Celine Fordisme

grâce à un renouvellement plus fréquent des modèles et à un élargissement de la gamme pour satisfaire toute la demande. Le modèle japonais disposerait ainsi d'une flexibilité tant statique que dynamique. Entre les deux formes extrêmes du fordisme et du toyotisme qui privilégient des relations unidirectionnelles (de l'amont vers l'aval, et réciproquement) il subsiste tout un espace mal théorisé. Il concerne les relations entre les stratégies des constructeurs automobiles en matière de positionnement

l’organisation du travail. Ainsi le taylorisme, grâce à la division verticale et horizontale du travail, a permis de quadrupler la production des entreprises concernées à la fin du XIXème siècle, tout en divisant le nombre d'ouvriers par quatre. Puis le fordisme, au début du XXème siècle, a permis d’augmenter encore la productivité et de faire ainsi baisser davantage les prix, grâce au convoyage automatique des produits en cours d’élaboration entre les postes de travail. Entre 1910 et 1925, le prix d’une

Selon les époques, les moyens employés pour améliorer la productivité ont changés : Progrès technique : il est intégré à l'investissement et il permet une amélioration de l'efficacité du travail. L'organisation du travail : taylorisme, fordisme, toyotisme puis aujourd'hui flexibilité et implication des salariés. La formation et la motivation des salariés : l'entreprise doit être qualifiante (les compétences des salariés doit progresser avec l'expérience et avec le partage des informations)

• situation en France pp 250-251 vior paragraphe de cours 1 - et doc 1. 2 et 3 Une croissance portée par une société de consommation (déf p 38) La standardisation des produits, affirmation du modèle de production fordiste [Fordisme = taylorisme associé à une politique de salaires élevés pour favoriser une consommation de masse] avec le travail à la chaîne (p 37), le développement de la grande distribution (hypermarchés), le crédit facilité, engendre la consommation de masse

activités de kaizen, qui couvre les questions de qualité, de maintenance, de sécurité, de prix de revient… Cette nouvelle forme d’organisation, basée sur les compétences et la qualification des ressources humaines, marque la fin du taylorisme et du fordisme à l’état pur.

gains de productivité. Ces gains de productivité sont en parti redistribuer aux ouvriers par des salaires plus élevé. Selon Ford, la hausse des salaires permet l'augmentation de la demande de biens manufacturés et soutient donc la croissance. Le fordisme se diffuse en Europe après la première guerre mondiale. III- La dépression des années 30 1- La dépression et le krach boursier de 1929 Depuis 1850, des phases de croissance ont alternées avec des phases de dépression. En 1929, l'économie

pouvaient s’offrir des voitures). Elle veut ainsi faire en sorte que les voitures soient accessibles pour toutes les classes sociales en diminuant le prix ou en augmentant le revenu. Cela va lui permettre de vendre en abondance et d’innover en matière de Fordisme et de Taylorisme. Quels moyen trouve –t-il pour augmenter la consommation de voiture ? Citroën utilise le marketing, la médiatisation, la fabrication et le marketing pour augmenter la consommation de voiture. Tout d’abord André

gains de productivité, les innovations font gagner à l’entreprise des parts de marché, nuisant ainsi à ses concurrents. Question 3 Une des plus grande innovations de procédés survenue depuis la guerre, est bien sûr le fordisme. Application direct du taylorisme, le fordisme constitue un progrès technique phénoménal pour l’époque. Il permet à l’entreprise d’augmenter sa productivité du travail en assignant à un poste précis un ouvrier (ce qui contribue à lutter contre la flânerie systématique de

de croissance et donc de création d'emplois. 2) Le progrès technique améliore les conditions de travail Le progrès technique nécessite des innovations de produits, mais aussi et surtout des innovations structurelles comme le toyotisme ou fordisme qui améliorent considérablement la productivité de l'entreprise, d'une part, en faisant des profits, mais aussi en modifiant le besoin en main d'œuvre, et enfin, en changeant les conditions de travail. II. Mais cet effet bénéfique comporte

au muda » (muda : gaspillage en japonais). • La contradiction du fordisme, qui a engendré son déclin, est le fait qu’il ne suffit pas de doubler le salaire de l’ouvrier pour qu’il gagne en productivité (idée du salaire d’efficience, qui est la réelle cause du 5$ / day), mais il faut le doubler par rapport à ce qu’il pourrait gagner ailleurs. Ce système ainsi généralisé, le fordisme ne peut que dépérir : les limites du fordisme sont atteintes lorsque l’inflation salariale ne débouche plus que sur