Centralisation

de s’interroger sur l’organisation puis l’évolution du fédéralisme américain. Si en théorie, le modèle républicain de Jefferson défendant l’autonomie des états triomphe, nous verrons qu’en réalité les circonstances historiques ont fait que la centralisation est allée croissante durant tout le XXe siècle, avant de connaître à nouveau de nos jours quelques limites. I Le fédéralisme américain à son origine se base sur le modèle républicain de Jefferson : protection de l’autonomie des états fédérés et

République française. Ce système d’organisation administrative se manifeste par deux caractères fondamentaux : La centralisation et la spécialisation. a) la centralisation Elle se traduit par l’exercice, par les autorités centrales, du pouvoir de décision et de commandement, pour toutes les activités d’intérêt général, l’exécution étant assurée par leurs agents. Cette centralisation s’exprime à la fois, sur le plan géographique et sur le plan fonctionnel. Au plan géographique, l’organisation administrative

client / fournisseur permet d’améliorer la qualité de service voire d’envisager une mise en concurrence. Les développements de l’informatique facilitent les réorganisations telles que l’externalisation, la création de CSP ou, plus simplement, la centralisation de la fonction comptable et financière. Les objectifs invoqués peuvent être le recentrage sur le métier de base et sur les activités créatrices de valeur mais également la gestion d’une fusion. Les services comptables de deux sociétés qui fusionnent

gestion des risques et gestion des financements à court et moyen terme) ont tendance à être centralisés et ce quelle que soit la taille de l’entreprise ou le secteur d’activité. Ainsi, plus de 85% des entreprises interrogées utilisent un système de centralisation des soldes de trésorerie, aussi appelé « Cash Pooling ». De même la gestion des flux tend à être centralisée au niveau de la maison mère : près de 50% des sociétés mères de l’échantillon réalisent des activités de paiement pour le compte de leurs

entre les maisons princières + lente et progressive disparition de certaines au profit d’autres (puis d’une finalement). Cadre : capitalisme et EM : une rationalité partagée – analogie entre le processus de centralisation du pouvoir et organisation économique – processus de centralisation s’accompagne du développement de l’entreprise capitaliste expropriant petit à petit les producteurs indépendants.  Histoire de l’EM, pour Weber, se confond avec celle d’un processus d’expropriation et de concentration

SOUCHONL1 DROIT Agathe DROIT CONSTITUTIONNEL Définition de la centralisation : La centralisation est un mode d'organisation de l’état dans lequel une autorité centrale détient l'ensemble des pouvoirs de décision : politique administratif financier Il comporte aussi des attributions de la puissance publique. Le niveau local est totalement indépendant du niveau central. La centralisation est une volonté unique qui est celle du sommet de l’État et qui se traduit

démontrer les tendances à la centralisation des pouvoirs au Canada. L’auteur débute en défaisant l’argument voulant que l’histoire du fédéralisme repose sur des périodes successives de centralisation et de décentralisation en disant qu’il ne peut pas avoir de décentralisation sans transfert de compétences de l’entité fédérale vers les entités fédérées. Pelletier parlera ici d’une succession de périodes de centralisation et de périodes d’arrêt de cette centralisation. Cette idée amène une des idées

répartition du pouvoir: centralisation ou décentralisation : AOKI Quel modèle structurel peut conduire à l’incorporation des intérêts des travailleurs? La production en grande quantité est-elle réalisable seulement dans une structure hiérarchisée? Modèle H : séparation hiérarchique entre opérationnel et conception – accent mis sur les gains de spécialisation modèle J: coordination horizontale entre les unités opérationnelles – partage des informations Quel degré de centralisation du pouvoir choisir

la personne ne peut les assumer. Cela se passe dans un même service ou d’autre service. Elle prend 2 formes :  Spécialisation verticale : niveaux hiérarchiques.  Spécialisation horizontale : découpage fonctionnel. Centralisation et décentralisation de décision Centralisation : prit à des niveaux élevés au sommet de la hiérarchie. + : Cohérence des décisions, meilleure coordination, contrôle facilité. - : Lenteur des décisions, manque de réactivité. Décentralisation : division du travail

GID | M. EL ALAOUI MOHAMED SAAD | Direction Pilotage Métiers & Animation Réseau | M. MARCIL ABDELILAH | Direction Appui & Gestion des Ressources | M. BOUAZZAOUI AZIZ | Direction de la Comptabilité Publique et de la Centralisation | M. GUIRI ABDELKRIM | Directeur du Contrôle et de Développement | M. MELLIANI RACHID | Chapitre 2 : Fonction de la trésorerie Générale du Royaume : * Section 1 : Les missions de