Cause Déficit Sécurité Sociale

La notion d’Etat telle qu’il la représentait a désormais disparu. Aujourd’hui, l’Etat se rapproche davantage de la définition qu’en donnait Jean Bodin (1529-1596), à savoir, l’existence d’un pouvoir public jouant le rôle d’unificateur de l’ordre social. Si cette notion est toujours d’actualité, quelques phénomènes comme la décentralisation du début des années 1980 et le basculement, en 1992, vers l’Union Européenne ont changé la donne. Ils ont induit de nombreux changements, au niveau infra-étatique

pourquoi cette métaphore ? Parce que l’idée qui nous intéresse est la parité euro Dolle (euro/dollar) dire que l’euro est fort est le dollar faible ne veut rien dire pour les économistes. L’euro est fort à cause de lui ? ou est-ce que c’est le dollar qui est trop faible ? la monnaie est forte à cause de ses caractéristiques intrinsèques ? on ne sait pas. Il est faible parce que l’autre est fort, ou l’autre est fort parce que l’autre est faible. Deuxième citation/Image : John Conelly secrétaire au trésor

d'entreprise publique déficitaire des années 1970 persiste. Il y a, d'un côté, l'impératif de fidéliser des clientèles, et de l'autre, la contrainte du déficit des entreprises pris en charge par le budget de l'Etat. La politique économique a oscillé, selon la conjoncture, entre le discours de la réforme et le laxisme consistant à laisser filer les déficits. Cette contradiction est à rechercher dans la nature néo-patrimoniale du régime et dans l'hostilité de l'élite aux lois du marché, ce qui explique

dépenses seraient couvertes par des ressources qui n’en sont pas car elles sont à rembourser ultérieurement. Pour atteindre l’équilibre, deux principes doivent être respectés. Les dépenses ne doivent pas être supérieures aux recettes, le déficit budgétaire n’est pas admis. Les manipulations monétaires sont condamnées puisque la monnaie est considérée par les classiques comme un phénomène économique naturel qui doit rester à l’abri des interventions étatiques. De plus, les manipulations monétaires

d’assurer l’ordre dans la société. 2) Les origines de l’Etat a) La théorie du contrat social La situation « de nature » définie par Hobles : « la guerre de tous contre tous » car les individus guidés par intérêt personnel, ont droit sur toutes choses. Conséquences : un ensemble de droits individuels et d’intérêts incohérents, source de conflits violents et permanents. La naissance de l’Etat : L’Etat est né d’un contrat social pour rompre avec la situation de nature. Contrat propre à faire respecter le système

Introduction Du meilleur élève du FMI au début des années 1990, l’Argentine est devenu en Décembre 2001 le pire des cancres. Par ses manifestations économiques et sociales, la crise argentine est, sans doute, la plus dramatique de son histoire. Les indicateurs qui rendent compte de sa profondeur (niveau de pauvreté, endettement externe et réduction des salaires et des retraites) ont perdu de leur lisibilité : ils sont occultés par les images saisissantes que la presse et la télévision ont diffusées

ont connus une croissance économique qui a conjuguée consommation marchande et accès généralisé aux services de protection sociale. Mais le ralentissement de la croissance économique qui intervient à partir des années soixante dix fait de la protection sociale le bouc émissaire de la crise économique. Depuis des années le problème du financement des dépenses de protection sociale revient de façon récurrente sur le devant de la scène. Nous sommes sans doute à la veille d’une réforme en la matière, une

Economie monétaire Sujets possibles: - Les fonctions de la monnaie - En quoi la monnaie est elle productive? - Le concept de liquidite - Que signifie Monnaie – fait social? - Le traite de Maastricht, genese, origine et enjeux - Pourquoi la BCE est-elle independante? - Forces et faiblesses de la politique monetaire europeenne - Policy mix et pacte de stabilite et de croissance Introduction – L’importance de la monnaie et les changements de la finance ❖

naturelle ou sociale. Un besoin économique est un désir (besoin) dont la satisfaction nécessite une transformation humaine. Il n’est pas satisfait par l’environnement naturel et donna naissance à une demande marchande. (Fonction éco de consommation et de production) Il existe deux types de besoins : • Besoins primaires (fondamentaux, vitaux, physiologiques, élémentaires) : sont indispensables à la survie de l’individu. Ex : manger, boire, se loger… • Besoins secondaires (sociaux ou de civilisation) :

situation de balance commerciale négative (l’Etat importe plus de produits qu’il n’en vend), les régimes politiques des années 90 et leurs successeurs des années 2000 ont tous porté une attention particulière au financement de la sécurité sociale, à travers la Contribution Sociale Généralisée (CSG). Cette taxe est un point phare de la pression fiscale, parce qu’aucun produit de placements n’échappe à son imposition (à l’exception des Livrets A, du Codevi, du Livret Jeune, du Livret d'Epargne Populaire