Cauchemar

« solitairement et désespérément » (l.8) plusieurs verres à la suite. C’est ainsi que la domestique sombre dans l’ivrognerie, en croyant à une illusion de bien-être et de rêve, comme le souligne l’oxymore « noir bonheur » (l.13). Son existence devient un cauchemar, souligné par les nombreuses phrases négatives, à tel point qu’elle confond réalité et ivresse. Dans ce récit où souffrance et tristesse font la loi, le registre pathétique est roi. Le passage est construit sur une analepse, ce qui nous permet

Situation : « Un rêve » se trouve en position centrale dans ce recueil. Il s’agit du septième poème du livre III consacrée aux visions fantastiques de la nuit. Thème : Le poème ce présente comme le compte rendu d’un rêve nocturne. Mais il s’agit d’un cauchemar axé sur des scènes de supplices et d’exécutions. Caractéristiques : Une atmosphère assez éprouvante, morbide caractéristique du romantisme. Ce poème à une forme ambigüe car ce récit est rigoureusement structuré en cinq paragraphe et en même temps

jour a présent, soit ma maison est en la possession d'une force maléfique venu d'ailleurs dont nous n'avons pas prouvé l'existence soit je suis réellement fou au point d'oublier ce que je fais et de ne plus faire la différence entre mes rêves, mes cauchemars et la réalité. Cet évènement dépasse tous ceux qui me sont arrivé ces derniers jours, et par la même occasion, me dépasse aussi. Peut être devrais-je voir un médecin, voir un spécialiste sur les esprits hanté ou tous simplement déménager …

ressentais plus rien, juste un grand trou vide dans mon cœur qui se nourrissait de ma peur et ma faiblesse...Je rouvris les yeux, j'étais allongée sur mon lit, drapée par ma couette, et les rayons du soleil éclaircissant mon visage...Ce n'était qu'un cauchemar!

Antithèse : le poète se met en scène comme proie aux affres d'une douleur extrême. Premier mots forts, hyperboliques «  hideux » , « hante » (V5) « fou » (V6) Métaphores+comparaison = image violente des sentiments et des sensations du poète. « Le hideux cauchemar qui me hante » (V5)= vision d'horreur « Se multipliant comme un cortège de loups/ et se pendants après mon sort qu'il ensanglante ! » (V7-8) : réalisme sur la sauvagerie des assauts. Homme seul, vulnérable, attaqué de toutes parts et blessé.

sur le sol. On y comprend pas grand’chose. On a dû sortir complètement de l’autre côté de la pièce et revenir complètement absorbé, essayant de cerner chaque détail. Cette forêt au départ tranquille et enchantée, ressemble au fur et à mesure à un cauchemar avec tous ces cadavres, et clou du spectacle, le monstre géant éborgné qui observe. Tout cela ne rappellerait-il pas étrangement notre vie, de notre tendre enfance au passage à l’age adulte avec toutes les aberration de la vie devant lesquelles nous

sécurisantes pour l’enfant (doudou, lumière…) Phase 1 : sommeil très léger de qques secondes à qques minutes Phase 2 : sommeil léger : environ 20 mn Phase 3 et 4 : immobilité totale la phase de l’oubli, le plus profond ; phase des terreurs et des cauchemars mais c’est aussi la phase du sommeil profond, réparateur de la fatigue corporelle de la journée Phase 5 : sommeil paradoxale 1 à 5 mn dans le premier cycle jusqu'à 1 heurs ensuite .agit sur la fatigue psychique et aurait une influence sur la maturation

Mais la rêverie a-t-elle vraiment sa place dans notre monde moderne où rendement et efficacité sont devenus les maîtres de notre existence ?   Le monde qui se présente à nous ne ressemble pas au rêve et à sa connotation positive, par opposition au cauchemar d’où ce besoin que nous avons denous évader au moyen de rêveries. Les périodes difficiles encouragent toujours àchercher un ailleurs, un refuge nous permettant de nous rassurer. Allumer une chaîne d’informations en continue quelques instants nous

veux parler (v17).*Les figures de style ont une valeur persuasive ; elles produisent des effets à valeur argumentative.- Les métaphores et les comparaisons : un pays dévasté par la peste (v1) : la guerre assimilée à une épidémie ; qui semble un cauchemar (v2) : la guerre assimilée à un mauvais rêve ; syllabes sanglantes (v21) : image réaliste du sang ;- La personnification donne vie à la France : un pays.labouré jusqu'au coeur (v9-10) ;- L'antithèse : français/allemands (v16), met face à face les

si elle disparaît : « A une femme » A vous ces vers de par la grâce consolanteDe vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux,De par votre âme pure et toute bonne, à vousCes vers du fond de ma détresse violente.C'est qu'hélas ! le hideux cauchemar qui me hanteN'a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux,Se multipliant comme un cortège de loupsEt se pendant après mon sort qu'il ensanglante !Oh ! je souffre, je souffre affreusement, si bienQue le gémissement premier du premier hommeChassé d'Eden