Ce Qui Est Légal Est Il Nécessairement Légitime

Définitions: étymologie: du latin « directus »:= qui est en ligne droite. Le Droit= le légitime, par opposition au fait, au réel. Le droit= ensemble des droits ( positifs et naturels...) régissant les rapports des H entre eux. Un droit= ce qui est conforme à une règle déterminée, ce qui est permis par une règle. Différents droits: Droit positif= ensemble de règles données et existant réellement dans une société. Légal. Droit naturel= ensemble de règles considérées comme appartenant à l' H du fait

de droit divin), elle est fondé sur l’investiture divine (directe ou providentielle) di doit. Le concept de légitimité apparaît lorsqu'une personne ayant une capacité d'action, lie celle-ci à un élément de droit, ce que traduit la formule "je suis légitime à faire ceci parce que j'en ai reçu le droit"... ou que c'est juste à ses yeux, donc d'un point de vue éthique. « L’homme est un loup pour l’homme » dit Hobbes. En effet l’Homme à besoin de lois et de règles pour s’épanouir en société car toujours

ce qui concerne l’insuffisance de la loi ; 5/ la légitimité d’une correction de la loi insuffisante. Enfin, le texte conclut en distinguant trois espèces dans la justice (justice absolue, justice de l’équité, justice légale) et en reformulant la thèse. distinction équitable/juste légal, définition de l'équitable, première présentation de la thèse justification de la thèse, réhabilitation de la loi et du législateur.  _la nature de la loi ; 2/ la nature de ce sur quoi porte la loi (les actions humaines)

la difficulté, c’est que l’équitable, tout en étant juste, n’est pas le juste selon la loi, mais un correctif de la justice légale. La raison en est que la loi est toujours quelque chose de général, et qu’il y a des cas d’espèce pour lesquels il n’est pas possible de poser un énoncé général qui s’y applique avec exactitude. Dans les matières, donc, où on doit nécessairement se borner à des généralités et où il est impossible de le faire correctement, la loi ne prend en considération que les cas les

recherchés. La légitimité doit-elle être reconnu ou s’impose-t-elle comme une évidence ? Plan : I – Le distinction entre la légitimité et la légalité. Tout d’abord, il convient de préciser que ce qui est légal n’est pas forcément juste, donc la loi n’est pas nécessairement légitime. En effet, le légal désigne ce qui est prévu et conforme à la loi, la législation. Il s’agit d’une convention écrite qui résulte d’un consensus, d’une volonté rationnelle de s’accorder, de définir des principes moraux communs

Dossier 2 : LÉGALITÉ ET LÉGITIMITÉDossier 2 : LÉGALITÉ ET LÉGITIMITÉ Dissertation : La légalité (d’un acte juridique, d’une autorité ou d’un système) implique-t-elle nécessairement la légitimité ? “La légitimité est la pierre philosophale qui transforme en or pur le plomb vil du pouvoir de fait”. Cette citation du texte Consensus et légitimité de Jean Rivero soulève deux notions principales de la vie en société moderne. La légalité et la légitimité. La légalité est représentée dans cette citation

droit). Intuition : à travers le cinéma (ex : M le maudit), ou peinture, littérature (Rabelais), et aussi idée de l’organisation des différents juges etc… Differentes opinions sur la def du droit. Def du droit par un romain : « art du bon et de légal ». def pas bonne car justice differe du droit. Droit existe pour 3 raisons : * indispensable à toutes fondations sociales « il n’y a pas de société sans droit ni de droit sans société ». * nécessité de permettre l’action dans une société complexe :

ne peut imposer sa décision à un autre homme sans avoir recours à la force, il est autoritaire ; il y a du pouvoir partout La société est régie par ses rapports autoritaires : dès qu’il y a communauté, il y a autorité. -pouvoir : ce n’est pas nécessairement le pouvoir politique. C’est un mot polysémique utilisé dans des contextes très variés (pouvoir d’achat, politique, économique, domestique, religieux…). C’est un terme utilisé dans différentes matières. Au sein d’une même matière, il va désigner

effet, pour caractériser cette infraction, il faut un élément matériel étant l’homicide et un élément moral qui est l’animus necandi ou intention de tuer. En l’espèce, le meurtre se décompose comme un acte d’homicide sur la victime. C’est nécessairement un acte positif car l’infraction est une infraction de commission. Depuis 1945, l’omission est sanctionnée sous l’article 223-6 du Code Pénal en son alinéa 2 : « sera puni quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril l'assistance

le 2 septembre 2009 : Le régime juridique posé par l'arrêté du 6 juin 2006, définissant les hypothèses légales d'utilisation des pistolets à impulsion électrique par les agents de la police nationale, contrevient-il aux dispositions internationales et communautaires relatives à la prohibition de la torture et au droit à la vie ? Le Conseil d'Etat, tout en rappelant le cadre légal nécessairement restrictif en matière d'utilisation de ses armes, dont il reconnait le caractère dangereux, rejette le