Césaropapisme

l’Empereur, tendance est défendue par Eusèbe de Césarée. L’intervention de l‘autorité impériale dans les affaires de l’Eglise doit se faire de façon péremptoire car il est le représentant de Dieu sur Terre. Cette vision de l’empereur est appelée de Césaropapisme. En Occident, l’Eglise conserve une relative indépendance. Cette vision va permettre à l’Église de ne pas sombrer au moment où l’Empire romain d’Occident va s’écrouler. L’Eglise va servir de lien entre les barbares et le monde gallo-romain

Dieu, ce qui lui donne un grand prestige. L’empereur chrétien va se mêler des affaires religieuses. La distinction entre le spirituel et le temporel menacée. Ils interviennent également au niveau des conciles. Pour cette dérive, on a parlé de césaropapisme. Intervention excessive de l’empereur dans les affaires temporelles. Le titulaire chrétien de l’autorité temporel est trop soumis à l’autorité spirituelle : difficulté entre l’empereur Théodose et l’empereur de Milan, St Ambroise. Cette seconde

d’un ordre juridique international 2) L’idée européenne chez les précurseurs : 2 précurseurs : Dante et Pierre Dubois L’Europe chrétienne se trouve déchirée entre le pape et l’empereur germanique. Tension permanente entre la théocratie et le césaropapisme. Ce grand affrontement entre le religieux et le temporel a pour théâtre principal l’empire chrétien. Vont être proposées des solutions à ce conflit. Les penseurs sont de la même époque mais dans des environnements différents : l’un est tout près

quoique ce droit lui reste, mais par un décret du Dieu personnel portant son choix sur une personne vivant sous son regard. À Byzance, malgré des conflits incessants entre la cour et les dignitaires de l'Église, le principe d'une telle fusion (césaropapisme) sera toujours reconnu. La situation sera tout autre en Occident, où l'interruption de la succession des empereurs, à côté de la continuité des fonctions papales, fait passer le principe de l'unité de la communauté du côté des autorités religieuses

l’empereur au christianisme, provoque la conversion de tout l’appareil institutionnel. Et en contre partie, la doctrine chrétienne va aboutir en qq sorte à l’aurification du pouvoir impérial. La troisième étape, est celle de ce que l’on appelle le « Cesaropapisme », c’est l’intervention habituelle régulière de l’Empereur dans la vie de l’Eglise, autrement dit, le pouvoir temporel, c’est à dire l’empereur, exerce son gouvernement aussi bien sur la société laïque que sur les éléments temporels de la vie ecclésiastique

images, à des représentations ou encore aux Saints. Charlemagne considère que la tradition chrétienne c'est d'offrir aux chrétiens un culte à partir d'image, de représentation du Christ. Charlemagne va développer un système que l'on appelle le cesaropapisme, le souverain laïque est en même temps le chef de l'Eglise. Charlemagne a pu se comporter de la sorte parce qu'il était un empereur puissant. Très peu de souverains peuvent se comporter de la sorte, il faut que l'Eglise soit un minimum affaiblie

deux chefs prétendant à l’universalité, l’empereur et le Pape. Le Pape dans un ordre spirituel et l’empereur dans un monde temporelle. Pour une période du X au XIII, tension permanente entre ces deux pouvoirs, la prétention à la théocratie et le césaropapisme. Ce grand affrontement fut appelé lutte entre sacerdoce et Empire. Pour Dante il faut un chef unique et pour l’autre il faut conserver et renforcer les souverainetés populaires. a] Dante, la nostalgie de l’unité perdue. Né au XIV, Dante

Le roi de France n’est donc ici qu’un petit roi, l’empereur le domine. Frédéric II (1220 – 1250) va continuer la politique de Frédéric 1er. Il veut soumettre le roi de France a son autorité mais veut aussi soumette le pape à son autorité : Césaropapisme, c'est-à-dire qu’il veut avoir une autorité absolue au spirituel comme au temporel. B – Le roi de France, empereur en son royaume La lutte du roi de France contre els prétentions impériales s’illustre à partir de règne de Philippe auguste

année ou en même temps. En raison de la volonté de Charlemagne de s’occuper personnellement des affaires de l’Eglise. Il convoque lui-même des conciles. Charlemagne profite de la faiblesse des papes de cette époque. Il développe une théorie : le césaropapisme. Il fixe l’ordre et le contenu des débats. Il intervient souvent dans les débats et les orientent. A la fin, il adopte la législation qui en ressort à condition que celle-ci soit conforme à ses attentes. Les livres carolins les décrétales papales

n’hésite pas à s’immiscer dans la vie de l’Eglise, désigne les évêques, se prononce parfois sur les questions de dogme, etc. Cette tendance de l’empereur à s’immiscer dans la vie religieuse dans la partie orientale de l’empire est appelé le « césaropapisme » : l’empereur confond le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel. L’Eglise cherche elle à guider voir même à juger la politique de l’empereur. Il y a donc des menaces de tensions, qui font que la doctrine chrétienne, les penseurs chrétiens vont