Ce Ass 24 Mars 2006 Sté Kpmg Et Autres

conclusion logique et nécessaire d’une introduction qui respecte le « DLACHAIT ». Quels sont ces différents éléments du DLACHAIT, étant entendu que ces éléments peuvent être placés dans l’ordre que vous souhaitez, à condition de les lier les uns entre les autres et de commencer par un A – l’accroche – et de finir par un A – l’annonce du plan ? D : Définition du sujet : d’abord mot à mot ; puis par groupe de mot ; enfin, le sujet dans son ensemble. L : Limites du sujet : il faut traiter tout le sujet

stabilité depuis la IIIème République, la Constitution actuelle du 4 octobre 1958 est la troisième seulement depuis 1875. Sa pérennité a sûrement contribué à placer les sources constitutionnelles ( § 1 ) au sommet de la hiérarchie normative, toutes les autres sources n’occupant qu’un rang infra-constitutionnel ( § 2 ). § 1 – Les sources constitutionnelles Les sources constitutionnelles comprennent l’ensemble des normes de valeur constitutionnelle formant le bloc de constitutionnalité, qui constitue

Ø Conseil d'Etat, 1985, France Terre d’asile : considère que l’alinéa 24 relatif au droit d’asile, n’est pas suffisamment précise et qu’elle ne pouvait être invoquée que dans les conditions et modalités précisées par la loi. Mais le conseil constitutionnel considère qu’elle est directement applicable. Le Conseil d'Etat s’est penché sur certaines dispositions de la charte de l’environnement : Ø Conseil d'Etat, 2006, Ligue de protection des oiseaux considère que l'article 5 de la Charte,

stricto sensu 15 B) L’administration fiscale lato sensu 16 A) Les devoirs de l’administration fiscale 17 B) Les pouvoirs de l’administration fiscale 17 A)Le principe 21 B)Aménagement 22 A)Le principe de l’exclusion du contrat 23 B)Exceptions 24 Chapitre 1er : Les sources externes à l’administration 25 A)Les origines 25 B)L’objet 26 C)Les formes 26 E)La portée 27 A)Droit fiscal communautaire 28 B)Droit fiscal de la CEDH 31 A)Principes constitutionnels 33 B)Le contrôle de constitutionnalité

certaines choses mais elle ne fait pas table rase du passé. Les révolutionnaires continuent à se méfier des juges ordinaires car les juges ordinaires sont issus de l’aristocratie. Une des 1ère lois voté par les révolutionnaires est celle des 16 et 24 aout 1790 qui est toujours en vigueur aujourd’hui qui fait interdiction au juge de connaitre des actes administratifs. Ce texte de loi exprime une méfiance terrible vis-à-vis du monde judiciaire. Des considérations encore plus politiques que juridique

Chapitre 1 : Introduction Remarque Il est habituel, et logique, de présenter aux étudiants qui abordent une nouvelle discipline une définition de celle-ci. Cela est encore plus indispensable peut-être en droit administratif que dans les autres disciplines car on se trouve confronté, dans ce dernier, à de fausses évidences, à des notions qui paraissent simples et qui ne le sont pas, à des raffinements qui peuvent facilement passer inaperçus. Dans une première approche, qui paraît « naturelle

fonctionnaires. a) Les agents contractuels Ils sont recrutés par un contrat de louage de services. Parmi ces agents on distinguent les agents contractuels de droit public et les agents contractuels de droit privé. Grâce à l’arrêt Bercani (25 mars 1996), sont contractuels de droit public les agents recrutés par une personne de droit public et affectés à un service de nature administrative. b) Les agents statutaires Les agents statutaires ont la qualité de fonctionnaires. Ils ne sont

en une nouvelle institution : le Conseil de la Constitution, à la fois conseille politique et juridique de l'Empereur. En cette même période, l'on se rend compte que l'État ne pouvait pas être un justiciable devant un juge ordinaire. Loi 16 et 24 août 1790 Loi fructi d'or an III (mai 1795) ; ces lois interdisent aux juges de connaître tout acte administratif. Dans le cadre d'un problème administratif, il fallait remonter la hiérarchie pour régler un litige, ce jusqu'au Ministre. Le Ministre

contestation qui s'élève à son propos; les recours hiérarchiques par lesquels les intéressés demandent à l'autorité hiérarchique supérieure de régler une contestation née d'un acte pris par un de ses subordonnés; les recours prévus par la loi du 2 mars 1982 par lesquels des particuliers demandent au préfet de déférer un acte d'une autorité locale au contrôle du tribunal administratif (« déféré provoqué »); les recours de tutelle, par lesquels un intéressé demande à l'autorité de tutelle d'annuler

ministres chargé de son exécution au sens de l’art 22 C° et non ceux concerné par l’exécution. Le nombre d’auteurs n’est pas un critère pertinent, seule importe la position réciproque de ces auteurs et des destinataires de leurs actes. _ Les uns et les autres sont ils face à face cherchant à régler leur propre relation juridique ? L’acte est alors un contrat et le critère pertinent est un critère tenant au contenu de l’acte ce qui donne la définition suivante : est unilatéral l’acte qui traite de la