Celine Fordisme

de la croissance économique des pays avancés. Cela ne signifie pas que la quantité de biens et services ou la valeur ajoutée réalisée par un travailleur dans un temps donné diminue mais qu’elle augmente de moins en moins vite (Doc). La crise du Fordisme dans les années 1970-1980 est un bon exemple de l’épuisement du modèle productiviste. ü Problématique = Comment peut-on expliquer ce ralentissement des gains de productivité ? Quels sont les éléments qui permettent aux travailleurs de produire plus

globale. Plusieurs facteurs l’expliquent [D6 schéma systémique] : * La hausse de la productivité (rapport production / quantité de travail nécessaire) * Les mutations structurelles des techniques de production (travail à la chaîne / fordisme – la mécanisation compensant dès le XIX è s. un manque de main d’œuvre) * + L’innovation technique * L’ouverture et l’extension des marchés // conquête de nouveaux marchés (impérialisme / colonisation) * La croissance démographique

réalisation du produit, d’où la nécessité d’une hiérarchie et de contrôles importants (supervision directe).                             Séparation horizontale du travail (parcellisation des tâches), pas de qualifications, payé à la pièce.   _ Fordisme : s’appuie sur le taylorisme, standardisation des produits (les mêmes produits), mécanisation du travail (chaîne de production), politique de haut salaire car les ouvriers peuvent devenir des clients (débouchés possibles).   Les Formes actuelles :

C’est la révolution des transports. En outre, les entreprises cherchent des solutions pour améliorer leur productivité dont Henry Ford sera un des initiateurs en créant le fordisme. Il présente, d’ailleurs, la genèse et quelques principes, ainsi que le réseau d’assemblage mis au point par lui-même dans le texte étudié. Le fordisme se fonde sur des études faites par l’ingénieur américain F. Taylor. En 1911, cet ingénieur économiste, crée l’Organisation Scientifique du Travail (OST) et donne naissance

Le taylorisme, le fordisme et le toyotisme ont-ils permis au monde ouvrier d’évoluer du XIXème à nos jours ? Au XIXe siècle puis au XXe siècle deux phases d’industrialisation transforment le cadre de vie des français. C'est-à-dire que l’industrie se développe en s’appuyant notamment sur des innovations techniques (moteur, électricité, pétrole). C’est alors que les villes se développent avec l’apparition des usines et l’afflux de main d’œuvre ouvrière. Durant la 1ère moitié du XIXème siècle l’atelier

Cercle de qualité Cercle de qualité est une approche très célèbre de la gestion de la qualité. Cette notion est apparue en premier lieu au japon sous l’intervention de Kaoru Ishakawa qui était membre dans le mouvement japonais de la qualité. Les cercles de qualité ont pour objet l’amélioration et le développement du leadership en se basant sur la notion des « relations humaines », cette dernière s’établie dans les entreprises depuis les années 60 au Japon puisque le grand principe des cercles

doit pas être perçu par l’entreprise trop tôt au risque de crée du stock, ni trop tard au risque de perdre ses clients. Il faut donc approvisionner en piece au moment ou on assemble celle-ci par exemple pour une voiture. Le JAT s oppose au fordisme qui préconise de produire puis ensuite de vendre . Il s’agissait d’une production de masse qui se basait sur des prévisions, et avait pour objectif de fabriquer plusieurs lots d’un même produit, lesquels étaient alors entreposés jusqu’à ce qu’un

(encourage), developpement du credit (banques et augmentation des salaires) II. Les 30 glorieueses: 1945-1973 (entre la fin de la IIGM et le premier choc petrolier) face de tres forte croissance: agumentation de 5% par an generalisation du fordisme: production de masse --> electromenagers, voitures - nouveaux modes de travaille - production de masse = consommation de masse (societé de consommation, publicité) - augmentation des salaires, augmentation des conditions de vies - s'accentue

ces évaluations contrastées et divergentes. Cette tension est particulièrement visible quand on oppose la dimension de puissance (puissance incontestable que la technique donne à l’homme sur la nature) à l’asservissement de l’homme aux machines (fordisme ou taylorisme) ou à la dépendance de l’homme envers la technique. On explique ainsi pourquoi tantôt on peut faire l’éloge des machines, dont l’avant-garde futuriste chantait la beauté, tantôt on en peut faire la critique, voire l’éloge et la pratique

et le marché économique : → Les innovations de procédés : qui sont toutes les innovations techniques, stratégiques des entreprises pour avoir plus de gains de productivité : dont l’OST : Organisation Scientifique du Travail : le taylorisme ; le fordisme et aujourd’hui le toyotisme qui ont augmenté considérablement la productivité du travail dans les entreprises. Comme le souligne le Document 6, plus la productivité du travail est élevé plus le PIB du pays est élevé ce qui signifie que cela profite