Celui Qui S Y Frotta

Légendes -Un jour le le dieux-fleuveAlphée, eut l'audace de s'éprendre d'Artémis et de la poursuivre à travers la Grèce mais elle s'enfuit à Létrinoi en Elide. Là elle enduisit son visage ainsi que celui de toutes ses nymphes d'une boue blanchâtre, de telle sorte qu'on ne pouvait la distinguer de ses suivantes. Alphée fut contraint de se retirer, poursuivi par les rires moqueurs. -Elle obligea Agamemnon, coupable de s'être vanté de la surpasser au

LE DEBAT LITTERAIRE · Livre choisi  : Mosa Wosa Résumé :Première partie  : Dans la Techno-CitéChapitre 1  : Mosa, un jeune indien métis qui vit dans l’Oasis Lakota avec son grand père. Sa mère, Nahpi’, est morte en lui donnant naissance. Son père, un blanc, vit dans la Techno-Cité. Après la mort de son grand-père, il décide de rejoindre son père. Il arrive dans la Techno-Cité avec un rapace

remarqua sur un ton aimable l'aubergiste en disparaissant dans la cuisine. - C'est une bonne chose pour vous d'avoir fait halte ici ! Lança un client. On y est au chaud et en sécurité. Moi, je n'aimerais pas voyager dans cette contrée un soir comme celui-ci. - Je ne m'arrête que pour dîner, expliqua Jacques à l'aubergiste qui revenait de sa cuisine avec deux assiettes fumantes. - J'ai encore beaucoup de kilomètres à faire...Un ami m'attend à Mortefontaine.» Il remarqua que les quatre hommes

Qui donc ? - C’est le grand serpent qui est entré en lui ! Le grand serpent parlait si vite, si vite, qu’il m’était impossible de rien écrire, d’autant plus que je n’avais que la lune pour m’éclairer. J’écoutai donc, ravi, la voix harmonieuse de celui qui trompa notre mère Eve. Mame lui prêtait sa gorge, sa langue, ses lèvres, mais lui n’y était évidemment pour rien. Mais ce n’est pas seulement l’image d’un anaconda qui possède leur corps. L’idée que la langue du Yoshi Anaconda entre en eux

deuxième. Puis une averse se mit à tomber d'un coups. Maxime paniqua. _Mon ordinateur! _Maxime, ta valise est étanche... lui dis-je d'un ton las. _Ah oui c'est vrai. Il se mit à sourire comme un niais et continua sa route. Il me surprendra toujours celui-là. Qu'il est lunatique! La pluie s'était arretée comme elle avait commencée. _Regarde frangine! Alertée par le dernier mot qu'il venait d'employer, je lui mis une tape derrière le crâne et le fixa d'un regard noir. _Ne.M'appelle.Plus.Jamais.Frangine

parti possible de notre nouveau logement et d’y trouver nos aises. Et d’abord, tâchons d’y voir un peu plus clair. Que diable ! le gaz n’a pas été inventé pour les taupes ! » Ce disant, l’insouciant garçon fit jaillir la flamme d’une allumette qu’il frotta à la semelle de sa botte ; puis, il l’approcha du bec fixé au récipient, dans lequel l’hydrogène carboné, emmagasiné à une haute pression, pouvait suffire à l’éclairage et au chauffage du boulet pendant cent quarante-quatre heures, soit six jours

hospitalisée dans le service long séjour. Celle-ci présente une démence de type Alzheimer sévère avec participation vasculaire et des troubles psycho-comportementaux à type d'hallucinations. Elle se trouve dans une chambre de 3 patients. Son lit est celui du milieu. Elle possède une surdité gauche. Je rentre dans la chambre pour lui effectuer un glycémie capillaire. (Mme T, en noir ; moi, en bleu ; Mme S la voisine de Mme T, en rouge) J'entre dans la chambre, mets ma présence et préviens Mme

chercher une des victimes du diabolo (il s'agissait sans doute de Marian ) et commença alors à râper les doigts de ce dernier qui hurla à la mort. Le démoniaque être lui arracha le cuir chevelu, vida du sel sur le crâne ensanglanté de la victime et frotta, lui coupa ensuite la langue pour qu'il cesse de crier et lui tira les deux yeux à l'aide d'un tire-bouchon. Il lui emplit le nez et la bouche de glu pour l'empêcher de respirer puis le scalpa. Il récupéra la cervelle et le cœur du pauvre homme et

village ,c'est dire si dans ce petit village , il y avait pas beaucoup de monde comme on dit dans le Jura ! mais dans ce petit coin de Franche Comté si le bon dieu devait recommencer a inventer les paradis terrestres ,je crois qu'il copierait sur celui ci tellement il était beau . Donc ce petit paradis était habité par des agriculteurs (ça fait mieux agriculteurs ,dans le Jura on dit cultivateurs ,parce que agriculteur ça cultive pas forcément !!!) ,et aussi des retraités , tranquilles , tranquilles

jusqu’à la découverte de sa maison et biens sure la rencontre étrange qu’il fit avec le serpent. L’homme l’écoutant avec la seule oreille qui lui restait demanda au petit garçon d’un ton calme et apaisait »se serpent dont tu parles, ne serais-ce pas celui la ? » l’homme ouvris une petite porte de placard et le serpent en question y sortit en tortillent son long corps rugueux .l’enfant surpris écarquillât ses grands yeux et affirmât a l’homme que le serpent qui l’avait mener jusqu’au désert était bien