam sapientiae laude perfrui licuit. quorum memoria et recordatio in maxumis nostris grauissimisque curis iucunda sane fuit, cum in eam nuper ex sermone quodam incidissemus. Qques gds orateurs romains : Caton le censeur [17] XVII. - Mais Caton, y a-t-il un seul de nos orateurs d'aujourd'hui qui le lise ou le connaisse vraiment? Et pourtant, quel homme, dieux bons ! Je laisse de côté le citoyen, le sénateur, le général; c'est l'orateur ici qui nous intéresse. Qui eut jamais