Cendrillon Champs Lexicale

Un vagabond heureuxDeux champs lexicaux peuvent être facilement repérés dans ce poème : le champ lexical de l’errance d’une part, et le champ lexical de la pauvreté d’autre part. Les termes «je m’en allais», «J’allais», «j’égrenais dans ma course», «assis au bord des routes» appartiennent au champ lexical de l’errance sur les routes. On peut d’ailleurs ajouter la périphrase poétique «Mon auberge était à la Grande-Ourse», ce qui est une façon de dire que le poète dort à la belle étoile. Enfin, le

bon seigneur et fils de roi. » 1. Champs lexicaux : 1.1 Analyse : Relever les champs lexicaux de l’extrait. Dressez un tableau qui nomme le champ lexical principal et qui regroupe ces champs lexicaux en thèmes secondaires. N.B. : Consulter les exemples proposés sur le site du cours. 1.2 Rédaction : Rédiger un paragraphe qui rend compte de l’analyse des thèmes (thème principal et thèmes secondaires) tels qu’exprimés au moyen des champs lexicaux identifiés : Situez l’extrait et présentez

croisées tout au long du poème sauf dans les deux derniers vers ou il y compte des rimes plates. Deuxièmement, on peut porter à confusion que le thème le plus important est la musique. Cependant, puisqu’il n’y a aucune présence de champs lexicaux en lien avec la musique, on ne peut affirmer qu’il s’agit bel et bien d’un texte descriptif sur la musique. Une hypothèse qui peut paraître plausible est la suivante : le thème réel demeure le voyage sentimental, qui est un thème baudelairien

libre nous glissent dans les pensées de Gervaise. Ses obsessions sont évoquées : l’alcool bien sûr- la goutte (trois fois répétée)/la machine à soûler/l’eau de vie puis la faim qui la tenaille (champ lexical présent tout au long du texte). ( couper la faim, bâfrer, le ventre, le ventre creux, après son dîner qui courait toujours) La faim est de plus en plus obsédante, elle ressemble à la fin à un fauve cherchant une proie. b- Les états d’âme.

importants du texte) I-Un idéal à travers le décor décor exotique: thème cher à Baudelaire. Présence de la mer, de la chaleur, d'une langueur tropicale. Dans les deux quatrins, peu de ponctuation, marque la fluidité. Décor vaste et somptueux. Champ lexical de la grandeur ("vaste", "grands pilliers", "majestueux"...). Assonnance en "a", voyelle ouverte, qui montre l'amplitude ("habité sous de vastes portiques"-"basaltiques", "majestueux"...). Immensité du décor suggérée à travers l'abondance des noms

particulièrement savoureuse : « assez grasse pour qu’un facétieux interne y écrive son nom… » Champ lexical lié à l’odeur : « elle sent, elle pue, elle est humide au nez.. » Ensuite, la description réaliste de cet extrait contribue à la construction du personnage de la tenancière et de son univers Premièrement, l’auteur use d’ironie pour présenter le cadre de cette pension. Champ lexical de la laideur, vocabulaire dépréciatif. « Cette pièce est dans tout son lustre ». « Ici règne

« campagne interminable nue, sale et puante » (l’33) « des squelettes de bâtiments défoncés et abandonnés » (l’35) « végétation des ces champs putrides » (l’39). Et pour finir, le dernier niveau, la campagne ravissante possédant des rivières éclatante, un magnifique soleil et un air pur. Deuxièmement, la nature possède une forme d’immensité, le champ lexical de celle-ci y est très marqué : « éloignement des horizons » (l’22) « Tout au fond » (l’28) «  interminable » (l’33) «  De loin en loin »

exprimé avec des hyperboles : « colossale », « éternelle ». Ensuite, une métaphore filée vient comparer la Seine à une femme avec les termes : « belles robes », « robes changeantes », « soie », « rubans ». Cette comparaison se confirme avec le champ lexical du vêtement et du tissu : « ruches de satin », « velours noirs », « étoffe », « gaze », « tuniques » et celui de la couleur : « bleu », « vert », « or », « couleur du soleil ». Ces termes habituellement associés à la beauté féminine renforcent

on se moqua d’eux. III. Condamnation de la sottise. 1. Prétention de la sottise, infaillibilité. absurde, ridicule. (on se moqua d’eux) obscurantisme 2. Dénonciation du fanatisme : intriguer, former des enthousiastes, fureur, juger. Champ lexical de la religion Le fanatisme : je prétends savoir, j’ai des fidèles, j’accède au pouvoir (savoir = pouvoir), je m’en mets plein les poches (l 14) Conséquences : malheurs, discordes. 3. Dogmatisme : se mit à juger souverainement des couleurs

peut pas s’épanouir. L’auteur exprime donc par un symbole, la mort de l’humain. Au contraire, Alain Grandbois représente sa fatalité par l’humain lui-même. En effet, l’auteur utilise des pronoms personnels tels que «nous» et «vous» ainsi qu’un champ lexical lié à la mort : «Bientôt l’ombre nous rejoindra […]» (V.33). «L’ombre» représente la mort et «nous», l’humain. Il y a donc un lien direct entre l’humain et la mort qui l’attend. Même si les deux poèmes traitent de la fatalité, les deux poètes ne