Césaropapisme

du politique, astreint en général ceux-ci à une idéologie esthétique intangible définie par le pouvoir en place : c’est le cas aussi bien dans la civilisation égyptienne antique, où le code religieux scelle le dispositif esthétique, qu’avec le césaropapisme byzantin ou un souverain comme Louis XIV, se voulant en son temps l’arbitre des styles. Cet état de tutelle, pour la période récente, se retrouve en continuité dans les sociétés autoritaires : pas de régime d’essence totalitaire, par exemple, qui

théocratiques. Le Népal se revendique comme le seul État hindou du monde3, tandis que la Grèce pratique une forme de césaropapisme qui combine pouvoir temporel et pouvoir spirituel4. Pendant très longtemps, les Églises orthodoxes ont pratiqué le césaropapisme ou bien sa forme russe appelée symphonie*. Il est évident que dans un État théocratique ou dans un État qui pratique le césaropapisme*, il sera très difficile, voire impossible pour les entreprises, de s’opposer à la présence conventionnelle de la

rebelle. L’état romain se doit de protéger l’église par sa force et sa législation L’étatisation de la religion chrétienne est synonyme de rapprochement entre l’église et le pouvoir politique. 2 Courants de pensée vont se développer. Le césaropapisme : on trouve ceux qui pensent que l’empereur est le représentant de dieu sur terre. Courant développé en particulier en Europe. Ces empereurs se considèrent comme des évêques du dehors.  Ces thèses s’appuient sur des textes et notamment sur les

peuples dont la référence spirituelle est le Patriarcat de Constantinople, de tradition orthodoxe. Dans le système social de l'Orient médiéval, la féodalité et le clergé ne sont pas à égalité : ce dernier est en position subordonnée. C'est le « césaropapisme[11],[12],[13] ». L'église orthodoxe ne perçoit pas d'impôts : de nombreux popes sont pauvres et travaillent. Mais les aristocrates peuvent lui faire des dons, et les princes lui offrir des domaines : certains monastères s'enrichissent et deviennent

dès rome? Edit de Milan 313, la religion chrétienne est tolérée plus persécutée. 380, la religion chrétienne devient religion d'Etat de l'empire romain, l'eglise va bénéficier d'une position privilégiée sous le controle de l'empereur. C'est le césaropapisme (ingérence dans les affaires de l'Eglise) justifiée par l'origine divine du pouvoir. L'Eglise va développer des structures adm. Les structures de l'Eglise sont des éléments Dogme chrétien : idée d'unité et d'autorité au profit du pouvoir

prises contre les Juifs convertis au Christianisme (les conversos ) conduisirent les familles chrétiennes à faire des recherches généalogiques pour prouver leur "pureté de sang".   § 2 - Rapports entre l'Eglise et l'Etat   A - Le Césaropapisme • Cette expression désigne la situation de l'Eglise par rapport à l'Empire à la fin de l'Empire d'Occident. Au départ, l'évêque de Rome possède une influence négligeable par rapport à celle de l'Empereur : l'Eglise est favorisée, mais maintenue

correspond au sol invictus : la victoire du soleil sur la nuit, les jours commencent à rallonger. 2) L’occident chrétien La religion romaine est très liée à l’Etat. Deux doctrines/relations se développent au 4ème siècle. D’un côté le « césaropapisme » : volonté impériale de contrôler la religion. Cette notion se développe d’avantage dans l’Empire d’Orient que dans l’Empire d’Occident. Le temporel domine le spirituel. De l’autre la théocratie : la sphère religieuse doit imposer ses vues au

peuples dont la référence spirituelle est le Patriarcat de Constantinople, de tradition orthodoxe. Dans le système social de l'Orient médiéval, la féodalité et le clergé ne sont pas à égalité : ce dernier est en position subordonnée. C'est le « césaropapisme[9],[10],[11] ». L'église orthodoxe ne perçoit pas d'impôts : de nombreux popes sont pauvres et travaillent. Mais les aristocrates peuvent lui faire des dons, et les princes lui offrir des domaines : certains monastères s'enrichissent et deviennent

également que l'empereur porte tout le droit dans sa poitrine → c'est lui qui impose le droit universellement il possède l'auctoritas , la pleine autorité alors que rois n'auraient que le pouvoir ( potestas ) . Frédéric II développe la théorie du césaropapisme qui suppose que empereur va exercer son autorité absolue comme un pape . Philippe II 1180-1223 se n'est que propagande qui le surnomme ensuite Philippe Auguste pour faire référence zu titre des empereurs romains. Le pape en 1202 par cette décrétale

Constantin y gagne son appui et obtient une légitimité ⇨ Apparition du concept de monarchie de droit divin L’Eglise et l’empereur doivent rester distincts mais l’empereur se prononce souvent sur des questions de dogme et de discipline ⇨ césaropapisme Les évêques font plier l’empereur - 390 : l’empereur Théodose Ier ordonne de réunir des émeutiers et de les massacrer St Ambroise s’insurge et impose à l’empereur une pénitence publique : il obéît La question dure jusqu’en 1905 : séparation