Cgt Marxisme

XXXII. La culture et l'art XXXIII. L'étude XXXIV. Utiliser les turbines à bon escient I. LE PARTI COMMUNISTE Le noyau dirigeant de notre cause, c'est le parti communiste chinois. Le fondement théorique sur lequel se guide notre pensée, c'est le marxisme-léninisme. Allocution d'ouverture à la première session de la Ire Assemblée populaire nationale de la République populaire de Chine (15 septembre 1954). Pour faire la révolution, il faut qu'il y ait un parti révolutionnaire. Sans un parti révolutionnaire

l’enseignement, elle rencontra les militants syndicalistes révolutionnaires basés sur une Révolution prolétarienne dont elle prit parti. Elle écrivit plusieurs articles sur ce mouvement. Dès cette époque, elle se montra très critique à l'égard du marxisme, tout en se rangeant résolument du côté du monde ouvrier. À la fin de 1932, sa rencontre avec Boris Souvarine, communiste hostile à Staline, la renforça dans ses convictions politiques, à la fois opposées à la bourgeoisie et au stalinisme.

La pensée fédérale a été bien exposée, et analysée par Proudhon : « du principe fédéraliste ». (Celle-ci est au cœur de la réflexion sur la constitution européenne). C’est un des fondateurs du socialisme à la française : humaniste. Alors que le marxisme est le socialisme politique. Le socialisme scientifique triomphera avec la victoire d’Octobre dans l’empire tsariste. Tito a essayé de s’inspirer de la pensée de Proudhon. Ce dernier ne s’intéresse pas qu’au mécanisme : le fédéralisme doit inspirer

Résumé d'argumentaire Texte : P. Clastres, chapitre 11 « La société contre l'État », in La société contre l'État, Paris, Les éd. De Minuit, 1974, pp. 161-185. Pierre CLASTRES est né en 1934. Après des études en philosophie, il s'oriente vers l'ethnologie. Il s'est spécialisé en anthropologie politique des sociétés amérindiennes sans États. Il effectuera plusieurs missions en Amérique du Sud où il passera plusieurs années parmi les différentes tribus indiennes. Il refuse le matérialisme de

nous évoquerons ce qu’est le marxisme et dans un deuxième temps les moyens d’abolition du capitalisme des réformistes et des révolutionnaires , I-: Tout d’abord au XIX les socialistes allemands Karl Marx et Friedrich Engels élabore le marxisme:une doctrine philosophique,économique et social partagé entre les socialistes et les communistes, Il est philosophiquement partisan du matérialisme, et est influencé par la pensée de Friedrich Hegel. Politiquement, le marxisme repose sur l'analyse de l'Histoire

organes. Les régimes pluralistes se fondent sur la théorie de la séparation des pouvoirs pour favoriser la liberté politique. Le pouvoir à toujours été suspecté d’être l’ennemi de la liberté. La doctrine fasciste rejette le libéralisme et le marxisme se présentait comme un régime fort où tous les pouvoirs sont concentré dans un chef unique. Les doctrines marxiste établissent une dictature pour abolir la division de la société. Pour eux le pouvoir ne peut être séparé de l’Etat. Peu avant l’effondrement

ouvrière") et la rédaction de son oeuvre majeure, "Le Capital", qu'il laisse inachevée. Karl Marx a vécu dans la pauvreté et a été soutenu financièrement par son ami Engels. Ses théories ont été reprises après sa mort sous une forme dogmatique, le marxisme, pour servir de fondement aux mouvements socialistes et ouvriers de la fin du XIXe et du début XXe siècle et de justification de leurs excès. Principales oeuvres : * La critique de la philosophie du droit de Hegel (avec Engels, 1844)

premier est intégré de nombreuses façons dans la seconde. D’autres, comme Louis Althusser, ont maintenu que les organisations civiles comme l’Église, l’école et même les syndicats étaient partie prenante d’un « appareil idéologique de l’État ». Le marxisme [modifier] Pour certains théoriciens néo-marxistes, cette question de qui contrôle l’État est sans intérêt. Influencé par Antonio Gramsci, remarquait que les États capitalistes ne suivaient pas toujours la classe dirigeante et que, quand ils

Transition - Si « laisser faire, laisser passer » est un slogan qui caractérise assez bien la pensée libérale au-delà de sa grande diversité, rapidement deux courants de pensée vont s’opposer aux thèses libérales, dans un esprit différent : le marxisme et le keynésianisme. II – Les oppositions théoriques au libéralisme A – L’opposition marxiste au libéralisme Marx dénonce le libéralisme, en tant qu’idéologie fondatrice du capitalisme. Pour lui la liberté des uns ne sert qu’à l’asservissement

accordés par les industriels d'usines avoisinantes. Les prolétaires s'organisent alors, de manière propre à chaque pays, pour lutter contre l'exploitation du travail et leurs conditions de vie inacceptables. Des idéologies comme le socialisme, le marxisme, l'anarchisme, réclament une autre répartition des richesses rencontrent un important écho populaire. Dans les pays où la liberté d'association existe (elle est accordée en France en 1901), des partis politiques nouveaux se constituent qui font pression