Certain Certitude Voltaire

à l'innocence, et acquitter si elles n'existent pas, même s'il est certain de la culpabilité. La certitude est avant tout juridique. Rien n'est laissé au hasard, tout est respect de la forme et des catégories juridiques minutieuses. Les preuves sont organisées, hiérarchisées par la loi. La preuve pleine et manifeste peut résulter de deux témoignages concordants, de présomptions et d'indices (ces semi-preuves que raillera Voltaire en faisant observer "qu'elles ne sont que des doutes car on sait qu'il

ayant trouvé des moyens qui leur procurent ce qui leur est utile sur terre, ils sont forcés de penser que ceux-ci ont été déposé pour eux par une autre personne d'où la superstition. Ainsi, pour Spinoza la superstition est du aux préjugés. Malgré certaines preuves, la plus part des individus s'attachent aux préjugés. L'"on peut prendre l'exemple de Spinoza qui explique que les adeptes de la doctrine finaliste malgré le fait qu'ils ont découvert que les incommodités comme les tempêtes, tremblements

Berkeley en dégage deux types | | |principaux. | |Bilan de cette partie |Le premier consiste à faire passer ses certitudes pour la vérité. Puisque ce n’est pas la raison, | | |présente en chacun qui a formé, examiné, fondé ces jugements, le vulgaire reconnaît qu’ils lui sont | | |extérieurs. Mais

signifie volontairement. Il s’agit bien évidemment de remarques ironiques car les émigrés ont besoin de travailler et on ne leur propose que cela. Ils auraient, on s’en doute, apprécié un autre type d’emploi ! Pierre Perret fait allusion à Voltaire qui s’est illustré au XVIIIème, siècle des Lumières et a mis en avant l’égalité de tous les hommes, idéal repris au siècle suivant par Victor Hugo. On connaît par cœur leurs textes, on respecte ces deux grands auteurs mais leur message semble avoir

par soi-même et donc disposer d’une entière liberté d’examiner, de questionner, de critiquer, de mettre en doute, sans dogme ni institution. 2) La critique religieuse porte sur la structure de la société, et pas sur le contenu des croyances, sur certains représentants de l’église chrétienne, que ce soient les jansénistes ou les jésuites, les anglicans ou les protestants. Les Lumières attaquent l’Église, mais pas la foi. 3) Les Lumières défendent la religion naturelle, le déisme ou l’une de leurs

s'inquiéter de la cause pour éviter le ridicule de trouver la cause de ce qui n'existe pas.) C'est aussi la raison, faculté de modération qui le conduit à refuser tout dogmatisme (affirmation dite incontestable) « Rien n'est plus dangereux que la certitude d'avoir raison » La raison permet de juger lorsqu'il n'a pas de motif, de demeurer indéterminé. Le philosophe passe au crible du raisonnement logique et d'une intelligence lucide tous les faits du réel, de n'importe quel domaine. Le philosophe

échangé entre deux ou plusieurs personnages. C’est souvent sous la forme d’un dialogue rapporté, mais aussi parfois d’un dialogue direct, sans intrusion du narrateur, sur le modèle de l’écriture de théâtre ou le dialogue platonicien. D’autre part, Voltaire écrit, à partir de 1750, une quarantaine d’entretiens et dialogues philosophiques détachés. Les préoccupations religieuses y apparaissent entre 1753 et 1760; mais c’est dans la période 1760-1768 (celle du Dictionnaire Philosophique) que circulent

l'ouest » (III). I. Le développement des nouvelles communications comme axe essentiel de la marche vers une certaine égalité. A. Le développement des communications avec un focus sur le chemin de fer Michel Chevalier, « Le chemin de fer représente le symbole le plus parfait de l’association universelle ». Dès le début de sa lettre, Michel Chevalier commence avec la certitude que l’amélioration des communications permet à tous « d’exploiter le globe qui lui a été donné en patrimoine »

la foire. On apprécie les malices antipapistes et la critique du dictionnaire de Bayle, constamment réédité et le doute de Descartes suscite un sceptisme rationaliste. L’allégresse brille chez les Persans de Montesquieu, dans les petits vers de Voltaire , dans l’ironie malicieuse de Lesage, dans la première comédie de Marivaux «arlequin poli par l’amour » (1720). Les idées : Le XVIIIème siècle a eu donc la passion des idées selon le mouvement amorcé par les Modernes dans leur querelle avec

philosophe, donc qui a pour unique préoccupation de connaitre la nature des choses ; et en particulier, la révolution cartésienne se fait a partir de la science. Sa pensée est à la base de toutes les sciences pour des siècles. Il témoigne avec un certain nb de penseurs de sont temps, d’une ambition nouvelle, qui est d’appliquer la science nouvelle pour rendre les hommes «  comme maitres et possesseurs de la nature ». (Une des dernières phrase du discours de la méthode, 1637). Cette autonomie de