Certain Certitude Voltaire

comportement du prêtre. Le prêtre s’adresse au mort en le nommant deux fois « Monsieur le Mort »: il fait preuve d’un respect intéressé, qui le rend ridicule. La Fontaine nous dévoile un prêtre matérialiste. L’emploi du futur (vers 21), nous montre la certitude du prêtre ; une récurrence de l’adverbe de quantité «tant» aux vers 22 et 23 traduit une avidité, une obsession du curé pour l’argent. Le but de la fable Le Curé et le mort est d'abord de distraire le lecteur. Jean de la Fontaine respecte

sentiment de tristesse, grande lassitude. Spleen.+ Fatigue Physique et moral. I. Un auto-portrait burlesque. * Le poète n'hésite pas à se tourner en ridicule. * Dimension burlesque dans l'évocation du paresseux. II. Revendication d'un certain art de vivre. * L'éloge de la paresse. * Attitude de refus de toutes ambitions poétique. III. L'évocation en filigrane de l'aspect mortifère de la paresse. * Un état maladif. * Un état de folie. Conclusion : La mélancolie source

l'Humanisme. La plus profonde et la plus durable. "On ne peut rien voir de plus admirable dans le monde que l'homme" disait Pic de la Mirandole en 1486. Le retour à la pensée antique remit en vogue certains thèmes et certaines notions; notamment celle latine de l'"humanitas": l'homme idéal est celui qui se réalise lui-même, atteignant le plus grand accomplissement intérieur grâce à l'étude des "lettre anciennes" (les fameuses "humanités": notion latine de l'"humanores

culte près d'Athènes où il meurt La figure d’Œdipe inspire d’autre auteur de l’Antiquité, tel d’Euripide et Sénèque, mais aucun n’enrichit la légende de façon durable. Cependant, au fil des siècles, le personnage séduit de nombreux auteur : -Voltaire, écrit Œdipe (1718) -Coctau, La Machine Infernale (1934) -Anouille, Antigone (1944) De plus, au début du XIXème siècle, le père de la psychanalyse, Sigmund Freud, s’est appuyé sur le mythe d’Œdipe pour illustrer la situation conflictuelle vécu

France et son désormais ennemie, l’Allemagne. A cette même époque, l’antisémitisme est omniprésent en Europe. C’est dans ce contexte troublée qu’on condamne le capitaine juif Alfred Dreyfus pour avoir espionné l’état-major Français et avoir vendu certaines informations à l’Allemagne. Peu à peu, on commence à se poser des questions : Dreyfus est-il vraiment coupable ? La France se déchire alors en deux : dreyfusard et antidreyfusard. J'Accuse…! est le titre de l'article rédigé par Émile Zola lors

souvent ennuyeux, c’est, avec certitude, mettre le plus grand nombre de son coté. Ainsi, on reconnait en France Plantu comme l’un des journalistes-éditorialistes les pus influents. Le dessin qu’il livre en « une » du journal Le Monde tous les soirs n’est pas seulement une illustration de l’actualité ou d’un article du quotidien ; il a, aussi, une portée politique. Faire rire ou sourire les lecteurs assure une audience importante. Finalement, on comprend que certaines dictatures se méfient excessivement

clé. Il est donc évident qu'en dépit du fait qu'elle pourrait produire l'horreur monstrueuse dans le monde, la science a de la valeur parce qu'elle peut produire quelque chose. Une autre valeur de la science est la jouissance intellectuelle de certains à lire, apprendre et réfléchir à son sujet, pour d'autres, à travailler sur elle. C'est un point important, souvent négligé par ceux qui nous disent qu'il est de notre responsabilité sociale de réfléchir sur l'impact des sciences sur la société.

Les contes philosophiques de Voltaire La dernière édition des contes de Voltaire parue du vivant de Voltaire date de 1775, reprise d'une édition de 1771. A sa mort, Voltaire en préparait une nouvelle. L’édition de 1784, qui sert de référence ordinaire, parut à Kehl (en Allemagne, en face de Strasbourg). Dates de rédaction Le premier des contes de Voltaire, Zadig, est déjà, en 1747, l'œuvre d'un homme âgé: ce qui peut sembler aujourd'hui comme des plaisanteries parfois légères, bien dans le goût du

des raisons thématiques. Leur caractère est principalement anthropologique, alors que la suite de l’œuvre, beaucoup plus théologique, s’apparente à une exégèse biblique. Ces liasses, donc, proposant une réflexion morale sur l’homme, contiennent certaines des citations les plus connues de Pascal, et proposent – pour un élève de terminale L – une introduction riche et passionnante au projet littéraire et philosophique pascalien. Il semble nécessaire, malgré la difficulté du corpus, que les élèves

est introduite par le moine augustin Martin Luther. Celui-ci vit dans l'anxiété de son époque. Depuis son entrée au couvent, Luther cherche par tous les moyens à acquérir la certitude de son salut. Mais ni la dévotion, ni les jeûnes, ni les exercices spirituels, ni la théologie n'apportent à Luther l'apaisement et la certitude de son salut. En 1512, il retrouve enfin la réponse à ses questions, Il écrit à ce moment-là : « le juste suivra la loi. Dieu donne, sa justice infinie est un don »12. La bonté