Cauchemar Jaune

riche, obtient un effet mystérieux comme l'étoile dans l'azur profond." (À Théo, août 1888) On peut donc dire que l'artiste s'exprime à travers un langage symbolique de couleurs, de sons, de mouvements... Dans le café de nuit, le jeu des couleurs (jaune sale, rouge brutal...) tend à donner l'impression d'un univers souillé, d'une déchirure morale; le jeu des formes (personnages aplatis, rapetissés, semblables à des spectres, espace déformé) fait sentir, revivre l'irréalité de cet univers, l'impression

seuil de la nuit que le soldat affronte en entendant ce bruit qui sort de l’ordinaire, qui vient de la profondeur de la grotte. Le crépuscule est la frontière entre l’espoir et le désespoir, entre le possible et l’impossible, entre le rêve et le cauchemar. Le soleil se cache et l’homme peut se demander ce qu’il peut lui arriver, si jamais il reverra le matin. « Une profonde peur, encore augmenté par l’obscurité, par le silence et par les fantaisies du réveil lui glaça le cœur. » Ce n’est

Elle le conduisit dans la petite boutique de Lili où il y avait des tonnes de boîtes pleine de couleur. Il interrogea Lili : A quoi ces boîtes servaient elles ? Elle lui expliqua que c’était des boîtes à bonheur qui contenait des rêves ou des cauchemars. Il lui demanda alors comment on pouvait enfermer des rêves dans de si petites boîtes : (p70) Comment différencier les boites ? (p72) Malo acheta un rêve et paya 3 brouzons (la monnaie du pays). Lili peu après ferma son magasin et partit. CHAPITRE

sa chambre d’hôpital et comme toujours elle fait des cauchemars. Il y a un courant d’air dans sa chambre et elle se lève pour fermer la fenêtre. Il neige et pleut à la fois. Étant donné les médicaments, elle vascille et est étourdie. En regardant dans le stationnement elle voit un coffre de voiture entre-ouvert et voit quelque chose de blanc qui s’ouvre. Elle aperçoit un visage de femme morte. Elle ne sait pas trop si c’est un cauchemar ou la réalité. Début de l’histoire : Dr Highley

l’Épouvanteur poussait de curieux grognements. — Il est en plein cauchemar, on dirait, constata Alice. — On devrait peut-être le réveiller ? — Accorde-lui encore quelques minutes. Mieux vaut qu’il sorte du sommeil de lui-même. Il se mit alors à gémir, à crier, le corps parcouru de tremblements. Il s’agitait à tel point que je le secouai doucement pour le délivrer de ce rêve pénible : — Ça va, monsieur Gregory ? Vous faisiez un cauchemar ? Il posa sur moi un regard affolé, comme si j’étais un étranger

d'eau stagnante. Je ne le sens pas venir, comme autrefois, ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette, qui va me saisir par la tête, me fermer les yeux, m'anéantir. Je dors - longtemps - deux ou trois heures - puis un rêve - non - un cauchemar m'étreint. Je sens bien que je suis couché et que je dors,... je le sens et je le sais... et je sens aussi que quelqu'un s'approche de moi, me regarde, me palpe, monte sur mon lit, s'agenouille sur ma poitrine, me prend le cou entre ses mains et

d’eau stagnante. Je ne le sens pas venir, comme autrefois, ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette, qui va me saisir par la tête, me fermer les yeux, m’anéantir. Je dors – longtemps – deux ou trois heures – puis un rêve – non – un cauchemar m’étreint. Je sens bien que je suis couché et que je dors... je le sens et je le sais... et je sens aussi que quelqu’un s’approche de moi, me regarde, me palpe, monte sur mon lit, s’agenouille sur ma poitrine, me prend le cou entre Le Horla

stagnante. Je ne le sens pas venir, comme autrefois, ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette, qui va me saisir par la tête, me fermer les yeux, m’anéantir. Je dors – longtemps – deux ou trois heures – puis un rêve – non – un cauchemar m’étreint. Je sens bien que je suis couché et que je dors… je le sens et je le sais… et je sens aussi que quelqu’un s’approche de moi, me regarde, me palpe, monte sur mon lit, s’agenouille sur ma poitrine, me prend le cou entre ses mains et

gouffre d’eau stagnante. Je ne le sens pas venir, comme autrefois, ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette, qui va me saisir par la tête, me fermer les yeux, m’anéantir. Je dors – longtemps – deux ou trois heures – puis un rêve – non – un cauchemar m’étreint. Je sens bien que je suis couché et que je dors... je le sens et je le sais... et je sens aussi que quelqu’un s’approche de moi, me regarde, me palpe, monte sur mon lit, s’agenouille sur ma poitrine, me prend le cou entre Le Horla ses

d’eau stagnante. Je ne le sens pas venir, comme autrefois, ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette, qui va me saisir par la tête, me fermer les yeux, m’anéantir. Je dors – longtemps – deux ou trois heures – puis un rêve – non – un cauchemar m’étreint. Je sens bien que je suis couché et que je dors… je le sens et je le sais… et je sens aussi que quelqu’un s’approche de moi, me regarde, me palpe, monte sur mon lit, s’agenouille sur ma poitrine, me prend le cou entre ses mains et serre…