Césaropapisme

l’Edit de Milan : liberté religieuse → tous les cultes sont autorisés : le christianisme et autres sectes ne sont plus persécutés * 324 : il bat son 2ème grand rival Licinius et devient maitre de la partie orientale de l’empire. Début du césaropapisme : l’empereur est aussi le pape * Il décide de fonder une nouvelle capitale qui porterait son nom. Dès 324 les travaux commencent et la construction s’achève en 336 (1 an avant sa mort) → « Constantinopolis » L’empire byzantin est le plus

(musulmans) donc replis identitaire sur le christianisme. Ce qui différencie les grecs des Turcs est la religion. Le résultat de tout ça est que l’empire s’est tourné vers le Césaropapisme : empereur sorte de pape. L’Eglise d’Orient va sculpter le comportement de l’Etat par rapport à l’Eglise et vice versa. Conséquences du Césaropapisme se voit avec la religion Orthodoxe qui est très fidèle au Tsar. Les politiciens et les religieux russes n’ont pas refusé ce point de vue : l’Etat s’appuie sur l’Eglise

morale. La conversion de l’empereur va définitivement seller l’alliance entre le christianisme et l’Empire. Tous les empereurs sont chrétiens sauf 1. * Etape 2 : La doctrine chrétienne va aboutir à la glorification du pouvoir. * Etape 3 : Cesaropapisme Elle détermine l’intervention de l’empereur dans la vie de l’Eglise. Le pouvoir temporel va s’exercer aussi bien dans la société laïque que sur les éléments temporels de la vie ecclésiastique. A tel point que l’empereur va s’immiscer dans des

of Sociology, Vol. 44, No. 2 (Jun., 1993), pp. 303-339, Blackwell Publishing on behalf of The London School of Economics and Political Science, [URL]: http://www.jstor.org/stable/591221 Dagron, G. (1996), « Empereur et prêtre, étude sur le césaropapisme byzantin », Gallimard, 1996. Mattei, P. (2003), Le christianisme antique (Ier-Ve siècles) Paris, Ellipses, 2003, 176 p. (coll. « L'Antiquité : une histoire ») Mayeur, M.,Pietri, C., Pietri L., Vauchez, A. et Vénard, M.(dir.) (1995), Histoire

droits coutumiers locaux. La « paix romaine » repose sur un tel équilibre, et c'est en quoi elle est une paix véritable : pacisque imponere morem. Je suis plus réservé sur la conception romaine de l'autorité, sur le césarisme, trop vite devenu césaropapisme. Réservé aussi sur la notion d'« ordre », qui n'a d'ailleurs d'unitaire que le nom : l'ordre grec, bien différent de l'ordre romain, doit plus à l'harmonie des sphères qu'au pas lourd des légions. Rome fut toujours obsédée par l'unité, peut-être

dépendant d'une autre abbaye. Cénobitisme : choix de vie du moine vivant en communauté, sous la direction d’un supérieur et selon une règle. Cens : redevance fixe et annuelle due à un seigneur foncier, généralement stipulée en argent. Césaropapisme : Terme forgé au XIXe siècle pour désigner la prétention d’un empereur à étendre son autorité à la fois au temporel au spirituel. Chanoine : clerc séculier menant une vie communautaire. On trouve des chanoines autour de l’évêque (ils forment

connaissance individuelle sur le terrain moral et politique, soit de l'étude des auteurs romains et grecs (surtout d'Aristote) aux Universités, soit de la lecture et de l'interprétation libre de la Bible provoquées par la Réforme. Il y oppose le Césaropapisme le plus rigoureux: le royaume du Christ ne commence qu'avec son retour au jugement dernier; d'ici là, Dieu ne parle que par la bouche de ses vice-Dieux, des détenteurs du pouvoir politique. Il prend parti aussi bien contre les catholiques que contre

des esclaves (partiellement), réglementent de manière plus stricte le divorce… La symbiose entre l’Eglise et l’Empire se caractérise par le fait que l’Empereur est le lien entre l’appareil administratif et l’appareil ecclésiastique : c’est le Césaropapisme. IV. L’évolution du christianisme dans l’Empire Les IV et Vème siècles sont une période de développement des institutions chrétiennes et de manière générale d’essor du christianisme. Les Pères de l’Eglise font la synthèse de l’Antiquité classique

l’empereur abandonne le culte impérial. C’est l’empereur qui a convoqué le concile et le préside car le pouvoir politique entend contrôler les affaires religieuses ce qui a fait que les Ariens ont disparus car persécutés. Plus tard, on a appelé ça le césaropapisme ce qui signifie que l’Empereur ou le roi, intervient dans les affaires religieuses de la même façon que le pape contrôle ses Etats en Italie. Un des facteurs de la chute c’est le déplacement du centre de l’Empire de Rome vers Constantinople construite

est le césaropapisme qui est le fait qu’un personnage tendanciellement gouverne les deux fonctions, mais comme il y a séparation il y aura toujours à faire à un autre pouvoir qui dominera. Deux possibilités au césaropapisme, il se trouve dominé d’un côté, soit par César, soit par le pape. Constantin Ier qui se convertit puis se faite protecteur de l’Eglise, il domine de la tête et des épaules la figure des papes, c’est un indicateur important pour un césaropape. On utilise le césaropapisme pour parler