Centralisme

Stalinisme Image de propagande de Joseph Staline. Le stalinisme est un terme utilisé pour qualifier l’idéologie et la pratique politique de Joseph Staline, puis, par extension, des staliniens. Le stalinisme est caractérisé par le centralisme et l'emploi de la force, voire de la terreur, comme mode de gouvernement, accompagnés d'un culte de la personnalité organisé autour du principal dirigeant. Les régimes staliniens se caractérisent par une économie planifiée bureaucratisée (qualifiée par d'autres

la propriété comme un frein à la toute-puissance étatique et donc une force garantissant les libertés pour autant que l'on ne puisse s'attribuer le fruit du travail d'autrui. Le principe fédératif s'oppose donc essentiellement pour Proudhon au centralisme et comme un moyen de faire prévaloir le droit sur la force. Friedrich Hayek, dans La route de la servitude,institue le fédéralisme comme « seule forme d'association... permettant de créer un ordre international sans mettre obstacle [au] légitime

élu un comité centrale, qui lui élu le bureau politique, qui élie un secrétaire générale. On constate qu’à gauche il n’y a pas de dirigeant dans les structures politique. Le communisme lui n’a pas de président, mais un secrétaire générale. Le «  centralisme démocratique ». Dans le parti communiste il y a un stage de formation des militants qui se veut intense. L’importance des convictions. Jusqu’en 1934, les effectif décline mais le parti s’enracine dans deux types d’endroit, d’une part dans la « banlieue

dire. Pour enseigner une langue, il est obligatoire de choisir une norme : une langue qui puisse s’adapter à u éventail le plus vaste possible de situations de communication. 
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 A partir du XVIIème siècle, avec le renforcement du centralisme monarchique (Louis XIV), e le développement d’une vie de cour apparaît la notion de « bel » ou de « bon usage » (= la belle norme ou la bonne norme) qui est la langue du groupe social des gens de la cour. (« la plus saine partie de la cour »)

1846 (électorat divisé par 6), élections locales contrôlées (pressions du gouverneur civil, corruption et clientélisme) ; � réseaux d’influence à la cour (camarilla) et interventions de la couronne dans le jeu politique ; • renforcement du centralisme : � pouvoir accru de l’administration centrale : maires nommés (loi d’administration locale, 1845) et réforme fiscale de Mon-Santillán; � projet de système national d’instruction publique (Loi Moyano de 1857) ; � unification des lois : Code

politique de réformes : Les rois illustrés prétendaient fortifier leur propre pouvoir et impulser la croissance économique, pour cela, ils ont mis en pratique des politiques réformistes : • Dans le champ administratif, ils ont appuyé le centralisme et l’uniformité des institutions, en plus de la promotion de fonctionnaires techniques avec indépendance de leur origine sociale. • L’éducation s’est ouverte aux vastes coupes sociales au moyen de nouvelles institutions éducatives et s’est

instrumentale, une distinction entre la sphère publique et privée, une structuration hiérarchique de tâches nombreuses et complexes, une réglementation explicite et un formalisme juridique et organisationnel. Wittfogel : « Le despotisme oriental » : Le centralisme bureaucratique de type planificateur a été pratique dans bien des empires archaïques de type despotique sous la contrainte économique de la gestion monopolistique des richesses fluviales. Les « société hydrauliques » sont dotées d'Etat bureaucratiques

nombreux domaines. Ainsi pouvait aussi se justifier un certain monolithisme de pensée qui pouvait amener à considérer que tous les communistes devaient partager les mêmes idées et avoir les mêmes comportements, le tout statufié dans le concept de « centralisme démocratique ». Aussi, j'ai considéré longtemps que le Comité Central du PCF, de même qu'individuellement les principaux dirigeants du PCF, possédaient cette qualité, pourtant assez inimaginable, de ne pouvoir se tromper. Et, avec le recul, il

dans telle situation géographique, peut etre négative, elle peut traduire le déclin, la rétraction, la déprise … La France des marges révèle de multiple dysfonctionnement historiques qui perdurent malheureusement et ce en partie à cause de son centralisme abusif. J’entend parler ici de la Macrocéphalie parisienne notamment. Néanmoins si les territoires de marge, en première approche, semblent bien désigner des espaces secondaires, inféodés aux logiques de commandement des territoires plus centraux

le projet girondin, France de type fédéral, projet qui aurait donné une grande place à la politique locale, le slogan des girondins était 'paris n'est pas toute la France'. Le projet Montagnard se base sur une république égalitaire, très fort centralisme, qui serait seul à même d'unifier le pays. Négation de la vie politique locale. C'est le projet centraliste qui remporte. Il date de bien avant Louis XIV. Cela aboutira à la constitution du 24juin 1993, on va soumettre la constitution à l'approbation