Cercle des économistes

tableau récapitulait l’apport du travail et du capital à la croissance économique. Nous avions vu, alors, qu’un « résidu » expliquait presque la moitié de la croissance économique… Vu son importance, il faut tenter de comprendre ce résidu. Les économistes l'attribuent en général au progrès technique: l'amélioration des techniques permet au capital d'être de plus en plus efficace, une main d’oeuvre mieux organisée contribuent à augmenter la productivité des facteurs de production. Le progrès technique

taux intérêts => Krach obligataire. Enfin, les tensions monétaires qui existent entre les puissances économiques => entravent à la nécessaire entente qui doit exister pour relancer l’économie mondiale. Jean Hervé Lorenzi, Président du Cercle des économistes, Professeur à l’Université de Paris Dauphine.

l’investissement, de la demande …) suppose une augmentation de la dette du pays. Si les sommes dépensées dans le soutien de l’investissement ne permettent pas une relance de l’activité économique, la dette ne se creusera que davantage. Enfin, de nombreux économistes libéraux sont d’avis que la lutte contre la crise économique doit passer par lutte contre l’endettement massif. Il faudrai donc ainsi exclure tout type de plan de relance. De plus, l’investissement, de par ses effets (dont par exemple les innovations)

économiques tels que nous les connaissons , la croissance n’est pas un phénomène stable ou régulier . En effet , un cycle se caractérise par une phase d’accélération de l’activité suivie d’une phase de ralentissement , voire de recul  . Les économistes cherchent donc à analyser ces cycles pour comprendre les crises et pouvoir les gérer au mieux . Or , une crise est le point où l’on passe d’une phase d’expansion à une phase de récession , il est intéressant de se demander comment une crise financière

économique a eus dans les pays industrialisés. On peut remarquer qu’au début de cette période d’augmentation de richesse les ressources n’ont pas été utilisées lucidement, comme le témoigne la surproduction des biens. Quand cela arrive, on entre dans un cercle vicieux : la surproduction porte à la saturation du marché intérieur et à la baisse des prix qui, à leur tour, contraignent les entreprises à délocaliser pour réussir à affronter les lourds coûts de leurs pays. À ce point-là beaucoup d’ouvriers n’ont

rationnel cadre mal avec les véritables motivations : réalisation de soi et quête de reconnaissance. C’est pourquoi le taylorisme a été modifié pour répondre à ces motivations. Il y a une importance des relations humaines dans l’entreprise. C. Les cercles vicieux bureaucratiques Après Weber, d’autres études ont présentées la bureaucratie non pas comme un idéal mais comme un type de fonctionnement qui a des dysfonctionnements. Les règles destinées à produire de l’efficacité produisent de l’inefficacité

seph Aloïs Schumpeter (Triesch, Moravie, 8 février 1883 – Salisbury, Connecticut, 8 janvier 1950 (à 66 ans)) est un économiste autrichien du milieu xxe siècle, connu pour ses théories sur les fluctuations économiques, la destruction créatrice et l'innovation. Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Ni dans le courant keynésien tout comme dans le courant socialiste, ni dans le courant néoclassique, on le rapproche souvent de l'École autrichienne

3. Le diagramme Ishikawa Le diagramme Ishikawa a un autre nom qui est « les arrêtes de poissons » et un autre qui est le diagramme « cause-effet ». a) Origine Kaewu Ishikawa était un économiste Japonais ayant travaillé sur des systèmes qualitatifs. C’est même lui qui a inventé les « cercles de qualité » en entreprise (= groupe de salariés qui réfléchissait à l’amélioration des processus). Dans la stratégie zéro défaut, la 1ère étape est d’identifier les problèmes, les disfonctionnements

doctrine dans son aspect islamique permet, par parti pris culturaliste interposé, d'éliminer d'emblée ses propositions à portée universelle. On tombe alors dans le domaine de l'orientalisme, une démarche quelque peu discréditée du point de vue des économistes. b) Entre appartenance sacrée et définition de rationalités économiques, la difficile recherche d’une universalité doctrinale : « doctrine de Sadr peut-elle avoir un sens en dehors de la sphère culturelle islamique » La question de

BIBLIOGRAPHIE 7 I. Présentation L’article étudié, extrait de la Revue Française de Gestion 2009 et rédigé par Bertrand Jacquillat, s’intitule « La montée en puissance de la finance est-elle soutenable ». Bertrand Jacquillat est un économiste français, spécialiste d’économie financière. Diplômé de l’École des Hautes Etudes Commerciales, de l’IEP de Paris et de Harvard Business School (MBA), il est titulaire d’un doctorat de gestion de l’Université Paris Dauphine. Actuellement Professeur