Centralisme

centripètes. En 1954 déjà, Milovan Djilas, le « numéro deux » du régime, est condamné à dix ans de prison pour avoir voulu secouer l'autorité du parti. En 1966, le vice-président Aleksandar Ranković est écarté à son tour, mais cette fois pour excès de « centralisme », tandis que le professeur Mihajlo Mihajlov est condamné pour avoir suivi les traces de Djilas. À partir de 1970, Tito essaie par tous les moyens de renforcer le pouvoir de l'État fédéral, menacé par les forces nationalistes, centrifuges. C'est

fédération. Alors le pouvoir se doit d'être décentralisé, autogéré et non hiérarchisé. Néanmoins la mise en oeuvre pratique ne manquera pas de poser problème dans un siècle où se construisent les Etats-Nations. En cela il s'oppose au Marxisme, à son centralisme démocratique dont le fonctionnement sera renforcé au cours du XXème par la révolution léniniste. Pour présenter les différentes sensibilités anarchiques on peut situer leur implication politique selon un axe qui mène des modalités d'action des

dans son ouvrage L'Ancien Régime et la Révolution, Tocqueville montre que la Révolution de 1789 ne constitue nullement une rupture dans l'Histoire de France. Selon lui, l'Ancien Régime et la révolution de 1789 s'inscrivent dans le processus de centralisme disqualifiant ainsi les réflexions théoriques et les applications sur le sujet. Regain d'intérêt au XXe siècle Après la fin de la seconde guerre mondiale, avec la construction Européenne, le fédéralisme en Europe en tant que philosophie politique

resta une ville administrative, centralisant les activités de l'État. L'industrialisation est arrivée de façon massive après la guerre civile. Elle a été concentrée dans les domaines de mécanique de précision, électronique, pharmaceutique, etc. Le centralisme étatique favorisa la croissance économique de la ville. De nombreuses entreprises y installèrent leur siège national pendant cette période. En 2010, l'Espagne, comme la zone euro, est touchée de plein fouet par la crise financière qui a débuté

comme le régime politique chinois, cubain, nord coréen, angolais… ce régime politique prend un peu le contre pied du régime politique occidental CAD d’abord qu’il n’y a pas séparation des pouvoirs et qu’il y a confusion des pouvoirs. * le centralisme démocratique le fait qu’il y ait des structures qui se superposent, des structures à la base dépendant des structures supérieures, lesquelles dépendent des structures supérieures (hiérarchie). * Il y a deux structures qui cohabitent dans ce

internationaux crédibles. Chapitre 7: Réformer l'Etat sans dépenser plus (p 195-218) Besoin de réforme patent, marge d'action budgétaire minime: il faut réformer sans dépenser. Voici quelques pistes prometteuses: - Renoncer au centralisme autoritaire: "l'excès de centralisme émousse l'action administrative et compromet les chances de réformes des pouvoirs publics". La réforme peu couteuse passera par la négociation si elle doit être un succès. Il faut aussi exploiter à fond les réformes encore inabouties

l'indépendance de 1776 rédigée pas Thomas Jefferson. C'est la constitution de 1787 qui va définir le contour d'une démocratie représentative pour garantir les libertés individuelles. Les Etats-Unis ont le désir d'autonomie des états mais avec un certain centralisme fédérateur. II- un mélange des deux concepts dans la Ve République: Ces deux concepts qui ont été adoptés par la Démocratie dès leur mise en place dans les pays concernés connaissent néanmoins des limites mais les démocraties vont essayer

despotique, injuste et cruel (exemple : Hitler) b. Tyrannie C’est un pouvoir absolu et arbitraire. C’est aussi le gouvernement monocratique arbitraire « un seul sans loi et sans règle entraine tout par sa seule volonté et par ses caprices ». c. Centralisme C’est un système d’organisation qui entraine la centralisation des décisions et des actions. d. Absolutisme C’est un système politique où tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains du souverain. e. Monarchie Régime politique où le pouvoir

bismarckienne ne correspondait pas véritablement à un Etat fédéral mais plutôt à une Fédération intégrée d’Etats. 20 Günther AMMON et Michael HARTMEIER, “ Le fédéralisme et le centralisme : les deux principes fondamentaux de l’organisation territoriale ”, in Günther AMMON et Michael HARTMEIER (sous la direction de), Fédéralisme et centralisme – L’avenir de l’Europe entre le modèle allemand et le modèle français, Economica, Paris, Coll. Politique comparée, 1998, p. 6 et s. 21 « Der deutsche Bundesstaat der

consolidé et Lénine ne le dirige pas seul, le pouvoir est collégial. En juillet 1918 la Russie soviétique adopte sa première constitution. Elle crée un État multinational, affirme l’égalité de tous les peuples de la république, mais maintien un centralisme poussé. Il faut maintenant organiser la gestion planifié de l’économie, accroître la productivité du travail, former les techniciens, etc. Lénine veut en finir avec les thèses selon lesquels seuls les possédants ou les fonctionnaires issus de classes