Causes Suprématie Présidentielle

souveraineté populaire 4 b) Etat de droit et constitutionnalisme 6 c) La séparation des pouvoirs 7 d) Le principe représentatif 8 SECTION II : DIVERSITE CONSTITUTIONNELLE DES REGIMES DEMOCRATIOUES 9 a) Les régimes parlementaires 9 b) Le régime présidentiel 10 c) Le cas de la Ve République 11 SECTION III : UN SYSTEME POLITIQUE REGULE PAR LE MARCHE ELECTORAL 13 a) Suffrage censitaire et administration de notables 15 b) Suffrage universel, politisation des citoyens et professionnalisation de

populaire 4 b) Etat de droit et constitutionnalisme 6 c) La séparation des pouvoirs 7 d) Le principe représentatif 8 SECTION II : DIVERSITE CONSTITUTIONNELLE DES REGIMES DEMOCRATIOUES 9 a) Les régimes parlementaires 9 b) Le régime présidentiel 10 c) Le cas de la Ve République 11 SECTION III : UN SYSTEME POLITIQUE REGULE PAR LE MARCHE ELECTORAL 13 a) Suffrage censitaire et administration de notables 15 b) Suffrage universel, politisation des citoyens et professionnalisation

1877/1946 – 1946/… Dans chaque cycle se succèdent un gouvernement d’assemblée, un gouvernement présidentiel puis un gouvernement équilibré : - Cycle I : 1789/1799 – 1800/1814 – 1814/1848 ; - Cycle II : 1848/1851 – 1851/1870 – 1870/1877 ; - Cycle III : 1877/1940 – 1940/1944 – 1944/1946 ; - Cycle IV : 1946/1958 – 1958/1986 – 1988/2008 (alternance cohabitation et gouvernement présidentiel). 3 – Jean Gicquel[6], qui s’inspire de Maurice Hauriou, voit deux cycles précis, puis un troisième

ses Conseillers (financier néquerre, Calonne qui lui succèdent, influencent Louis 16 qui n’ont pas compris que la situation a changé, les esprits revendiquent de nouveaux changements). Ceux qui défendent la Révolution et ceux qui vont la subir vont causer son enclenchement. L’enclenchement de la Révolution c’est le 29/12/1786 : Néquerre est pauvre, les caisses sont vides, il faut trouver des revenus donc on fait des impôts. Mais Calonne se rend compte que ce n’est plus possible de ne plus avoir

pratique l’existence de certains usages considérés comme obligatoires. En France on évoque l’abandon de la dissolution après la crise de mai 1977. Les gouvernements ont pris également l’habitude de démissionner après les élections législatives ou présidentielles. Ce ne sont pas des coutumes mais des pratiques qui n’ont pas la force obligatoire. C – Constitution rigide et souple 1 – La constitution rigide Elle ne peut être révisée que par une organisation distincte et selon une procédure différente

favoriser le progrès social, la liberté, aides au 1/3-monde (UNICEF).  ONU = 1ère institution internationale, née du drame de la guerre,  mais principes déjà inappliqués en Europe (zone communiste, dénazification, occupation militaire…) 1.3. Les causes d'inquiétudes -Statut ambigu de l'All : pays occupé par 4 puissances, jusqu'à quand ? indépendance ? -Pays libérés par Armée rouge  évacuation ? -Quelles relations entre les 2 gds vainqueurs ? -30 mi de déplacés, (14 mi d'all vers les zones occ)

L'état, produit d'un processus historique Cette théorie se base sur « l'homme est un animal politique » d'Aristote puisque naturellement l'hô a besoin d'une organisation, un état serait créé naturellement, l'état s'impose à l'hô ce qui légitime sa suprématie. Dans tous les cas il y a eu une institutionnalisation du pouv, que l'état est été choisi ou non. Institutionnalisation : transfert du pouv de la personne physique des gouvernants à une entité abstraite, l'état. Avantage de cette institutionnalisation

n’est pas favorable à la dissolution, et écrit dans ses mémoires il dit : « Je signe la mort dans l’âme mais je signe. »). Mode de scrutin la représentation proportionnelle. Paragraphe 2 : l’Inefficacité de la 4eme République. Elle est due à des causes politique qui tient avant tout à la division politique : appelé un multipartisme désordonné c’est-à-dire que sous la 4eme République il y a de nombreux partis représenté à l’assemblé nationale et aucun n’a la majorité. UDRS environ 40 députés avec

plébiscitaire. Sur un plan plus technique, il y a un 2ème inspirateur : Michel Debré. 2) L’apport de M. Debré C’est le ministre de la justice, le garde des seaux. C’est un farouche partisan du régime parlementaire, il est donc opposé au régime présidentiel américain. Il faut par conséquent rationaliser le parlementarisme. M. Debré est un technicien du droit, c’est un homme qui a été influencé par le courant réformiste qui recherchait des solutions pour stabiliser le régime parlementaire. Il a contribué

peuple et chercher un juste milieu. L’autre tempérament c’est la possibilité pour le peuple lui même d’exercer quand même une influence sur le travail des représentants. Les représentants craignent la non réélection, d’où la réduction du mandat présidentiel. Cette menace est une limite du régime représentatif. Il y a des régimes représentatifs qui ont compris que le pouvoir ne pouvait pas appartenir uniquement au parlement à Risque de parlementarisme absolu à On a alors des exécutifs élus à C’est