Centralisme

une investigation sur ce point excéderait sans doute largement l’objet de cette note. On voit en revanche que si Staline a eu une influence personnelle sur le fonctionnement du parti, celle-ci ne doit pas être recherchée dans le renforcement du centralisme démocratique ou de la dictature exercée par le parti ; les règles – indiscutablement favorables au développement du pouvoir personnel de Staline – avaient déjà été mises en place par Lénine. Staline s’inscrit donc sur ce point dans la continuité

au 17ème siècle un mercantilisme intense, création de manufacture, développement de la politique agricole, renforcement de la marine pour muscler son commerce extérieur. Le mercantilisme pourrait se résumé en trois mots : le protectionnisme, le centralisme et le dirigisme. Ces trois mots la sont aujourd’hui désigné par le : Colbertisme. La France va être dépassé économiquement par la Hollande. Elle domine économiquement le 17ème siècle, elle est selon Marx : « la nation capitaliste par excellence »

détermine l’orientation de la politique nationale. Dans les faits, deux organisations parallèles vont coexister. L’appareil d’Etat d’un coté le parti de l’autre, mais les mêmes personnes se partagent les fonctions. Tout le système repose sr le centralisme démocratique, qui a permis au parti communiste de renforcer son pouvoir. En vertu de ce principe, tous les organes dirigeants doivent être élus. Ensuite, ces organes doivent rendre compte de leurs activités devant les organes immédiatement supérieurs

pour assurer le respect de l’équilibre fédéral. On considère que, dans l’ensemble, leur jurisprudence a plutôt favorisé la « centralisation » par une interprétation extensive des pouvoirs de l’Etat fédéral. Après avoir favorisé un certains « centralisme », un renforcement du pouvoir de l’Etat fédéral par le biais duquel elle se renforçait elle-même, elle semble aujourd’hui plus protectrice des droits des Etats fédérés. · Une interprétation libérale du Xème amendement Maintes fois soulignée

On a pu voir que le cas espagnol montre, par notre difficulté à le ranger dans l'une de ces catégories, non pas forcément l'émergence d'une troisième catégorie, mais l'existence d'une multitude de solutions intermédiaires entre fédéralisme et centralisme, vers lesquelles s'acheminent peut être tous les Etats européens. II. L'état autonomique espagnol, un Etat définitivement hybride L'Etat autonomique espagnol ne semble pas encore s'être imposé comme un véritable modèle normatif et positif;

Gossnab (« Commission d'État pour la fourniture en matériaux et équipements »), au moyen d'indicateurs comme le Produit matériel net. L'économie soviétique fut basée sur la propriété d’État. L'URSS fut officiellement un État fédéral, basé sur le « centralisme démocratique » regroupant quinze républiques soviétiques. Après la mort de Staline en mars 1953, Nikita Khrouchtchev devint premier secrétaire du Comité central du Parti. Lavrenti Beria, le chef du NKVD, qui pouvait prétendre à la succession

la prééminence de Buenos Aires et la centralisation de l'Etat. La bourgeoisie commerçante de Buenos Aires, liée aux intérêts et au commerce britannique, contrôle le port et les grandes propriétés situées aux abords de la capitale. Favorable au centralisme, elle s'oppose à l'oligarchie foncière et à la bourgeoisie de l'intérieur qui, du temps de la vice-royauté, ont développé une activité manufacturière à l'abri des barrières douanières espagnoles, interdisant ainsi l'entrée de marchandises étrangères

laisser les bourgeois gouverner=> industrialisation du pays->ouvriers mûrs. Le leader est Martov Les bolcheviks majoritaires) Volontée d’avoir un partie fort, centralisé, avvec une élite du prolétariat, avec obéissance absolue des militants, centralisme d démocratique : Ils veulent s’allier ac les bourgeois pour renverser le tsarisme puis les renverser avec les ouvriers/ paysans (par la violence). Leur leader est : Lénine 1917, le tsar veut résoudre les problèmes par une fuite en avant = guerre

territorial.     Le renforcement de la déconcentration qui est un chantier ouvert depuis plusieurs  années a donné des résultats  au niveau de certaines administrations publiques, alors que  d’autres ministères n’arrivent pas encore à faire le deuil d’un centralisme éculé.       Le caractère indispensable de l’adoption d’une large déconcentration pour assurer une  régionalisation judicieuse, « dans le cadre d’une gouvernance territoriale efficiente, fondée  sur la corrélation et la convergence », est souligné avec force dans le Discours Royal de SM LE 

l’économie. Par ailleurs, toujours aux USA, le congrès possède selon l’article 1er section 8 de la constitution de « pouvoirs implicites »., qui vont au-delà de ses attributions formelles. Par conséquent, au sein même du fédéralisme, le centralisme est à l’œuvre, de part le développement de la fédération au dessus des états et par l’interprétation sans cesse en expansion de ses prérogatives. Enfin, selon l’article 6-2 de la constitution américaine (bien que cela s’applique dans les autres